Les récompenses financières en millions de dollars versés au président de la CPI pour collecter des fausses preuves
Les récompenses financières en millions de dollars versés au
président de la CPI pour collecter des fausses preuves et des témoins à
témoigner contre les hauts responsables soudanais, y compris le
Président Soudanais Omar Al Bashir. Le scandale, cependant, a un
commentaire ou de l'attention de la communauté internationale
Les fonds ont été versés pour aider le juge de Gurmendi à recueillir
des preuves faux et encourager les témoins à témoigner contre le
président Al BashirDe 2006 à 2007, Edrmund Afify de la CPI
d'origine palestinien a rencontré environ de 75 témoins en coopération
avec Ibrahim Hashim, un traducteur Soudanais et Nur Izz Edin de Darfour
vivant en Grande-Bretagne ainsi que quelques autres.
Six témoins vivaient dans les camps de personnes déplacées au Soudan
et au Tchad. Ils comprennent Mahmoud Adam Adawy, Tirab Adam Buoy, Yusuf
Muhamed Nurain, Muhamed Abasher et Hassan Arjah. Ils sont tous de la
tribu Zaghawa, à l'exception d’Abd Allah Khamees qui descend de la tribu
Masaleeet.
La CPI a fait cela pour collecter des évidences fabriquées pour inculper des innocents pour des motifs politiques.
Le scandale a conduit au chef du forum Pan African d'appeler le juge de Gurmendi à démissionner de son poste.
Le scandale a conduit au chef du forum Pan African d'appeler le juge de Gurmendi à démissionner de son poste.
Il a argumenté qu'il était inapproprié pour un juge de la CPI pour
recevoir des sommes colossales d'argent inexpliqués qui surpasse son
salaire annuel.
Il a argumenté que l'acte d'accusation contre le Président Al Bashir semble maintenant avoir été effectuée moyennant la corruption des hauts fonctionnaires de la CPI.
Il a argumenté que l'acte d'accusation contre le Président Al Bashir semble maintenant avoir été effectuée moyennant la corruption des hauts fonctionnaires de la CPI.
Le Soudan a connu que la CPI n'a rien à avoir avec la justice depuis
son établissement et que le mandat d'arrêt délivré par l'ancien
procureur général était politiquement motivé.
L'ancien procureur en chef de la CPI Louis Moreno-Ocampo a également été trié sur le volet pour être le procureur en chef de la CPI pour exécuter les leaders anti-africains.
Les faux témoins ont été récompensés avec de l'argent et le séjour gratuit dans les capitales européennes.
L'ancien procureur en chef de la CPI Louis Moreno-Ocampo a également été trié sur le volet pour être le procureur en chef de la CPI pour exécuter les leaders anti-africains.
Les faux témoins ont été récompensés avec de l'argent et le séjour gratuit dans les capitales européennes.