الثلاثاء، 28 فبراير 2012

Analyse: Ce crime brutal

Le camp de (Ibida) à l'Etat d'Unité au Sud-Soudan est l'un des dizaines de camps qui ont été établis par le gouvernement du Sud Soudan pour entraîner les enfants qui ont été enlevés de Darfour, de Kordofan ou d'autres zones frontalières au Sud-Soudan.
Le camp a été vu un crime de guerre brutale lorsque des éléments de la SPLA ont assassiné 13 des enfants enlevés.
Le Journal SudanSafari a dit que le nombre des enfants enlevés atteint 1500 personnes qui vivent sous les mesures sécuritaires resserrées.
Ils ont été entraînés à peine d'être poussé dans la guerre.
Il est regrettable que ce crime se passe sous le regard de l'ensemble de la communauté internationale, et au Sud-Soudan, où les forces du maintien de la paix de l'ONU sont déployées.
La chose inquiétante est la position de la communauté internationale en ignorant cette question en dépit de la violation grave des droits de l'homme des enfants enlevés.
Alors que la communauté internationale ne tient pas compte de cette tragédie, elle continue à poursuivre le Soudan en ce qui concerne la situation humanitaire au Sud-Kordofan, malgré le fait que la situation là-bas n'est pas mauvaise.
L'ignorance délibérée du recrutement des enfants Soudanais dans le sud Soudan par le gouvernement du Sud-Soudan est un soutien clair au Sud-Soudan.
La crédibilité de la communauté internationale est maintenant sur la ligne en raison de son silence envers l'enlèvement des enfants Soudanais par le personnel de renseignements du Sud-Soudan.

Analyse: Dossier de pétrole ... Juba & Khartoum ou Washington et Pékin?

Le Parlement du Sud-Soudan a révélé les intentions de fournir à la délégation de négociations avec ce qu'il qualifie d'un paquet de propositions constructives et des recommandations pour résoudre les questions en suspens entre Juba et Khartoum.
Le Chef du bloc d'opposition a déclaré jeudi dernier qu'ils étaient sérieux de mettre en place des solutions objectives à ces dossiers en suspens qui maintiennent les droits de chaque pays.
Dans le même contexte, la Chine a dit qu'elle s'efforce de régler le statut des compagnies Chinoises avec le côté Sudiste après l'expulsion de l'une des sociétés Malaisiennes dans une tentative d'éviter toute divergence qui pourrait compliquer la situation.
En fait, la crise pétrolière entre Khartoum et Juba ne semble pas comme une crise entre les deux Etats ou à celle sur les frais de transit du pétrole comme la réalité actuelle révèle que l'administration du dossier du pétrole n'est pas géré par le gouvernement sud-Soudan lui seul.
L'exacerbation de la crise d'impliquer les compagnies pétrolières constitue une évidence supplémentaire que le dossier n'est pas exécuté entièrement par le gouvernement du Sud-Soudan.
Selon des sources du Journal SudanSafari, la Chine est en train d'adopter le contrôle du soi-même sur la situation actuelle où elle réalise des tentatives visant à remplacer les compagnies Chinoises et Malaisiennes avec celles Américaines.
Des sources politiques au sein du gouvernement du Sud-Soudan ont déclaré au Quotidien SudanSafari que le dossier du pétrole est maintenant géré en dehors du gouvernement du Sud Soudan, fais

الاثنين، 27 فبراير 2012

Parce qu'ils n'ont pas de valeur, ils veulent ce qui n'a pas de valeur

Les forces soudanaises d'opposition demandent, en particulier le parti du congrès populaire, que le Soudan doit permettre à l'exportation du pétrole du sud Soudan gratuitement et sans frais.

Même si la demande est simplement une manœuvre politique ou d'une tentative de marchandage ou de tenter à pêcher dans l'eau sale, chose qui est inutile, du fait que la question de l'exportation du pétrole est une question stratégique purement et celle de sécurité nationale directement, et de même une question économique et souveraine et pas de place pour l'hésitation à ce sujet.

Evidemment, les forces soudanaises d'opposition sont connues par l'absence d'invulnérabilité politique et de conscience patriotique et personne n'imaginait  pas qu'elles pouvaient atteindre à cette fin du fait qu'elles demandent cette affaire qui n'a pas été demandée même par l'État du Sud-Soudan.

Cela démontre ce qu'on appelle (Travail gratuit) accordé par les forces soudanaises d'opposition pour les leaders du gouvernement du Sud.

Il semble que la confusion d'opposition ici entre les questions stratégiques principales du pays et celles politiques et tactiques est très effroyable,

Il est arrivé au point que de porter le blâme sur le soudan en ce qui concerne les négociations de pétrole l'avertisseur de la guerre, bien que le côté sudiste est la partie qui résiste et joue pour l'intérêt des autres parties qui connaissent par l'opposition soudanaise.

Peut-être la chose la plus malheureuse à cet égard et que les forces soudanaises d'opposition pourraient se tenir au côté du gouvernement du Sud-Soudan en  cas de  la guerre tant qu'elles portent le blâme pour le soudan depuis maintenant.

Il est vraiment étrange que l'habitude de l'opposition soudanaise de porter atteinte à la patrie et sans prendre en considération à ce qu'elle rencontre due seulement à cet antagonisme aigu entre elles et le gouvernement!

Le Ministère des AE condamne la continuation des hostilités contre le Soudan par l'Etat du Sud-Soudan

Le ministère Soudanais des affaires étrangères a condamné la continuation des hostilités par l'Etat du Sud-Soudan contre le Soudan ainsi que la continuation de son soutien aux agressions contre lui notamment l'attaque menée dimanche contre la ville d'Al Obeid par des troupes rebelles.
Le ministère a affirmé, dans un communiqué publié dimanche à Khartoum, que le Soudan garde son droit de réponse.
"Des troupes rebelles estimés de plus de 1500 combattants soutenus de grand nombre d'officiers et soldats de l'Etat du Sud-Soudan ont mené dimanche matin une attaque militaire contre la région d'al Obeid qui se situe dans les frontières internationales du Soudan", selon le communiqué.
"Le ministère des affaires étrangères condamne fermement l'attaque brutale soutenue par la république du Sud Soudan qui s'est produite seulement après deux semaines de la signature d'une note d'entente sur la cessation des hostilités par des représentants du gouvernement de la république du Soudan et le gouvernement soudanais en présence et témoignage de la communauté internationale et sous les auspices de l'Union Africaine", selon le même communiqué.
Le communiqué a ajouté que le Soudan va déposer une plainte au Conseil de sécurité de l'ONU et à l'Union Africaine et il va les informer sur les détailles de l'attaque ainsi qu'il les demande de jouer un rôle efficace dans la cessation des attaques contre la stabilité et la sécurité du Soudan et en même temps il va conserver son droit garanti par les lois internationales à la réponse à l'agression et à protéger ses territoires et la stabilité des ses citoyens.

Le Premier VP Soudanais se félicite de la coopération judiciaire Soudano-Mauritanienne

Le Premier Vice-président Soudanais, Ali Osman Mohamed Taha a apprécié la coopération judiciaire entre le Soudan et la République islamique de Mauritanie dans le domaine de d'échange les expériences.
Il a dit que la coopération entre les deux pays permettra aux organes judiciaires dans les deux pays de bien mener leurs tâches constitutionnelles.
Lors d'une réunion, dimanche, avec la délégation judiciaire Mauritanienne en visite au pays, Taha a affirmé la pleine indépendance du Soudan judiciaire.
Le premier juge mauritanien a apprécié l'expérience de la justice soudanaise, en affirmant que la délégation mauritanienne a passé en revue les accords, la coopération conjointe.

الأربعاء، 22 فبراير 2012

Al-Janzouri a souligné la nécessité de renforcer "La coopération hydraulique» entre l'Egypte et le Soudan

Le Premier  Ministre Egyptien  Kamal Al-Janzouri a appelé Le ministre de l'Irrigation Hisham Gindeel à la nécessité du fait que  l'Egypte doit accorder toutes les formes de soutien technique et techniques pour  le centre de recherche des ressources hydrauliques et l'irrigation au Soudan.

Lors d'une sa rencontre mardi le ministre soudanais de l'Irrigation et des Ressources hydrauliques  Seif Eddin Hamad,  M Al-Janzouri  a souligné la nécessité de relancer la coopération entre l'Egypte et le Soudan dans les différents domaines,

notamment dans les ressources hydrauliques et les  moyens pour réaliser cette coopération tout en partant des relations historiques qui lient les  deux États et les peuples de la vallée du Nil.

A ce propos, un comité tripartite composé des experts égyptiens et soudanais  pour mettre une place d'un mécanisme d'une entente sur les questions annoncées et les moyens de la sélection des experts pour promouvoir la coopération hydrauliques entre les deux pays.

La réunion a également discuté la situation actuelle dans les pays du bassin du Nil et ayant présenté les résultats conjoints entre les ministres de l'irrigation en Egypte et au Soudan et les  moyens d'unifier les visions sur les questions en suspens entre les pays du bassin du Nil.

La réunion conjointe a, en outre, abordé les questions d'intérêt commun dans les domaines de l'électricité et de l'énergie et les moyens de les développer davantage.

M. Al-Janzouri a affairmé le souci de son gouvernement à fournir toutes les formes de soutien pour tous les projets économiques entre l'Egypte et le soudan.

Le Soudan est le siège permanent pour le forum de la paix et de développement

Le message de Khartoum: Samia Abul Nasr

La Conférence Générale du Congrès National, le parti au pouvoir au Soudan, qui s'est tenue récemment, est une évidence du progrès des relations mutuelles et son lien à son environnement arabe, musulman et africain et avec tout le monde et a rendu le Soudan un modèle pour le dialogue, la paix et le développement et la création d'environnement disponible pour résoudre les crises du Continent Africain.

Le Président Soudanais Marechal Omer Al-Bashir, qui a assisté à la  conférence générale du PCN, a dit que ce qui est dépensé dans les guerres et la course d'armement est suffisant pour faire sortir le monde de ses crises économique et alimentaire et financière,

Cette conférence, qui était considérée la première  après les révolutions  du printemps Arabe, est venue pour soutenir la révolution égyptienne et tunisienne et tout en les souhaitant un Etat qui se repose sur les bases de la liberté et de la justice.

Le chef du Conseil  des affaires des partis politiques au Soudan Osman Mohamed Moussa a indiqué que le Soudan voit une révolution du salut et préserve les droits des femmes et faire des générations pour le  futur.

Pour sa part, l'Assistant du Président de la République pour les Affaires du Parti au pouvoir, Dr. Nafie Ali Nafie a dit: " nous refusons  de rendre nos ressources économiques lier à l'épuisement sans le bénéfice directe et nous sommes avec le monde qui se fonde sur la justice et l'égalité.

La révolution de la réforme ne vient pas sans un effort, et pour réformer les relations internationales, on doit se conjuguer en particulier avec les leaders intellectuels et politiques parce que nous voudrions voir la réforme d'une manière appropriée, sans perte.

Environ de 32 pays représentant 27 partis et organisations politiques   de différents pays arabes, européens et africains ont participé à la conférence.

La conférence a été assistée également par un certain nombre de personnalités, les chefs des partis, de parlement,  le chef de la commission des relations arabe et la chine populaire Hassan Abbas et  le président libyen du Conseil national transitoire Mustafa Abdul Jalil  qui a affirmé le rôle du Soudan pour le soutien de la révolution libyenne, soit politiquement ou humanitaire à travers de la fourniture de l'aide.

A L'Initiative de la direction du Congrès national au Soudan, la deuxième conférence de fondation pour le forum de la paix et du développement,  s'est tenue à Khartoum, en présence des leaders et des représentants des partis et  des organes et des ONG qui sont venus de nombreux pays du monde.

Le Forum a appelé à la nécessité de la conjugaison des efforts et à l'unification des visions et l'action conjointe pour contribuer efficacement à trouver les causes et les répercussions derrière ces changements pour éviter les effets négatifs.

Pour sa part,  le premier vice-président de la république Ali Osman Mohamed Taha  a affirmé que le développement est étroitement liée à la stabilité où il a souligné le soutien de tous les efforts de la paix et de résoudre les conflits et à prendre le dialogue mécanisme pour résoudre les conflits résultant des changements climatiques et environnementaux.

pour sa part, le membre du comité permanent du Parti communiste en  chine (le parti au pouvoir)   a exprimé  ses souhaits de voir aller en avant les relations sino-soudanaises,

Le côté chinois a apprécié la disposition du côté soudanais de fournir le  soutien propre à la question de Taiwan concernant les intérêts vitaux de la  Chine.

Le côté chinois  a affirmé le soutien aux efforts soudanais pour développer l'économie de la société.

En conclusion de forum  de la paix et de développement,  tous les participants se sont convenus de voir le soudan devenu comme siège permanent du forum.

Il a souligné la nécessité de respecter la souveraineté des Etats et ses choix et à ne pas ingérer dans ses affaires intérieures et soutenir les nouvelles expériences démocratique, ainsi que encourager et soutenir la participation des femmes, des jeunes et des secteurs actives dans le travail et garantir les droits de ces groupes.

Le forum a affirmé l'encouragement de l'intégration, la solidarité et la coordination entre les pays en développement et soutenir les efforts de la liaison stratégique entre ainsi que d'accorder un modèle essentiel pour la coopération entre les pays du Sud et de l'établissement de partenariats et de blocs économiques.

Le forum a demandé aux pays donateurs de jouer pleinement son rôle en se concentrant sur l'aide de développement et le soutien de secteurs vitaux dans les pays en développement, l'annulation des dettes des pays endettés et l'équilibre des prix des matières premières produites dans les pays en développement et à aider ces pays à atténuer les effets négatifs de la crise économique internationale.

Il a souligné l'importance de la coordination  de forum  avec les forums et les communautés similaires et l'échange de visions.

Il a appelé à la participation de tous les partis et les organes et les forces politiques efficaces et son adhésion au forum de la paix et du développement pour plus d'enrichissant d'expériences.

Il a appelé la communauté internationale à soutenir le peuple palestinien jusqu'à jusqu'à ce qu'il restaure ses droits pillés.

Le forum a affirmé son soutien pour la sécurité et la stabilité de l'Afghanistan et a appelé au retrait des forces de l'OTAN en plus d'œuvrer pour mettre fin à toutes formes d'occupation et de conflits qui entravent la réalisation de la paix et de développement.

Le Source: Al Ahram égyptien:3/1/2012

Le Soudan affirme l'importance de la coordination entre les organisations d e l'aide humanitaire

Le Soudan a renouvelé son refus de fournir des secours ou une aide aux régions rebelles de l'étranger
Dans le temps où les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan œuvrent pour régler leur différend sur les frais de transfert  du pétrola du Sud , le niveau de la tension s'est accrue entre les deux pays et la médiation africaine a présenté une feuille de route  pour résoudre la crise.

Le Porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères Al-Obeid Marawah a dit que l'aide de la communauté internationale est nécessaire, mais, selon les accords et la coordination entre le gouvernement et les organisations étant que donné des régions qui pourraient voir des opérations militaires.

Il a ajouté que la situation humanitaire au Sud Kordofan et au  Nil Bleu trouve une attention particulière par l'Etat pour couvrir tous les besoins humanitaires dans ces régions.

Il a ajouté que le gouvernement suit des activités coordonnées dirigé par les forces extrémistes dans les Etats-Unis pour préparer la scène internationale pour mener à la famine dans les deux régions le Mars   prochain, si ce n'est pas permis aux organisations internationales pour atteindre à ces régions pour  fournir les aides humanitaires.

Il a indiqué que la situation humanitaire actuelle dans ces régions en raison de la rébellion et l'absence d'engagement de  l'un des parties a propos de ce qui a été convenu de ne pas retirer ses forces.

Pour leur part, les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan doivent œuvrer pour régler leur différend sur  les frais du transport le pétrole du sud Soudan a travers les territoires du Soudan.

La Porte-parole du Département d'État Américain, Victoria Nuland a indiqué dans un communiqué, "Nous encourageons les deux parties à redoubler les efforts pour parvenir à un accord sur la solution permanente.

La tension entre le Soudan et le Sud, le Soudan s'est étendue au milieu des différences des positions dans les négociations d'Addis-Abeba, mais la médiation africaine a déclaré une solution d'une "feuille de route" sera discuté durant la reprise des négociations le jeudi prochain.

Pour sa part, le ministre d'État au ministère de la Présidence de la  République Amin  Hassan Omer a minimisé l'importance  de la décision du Sud-Soudan  d'arrêter la production et l'exportation de son pétrole via le nord.

Il a expliqué que la quantité existante du pétrole dans les pipelines et les réservoirs offrira une grande somme des dettes du Soudan dues au  sud.

Le ministre de la présidence du conseil des ministres au gouvernement du Sud Deng Alor a affirmé que son gouvernement possède une réserve de fonds qui suffira pour cinq ans à partir d'à présent et l'économie de l'Etat ne sera pas affectée par ce pas.

Pour cela,  l'État du Sud-Soudan  a déposé une plainte officielle aux  tribunaux internationaux spécialisés contre le Soudan et certaines compagnies en raison de ce qu'il appelle le vol de son pétrole.

De même, le Parti du Congrès National au pouvoir au Soudan a qualifié d'irrationnelle et d'irresponsable la décision d'arrêter le pompage du pétrole, en considérant que le pas n'est pas en faveur du sud ou la relation entre les deux pays.

Il a accusé des leaders au gouvernement du Sud  de servir des agendas mal –intentionnés.

Source: Khaleej Times 23/1/2012 M.

Al-Bachir affirme le souci de pousser en avant les relations avec l'Erythrée

Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM au Sud Soudan à l'offre honteuse pour acheter la zone contestée d'Abyei.

La dispute sur Abyei était censé être réglé moyennant le référendum du SPLM a rejeté sa conduite sans aucune raison convaincante.

Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM parce que la culture de la vente et de l'achat est profondément ancrée dans son esprit.
Immédiatement, après la déclaration de la séparation du Sud Soudan, le SPLM était en train de signer des contrats pour vendre des terres sudistes fertiles et riches de ressources pour les compagnies Américaines, Européennes Et Israéliennes.

Le SPLM a vendu à présent environ de 9%  du volume total des terres du Sud-Soudan pour certains quelques milliers de dollars, chose qui rend toute chose  ressemble le paiement d'une facture différée politique.
Basé sur cette culture de marché, le SPLM a pensé qu'il pourrait faire la même chose avec le gouvernement du Soudan et a offert d'acheter la région d'Abyei.
Puisque la question est sur le paiement des factures internationales, il n'est pas exclu que l'achat sera en faveur d'autres parties avec des ambitions à saisir les terres d'Abyei.
Toutefois, l'offre elle-même peut être lue dans un autre contexte qui ne sert pas les intérêts du Sud-Soudan.

Premièrement, il est évident que l'offre illustre brièvement la position juridique et politique du SPLM envers la propriété de la terre parce qu'il ne semble pas logique de prétendre la propriété d'une terre pendant que vous offrez de l'acheter d'une autre partie.

Le propriétaire de tout bien ou à quiconque revendique la propriété d'une terre ou d'autre chose n'évite pas les moyens légaux pour résoudre la dispute sur la possession de cette propriété.
Deuxièmement, le SPLM veut une solution rapide après les choses se sont tellement compliquées sans aucun signe des solutions à venir. Si le SPLM a accepté le référendum sur Abyei, la situation aurait résolu.
Troisièmement, le SPLM semble être sous la pression des fils d'Abyei dans le SPLM comme Deng Alor et Luka Biong.
Par conséquent, le référendum est une solution meilleure et unique de cette crise.

Obama propose l'annulation des dettes du Soudan

Le président américain, Barak  Obama a demandé au Congrès Américain pour ratifier le projet de budget de l'année prochaine, y compris la possibilité de profit de l'exemption de ses dettes dues aux États-Unis conformément aux certaines conditions en plus d'une aide de 2,7 milliards de dollars pour le Sud-Soudan.

Le projet de budget, ayant annoncé lundi, a alloué une somme de 250 millions de dollars pour couvrir les dettes du Soudan dues aux Etats-Unis basant sur les engagements de Washington en vertu de l'initiative «PPTE» qui permet aux pays endettés la possibilité de se débarrasser de ses fardeaux après avoir rempli des exigences d'une réforme particulière.

Dans le projet de budget, obama a souligné que le département américain de trésor s'attend que le soudan devenir qualifié à annuler  ses dettes dues aux États-Unis, d'un montant de 2,4 milliards de dollars vers l'avènement de l’année fiscale 2013.

Mais Obama a attiré l'attention des experts que le bénéfice de l'exemption de Khartoum est liée également à remplir des engagements

Précédent par le Congrès  concernant le fait que d'écarter le Soudan de soutenir le terrorisme en plus de son engagement à l'implémentation des accords de paix et à ne pas violer les droits de l'homme.

Le mot magique: Comment devient –on un espion Américain?

Au fil de ma vie journalistique de décennie de temps, j'ai cru  que les Etats Unis ne sont pas et ne seront jamais un pays ami en raison du fait que son histoire est plus hideuse pour franchir cette direction.
Avant cela, il est important de revenir aux deux articles d'Ustaz Zahera et Mme Samira Rajab récemment sur la question enflammée en Egypte ces jours, qu'il s'agit de la question du " soutien Américain caché pour les organisations de la société civile

"!
Cette description magnifique reflète évidemment des détails sur des organisations et des associations qui sont devenus jouer le rôle des espions dans nos pays, voici l'actualité

.
Les rapports ont révélé qu'il existe 250 association et organisation Egyptiennes ayant reçu un financement américaine après la révolution de 25 janvier. Plus de 75 millions de dollars américain sont entrés en Egypte après la révolution pour soutenir ces organisations, sous le prétexte de soutenir la société civile!
Les rapports ont révélé un groupe des organisations américaines telles que la DI (la fondation de la démocratie internationale) l'IDN ، (qui a été expulsé de Bahreïn) et d'autres organisations

.
Avant de continuer à révéler ces noms, il faut rappeler que de telle organisation, comme DI, a été dévoilé par le rapport de Wikileaks, en soulignant qu'elle implémente un complot américain pour contrôler les pays islamiques de l'Orient.
Et vous pouvez imaginer si le nombre d'organisations gouvernementales internationales ayant atteint à 130 mille organisations selon les  statistiques de l'année 2010,  les Etats-Unis, jusqu'en 2009, a été payé près de 100 milliards de dollars pour soutenir ces organisations

!!
Cela se fait seulement pour le système américaine de renseignements qui a pénétré tous nos pays  à travers ces institutions et organisations, dont le Bahreïn est considère comme pionnier à cet égard!
Cette organisation soupçonnée est financée  par 32 institutions et organisations, parmi lesquelles le gouvernement américain lui-même!  et elle se trouve largement dans plus de 40 pays du monde, dont les Plus proche de nous sont le Qatar, l'Irak, l'Egypte, la Tunisie, et il ya un centre pour l'uns de ses sociétés à Abu Dhabi qui  travaille dans  la nuit et le jour pour des objectifs évidents

.
Un autre modèle, c'est l'organisation «Freedom hose», qui a été fondée en 1941 avec le soutien de la CIA directement, et que l'intersection  honteuses de son leadership est l'existence de mêmes leaderships dans l'organisation sioniste "AIPAC

".
Cette organisation jouit de plus de 67 moyens pour renverser les régimes au pouvoir à travers les institutions de la société civile et le financer des organisations soupçonnées dans nos pays.
Le moyen d’obtenir ces millions est  tellement facile, c'est simplement de transformer  en un activiste juridique ou politique ! ou d'établir un centre de droits de l'homme à ce propos.
Le naufrage des organisations et des institutions égyptiennes  dans la boue d'espionnage américain a été dévoilé par  la vigilance du peuple après la révolution et le système judiciaire égyptien honnête et équitable ce que nous espérons poursuivre ses efforts pour découvrir ceux qui sont marqués par les vêtements des droits de l'homme et de même  ils ne sont pas que des espions qui ont touché le prix.
Broadcast : tant que nous nous interrogions sur la raison de l'augmentation du nombre des avocats et des activistes politiques.



Evidemment, Je pense que vous savez maintenant, pourquoi les pays ont peur d'eux  parce que l'Amérique est derrière eux, et leurs ambassadeurs et leurs ambassades sont dans nos pays qui les protègent et les soutiennent à tout prix même pour renverser le système des pays.
La dernière ligne: ce qui s'est passé en Egypte, c’est un porté à l'attention de nos pays qui a été rempli avec ce type, de quasi-espion (Ahmed Al-Jalabi ), et malgré de cela notre pays sont encore gradé le silence et ils n'apprennent pas la leçon encore

Analyse: Une Vigilance Inattendue du Sud-Soudan

 Le Ministre adjoint des Finances et de la planification économique au Sud-Soudan a déclaré que son pays est sur le point de l'inflation économique et des turbulences propagées due à la décision du gouvernement du Sud-Soudan d'arrêter le pompage du pétrole.
Il a dit que le Sud a perdu 98% de ses revenus et cette perte nécessite de trouver des alternatives pour les devises.
Il a ajouté que nous avons entrepris des efforts considérables pour atteindre à ce niveau de la stabilité dans la monnaie, et à moins qu'une solution soit aboutie, la situation sera hors de contrôle.
En fait, cette vigilance surpris par le Sud-Soudan est très importante car elle révèle que la décision de fermeture du pétrole était politique, et ne pouvait être, à n'importe quel niveau, considéré comme économique.
Il était claire que tous les responsables et les experts économiques dans le Sud-Soudan n'ont pas été donnés la chance de discuter de la décision avant sa publication en tant que la décision a été prise par des politiciens seuls.
Les critiques vives à la décision prise par l'ancien ministre du pétrole Deng Lual soutient cette hypothèse. Deng a considéré comme pas sage la décision en disant l'impact négatif de la décision sur le Sud-Soudan est plus grand que sur le Soudan.
Ainsi, nous pouvons dire que le gouvernement du Sud-Soudan a commencé à souffrir des conséquences de la décision qu'elle a prise.
 L'incident ne sert pas les intérêts du Sud-Soudan, car il donne l'impression que le gouvernement n'est pas conscient des conséquences de ses décisions.

Analyse: Washington adopte la position de Khartoum

L'ONU a répondu rapidement à la demande du Soudan de réduire la mission de la MINUAD opérant au Darfour. Le représentant de la mission conjointe de l'ONU-UA (MINUAD) au Darfour, Ibrahim Gambari, a déclaré que l'ONU a rendu une décision de revoir le statut de la MINUAD au Darfour afin d'utiliser les fonds qui résultera de la réduction pour le  programme de développement dans la région.
Il ya quelques années, l'ONU a vivement exercé de fortes pressions pour amener les forces de maintien de la paix au Darfour sous des allégations de l'expansion des affrontements et l'aggravation de la situation sécuritaire et humanitaire.
Les positions du gouvernement sont basées sur le fait que la question ne nécessite pas le déploiement des forces. Maintenant, après quatre ans de la complétion de ces forces, il est devenu évident que la position du gouvernement était vrai.
La réponse de New York à la demande de Khartoum est un bon pas du fait que l'ONU est revenue à l'accord avec la question basée sur la réalité de la situation qu'il n'y a pas de besoin de ces forces au Darfour.

Analyse: Résultat du Soutien par Juba à M. Al-Hilo ... Plus de perte ... plus de déceptions, encore

Le gouvernement du Sud-Soudan a fourni Abdul-Aziz Al-Hilo, leader rebelle anti-gouvernement dans le Sud-Kordofan, Soudan, avec 50 véhicules remplis d'approvisionnements, d'équipements militaires et de munitions. Bien sûr, ce soutien n'était pas le premier, et ne sera pas le dernier.
La provocation par le gouvernement du Sud-Soudan a été la principale raison pour la rébellion d'Al-Hilo. Durant l'occasion marquant les célébrations du référendum, le président du gouvernement du Sud-Soudan Salva Kiir Mayardit a dit qu'ils ne seraient pas oublié le peuple du Sud-Kordofan et du Nil Bleu une déclaration qui a été considéré comme engagement de soutenir des rebelles contre le gouvernement dans ces régions.
La chose étrange à cet égard n'est pas la promesse de soutenir les rebelles, mais le timing de l'engagement qui est venu à la même occasion où M. Kiir a commémoré la sécession du Sud.
Maintenant, le récent soutien aux rebelles anti-Soudan est aussi étrange du fait que cela est venu immédiatement après la signature de l'accord de non-agression entre le Soudan et le Sud-Soudan.
Ainsi, le Gouvernement du Sud Soudan a plein d'espoir que ce soutien pressurisera le gouvernement du Soudan en montrant plus grande souplesse à l'égard des questions en suspens.
 Mais, cette expérience ne fonctionne pas du fait qu'elle ne fera qu'ajouter l'insulte à l'injure. Peut-être, le gouvernement du Sud Soudan a voulu alléger la pression militaire sur le mouvement rebelle dans l'Etat du Nil Bleu, où les Forces Armées Soudanaises lancent des opérations militaires pour libérer Yabos et les zones adjacentes, de sorte qu'Agar leader rebelle est complètement hors de l'équation militaire.
La position pourrait attirer l'attention de la communauté internationale à la situation misérable causée par le SPLM dans certaines régions du Sud-Kordofan.
D'autre part, le gouvernement du Sud Soudan semble être s'appuyer tellement sur Al-Hilo, qui perd la popularité dans le Sud Kordofan.

الثلاثاء، 14 فبراير 2012

Chef de MINUAD préside la réunion du Comité conjoint émané de document de la paix de Doha

Le Chef de la Mission Conjointe de l'ONU-Union Africaine au Darfour (MINUAD), Prof. Ibrahim Gambari va présider dimanche prochain la première réunion du comité conjoint émané du document de la paix de Doha, qui doit avoir lieu à Khartoum.
Dans un communiqué de presse, la MINUAD a indiqué que le comité est l'un des mécanismes d'implémentation des articles de base liés au cessez-le-feu et aux arrangements de sécurité finals inclus dans le document de paix de Doha.
Le Comité comprend des représentants du gouvernement du Soudan, le Mouvement de la Libération et de la Justice, le Qatar, la Ligue Arabe et l'Union Européenne.
Le communiqué de presse a invité les médias locaux et internationaux pour assister à la séance inaugurale.

Chef de MINUAD préside la réunion du Comité conjoint émané de document de la paix de Doha

Le Chef de la Mission Conjointe de l'ONU-Union Africaine au Darfour (MINUAD), Prof. Ibrahim Gambari va présider dimanche prochain la première réunion du comité conjoint émané du document de la paix de Doha, qui doit avoir lieu à Khartoum.
Dans un communiqué de presse, la MINUAD a indiqué que le comité est l'un des mécanismes d'implémentation des articles de base liés au cessez-le-feu et aux arrangements de sécurité finals inclus dans le document de paix de Doha.
Le Comité comprend des représentants du gouvernement du Soudan, le Mouvement de la Libération et de la Justice, le Qatar, la Ligue Arabe et l'Union Européenne.
Le communiqué de presse a invité les médias locaux et internationaux pour assister à la séance inaugurale.

Ocampo est responsable de la perte de la CPI aux pays Africain entiers

La Cour pénale internationale est sur le point de perdre tous les pays du continent Africain après l'expérience échouée par le procureur général, de nationalité argentine, Luis Moreno-Ocampo.

On aspire voir, à travers ses premières années, la CPI, une expérience judiciaires internationale raisonnable si n'était pas bonne.

A cet  égard, l'Union Africaine a mis en garde, (le Juillet 2011), ses membres des  pays du continent contre la coopération avec la CPI  sur l'arrestation à l'encontre du Président Soudanais Omer Al-Bashir.

Après les leaders africains avoir compris ce qui  - en surveillant les mouvements de Ocampo, que la robe de la justice internationale est seulement fait sur celle Africaine.

Mais malgré de cette décision africaine Officielle, les leaders africains n'ont pas resté silencieux mais ayant commencé  pratiquement à refuser le coopérer avec la Cour.

Ce pas a été pris plusieurs fois par le Tchad où le Président Al-Bashir ayant y visité et en revanche le président Deby a visité Khartoum, en plus de la visite au Kenya par le président  Al-Bashir.

Ce mouvement a été également fait par l'Etat de Malawi où il a accueilli le président soudanais malgré les menaces lancées par Ocampo et Puis l'Ouganda – qui est le plus proche d'Ocampo, le  président Museveni pose une question significative,  les Africains sont-ils les seuls qui commettent des crimes?

Museveni a dit, devant une conférence de presse qu'il a donné à la fin des activités du sommet des lacs au début de la semaine passée, que la Haye n'est qu'une épée sur les  africaines seulement, c'est pourquoi il n'est pas possible de coopérer avec la CPI.

Le président de Djibouti Omer Gaili a également dit à un magazine français récemment et malgré que son pays est membre de la Cour mais il est  contre la coopération avec elle.

Il est certain que l'Éthiopie et l'Érythrée et même la Libye, l'Egypte, l'Algérie et le Maroc ont suivi la même direction, spécialement que la Libye, a refusé à remettre Seif Al-Islam Kadhafi (demandé à la CPI).

Ce développement Sur la scène africaine vis-à-vis de la CPI est certainement un résultat du comportement du Procureur général Luis Ocampo, qui a consacré tous ses mouvements, de manière scandaleuse,  sur la scène Africaine.

La perte de La Haye aux pays du continent africain, au moins à l'égard de la poursuite du président soudanais maréchal Omer Al-Bashir est sans doute une grande perte, surtout que  les pays du continent, cherchent pour créer ses propres organes régionales tout en partant de l'Union européenne pour assurer leur indépendance, au moins en partie et  loin de la domination européenne.

Al-Bashir qualifie de suicide la décision du Sud Soudan de fermer le pipe-line du pétrole

Le Président Soudanais, Maréchal Omer Al-Bashir, a qualifié de suicide absolu la décision du gouvernement du Sud Soudan pour fermer les pipe-lines du pétrole, en affirmant que le gouvernement du Soudan continuera ses plans pour réaliser le développement dans le pays, malgré les défis.
En adressant les employés travaillant dans l'établissement des barrages de haut Atbara et Setet dimanche, le Président Al-Bashir a dit que le Soudan rencontre un ennemi externe, représenté dans l'Alliance sioniste- croisade, aussi bien qu'un ennemi intérieur, comme l'alliance Kauda d'opposition et de rebelles, qui ont cru que la fermeture du pipe-line du pétrole renversera le gouvernement du Nord Soudan au cours de deux mois.
Le Président Al-Bashir a dit qu'après que le pipeline a été fermé, le taux de change des dollars a été réduit et l'alliance Kauda est devenue le perdant.
Il a fait allusion aux ressources vastes au Soudan, à la tête desquelles est d'or, qui est attendu ajouter environ de 2, 5 milliards de dollars dans l'année actuelle.
Il a aussi affirmé la détermination de l'état d'améliorer l'Agriculture et étendre la région cultivée verticalement et horizontalement.
Le Président Al-Bashir a salué les martyrs du Soudan, à la tête desquels était le Marshal El-Zubair Mohamed Saliha, en promettant de suivre les démarches et à ne pas se retirer malgré tous les défis et les complots.
Il a fait l'éloge des jeunes du Soudan qui travaillent sur les projets importants comme les barrages et les projets de pétrole, en louant le rôle des partenaires de développement du Soudan, en incluant les fonds arabes et les compagnies chinoises.

Le soutien par Washington pour Juba avec les armes a divulgué les agendas cachés

Au début de la dernière semaine, le Président Américain Barak Obama a donné des directives pour la levée de l'embargo américain sur les ventes de la défense pour l'Etat du Sud-Soudan.

Selon un communiqué ayant publié par la Maison Blanche, le président Obama a annoncé que son administration fournirait une aide militaire a et des services de défense pour le gouvernement du Sud-Soudan.

Dans le  même contexte, Hillary Clinton a dit  qu'elle va permettre de fournir des matériels et  des services de défense au Sud-Soudan pour renforcer la sécurité de l'Amérique et soutenir la paix mondiale.

Malgré du fait que  la question des armes et le soutien destiné au nouveau Etat dans le continent africain est une question interne, mais elle est une question très importante, spécialement du fait qu'elle va réorganiser les forces dans le continent africain et peut-être augmenter la complexité de la situation dans l'État surtout il dépasse une étape critique, chose qui affecte  à son tour sur les voisins du nouveau Etat.

Ce pas était attendu et il n'est pas nouveau et un scénario attendu, surtout après la sécession du Sud-Soudan.

Au fil de l'histoire du conflit au Soudan depuis le déclenchement de la crise, l'Amérique a été et est encontre continue d'apporter un soutien matériel et moral aux leaders du Sud, mais c'était caché et à travers d'un  médiateur africain moyennant Kampala et Nairobi et ainsi de suite.

Selon la Maison Blanche, le soutien n'est pas destiné à renforcer la sécurité intérieure du nouveau Etat, ni à arrêter la violence dans de nombreux Etats de l 'État en plus de disputes tribales comme on l'avait vu entre les tribaux des Nuer et des Murly menant à la guerre qui ayant  laissé derrière plus de 336 mille de morts et de blessés et de sans-abri.

Pourquoi ce pas est attendu?

Evidemment, tout nouveau Etat adopte diriger un conflit avec les ennemis d'Israël, spécialement  du fait que l'entité sioniste a annoncé, depuis la déclaration de sécession le dernier Juillet 2011, sa reconnaissance du nouveau Etat.

Les Etats-Unis estiment soutenir le Sud avec des armes peut-être créer un équilibre des pouvoirs dans la région africaine.

De même, l'annonce du soutien peut être retardée parce que Washington jette sur son dos la responsabilité du nouveau-né Etat du sud en annonçant la levée du blocus économique du Sud.

Certains observateurs ont souligné que les Etats-Unis veulent créer un spectre pour contrôler le continent africain pour faire face à l'expansion afro -arabe et au mouvement islamique accru en Afrique (les révolutions de printemps) surtout la Corne de l'Afrique, la Somalie, l'Erythrée et le Djibouti.

D'autre part, Washington prête une attention particulier à l'héritage du pétrole , chose qui confirme les déclarations faites par Hillary Clinton sur la gestion du pétrole au nom de ses propriétaires, chose qui s'est passé, selon les observateurs, en Irak en matière du pillage de la richesse sous prétexte de différentes allégations surtout que l'Amérique ne donne quelque chose sans.

Ce pas peut accroitre l'entêtement des leaders du sud Soudan pour résoudre les questions en suspens avec le nord Soudan et jeter l'effet négatif pour soutenir la rébellion des mouvements rebelles armées contre son voisin nordiste, notamment l'Alliance ce qu'on appelle l'alliance (Juba – Yei)

Al-Janzouri a souligné la nécessité de renforcer "La coopération hydraulique» entre l'Egypte et le Soudan

Le Premier  Ministre Egyptien  Kamal Al-Janzouri a appelé Le ministre de l'Irrigation Hisham Gindeel à la nécessité du fait que  l'Egypte doit accorder toutes les formes de soutien technique et techniques pour  le centre de recherche des ressources hydrauliques et l'irrigation au Soudan.

Lors d'une sa rencontre mardi le ministre soudanais de l'Irrigation et des Ressources hydrauliques  Seif Eddin Hamad,  M Al-Janzouri  a souligné la nécessité de relancer la coopération entre l'Egypte et le Soudan dans les différents domaines,

notamment dans les ressources hydrauliques et les  moyens pour réaliser cette coopération tout en partant des relations historiques qui lient les  deux États et les peuples de la vallée du Nil.

A ce propos, un comité tripartite composé des experts égyptiens et soudanais  pour mettre une place d'un mécanisme d'une entente sur les questions annoncées et les moyens de la sélection des experts pour promouvoir la coopération hydrauliques entre les deux pays.

La réunion a également discuté la situation actuelle dans les pays du bassin du Nil et ayant présenté les résultats conjoints entre les ministres de l'irrigation en Egypte et au Soudan et les  moyens d'unifier les visions sur les questions en suspens entre les pays du bassin du Nil.

La réunion conjointe a, en outre, abordé les questions d'intérêt commun dans les domaines de l'électricité et de l'énergie et les moyens de les développer davantage.

M. Al-Janzouri a affairmé le souci de son gouvernement à fournir toutes les formes de soutien pour tous les projets économiques entre l'Egypte et le soudan.

Le Soudan affirme l'importance de la coordination entre les organisations d e l'aide humanitaire

Le Soudan a renouvelé son refus de fournir des secours ou une aide aux régions rebelles de l'étranger
Dans le temps où les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan œuvrent pour régler leur différend sur les frais de transfert  du pétrola du Sud , le niveau de la tension s'est accrue entre les deux pays et la médiation africaine a présenté une feuille de route  pour résoudre la crise.

Le Porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères Al-Obeid Marawah a dit que l'aide de la communauté internationale est nécessaire, mais, selon les accords et la coordination entre le gouvernement et les organisations étant que donné des régions qui pourraient voir des opérations militaires.

Il a ajouté que la situation humanitaire au Sud Kordofan et au  Nil Bleu trouve une attention particulière par l'Etat pour couvrir tous les besoins humanitaires dans ces régions.

Il a ajouté que le gouvernement suit des activités coordonnées dirigé par les forces extrémistes dans les Etats-Unis pour préparer la scène internationale pour mener à la famine dans les deux régions le Mars   prochain, si ce n'est pas permis aux organisations internationales pour atteindre à ces régions pour  fournir les aides humanitaires.

Il a indiqué que la situation humanitaire actuelle dans ces régions en raison de la rébellion et l'absence d'engagement de  l'un des parties a propos de ce qui a été convenu de ne pas retirer ses forces.

Pour leur part, les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan doivent œuvrer pour régler leur différend sur  les frais du transport le pétrole du sud Soudan a travers les territoires du Soudan.

La Porte-parole du Département d'État Américain, Victoria Nuland a indiqué dans un communiqué, "Nous encourageons les deux parties à redoubler les efforts pour parvenir à un accord sur la solution permanente.

La tension entre le Soudan et le Sud, le Soudan s'est étendue au milieu des différences des positions dans les négociations d'Addis-Abeba, mais la médiation africaine a déclaré une solution d'une "feuille de route" sera discuté durant la reprise des négociations le jeudi prochain.

Pour sa part, le ministre d'État au ministère de la Présidence de la  République Amin  Hassan Omer a minimisé l'importance  de la décision du Sud-Soudan  d'arrêter la production et l'exportation de son pétrole via le nord.

Il a expliqué que la quantité existante du pétrole dans les pipelines et les réservoirs offrira une grande somme des dettes du Soudan dues au  sud.

Le ministre de la présidence du conseil des ministres au gouvernement du Sud Deng Alor a affirmé que son gouvernement possède une réserve de fonds qui suffira pour cinq ans à partir d'à présent et l'économie de l'Etat ne sera pas affectée par ce pas.

Pour cela,  l'État du Sud-Soudan  a déposé une plainte officielle aux  tribunaux internationaux spécialisés contre le Soudan et certaines compagnies en raison de ce qu'il appelle le vol de son pétrole.

De même, le Parti du Congrès National au pouvoir au Soudan a qualifié d'irrationnelle et d'irresponsable la décision d'arrêter le pompage du pétrole, en considérant que le pas n'est pas en faveur du sud ou la relation entre les deux pays.

Il a accusé des leaders au gouvernement du Sud  de servir des agendas mal –intentionnés.

Source: Khaleej Times 23/1/2012 M.

Al-Bachir affirme le souci de pousser en avant les relations avec l'Erythrée

Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM au Sud Soudan à l'offre honteuse pour acheter la zone contestée d'Abyei.

La dispute sur Abyei était censé être réglé moyennant le référendum du SPLM a rejeté sa conduite sans aucune raison convaincante.

Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM parce que la culture de la vente et de l'achat est profondément ancrée dans son esprit.
Immédiatement, après la déclaration de la séparation du Sud Soudan, le SPLM était en train de signer des contrats pour vendre des terres sudistes fertiles et riches de ressources pour les compagnies Américaines, Européennes Et Israéliennes.

Le SPLM a vendu à présent environ de 9%  du volume total des terres du Sud-Soudan pour certains quelques milliers de dollars, chose qui rend toute chose  ressemble le paiement d'une facture différée politique.
Basé sur cette culture de marché, le SPLM a pensé qu'il pourrait faire la même chose avec le gouvernement du Soudan et a offert d'acheter la région d'Abyei.
Puisque la question est sur le paiement des factures internationales, il n'est pas exclu que l'achat sera en faveur d'autres parties avec des ambitions à saisir les terres d'Abyei.
Toutefois, l'offre elle-même peut être lue dans un autre contexte qui ne sert pas les intérêts du Sud-Soudan.

Premièrement, il est évident que l'offre illustre brièvement la position juridique et politique du SPLM envers la propriété de la terre parce qu'il ne semble pas logique de prétendre la propriété d'une terre pendant que vous offrez de l'acheter d'une autre partie.

Le propriétaire de tout bien ou à quiconque revendique la propriété d'une terre ou d'autre chose n'évite pas les moyens légaux pour résoudre la dispute sur la possession de cette propriété.
Deuxièmement, le SPLM veut une solution rapide après les choses se sont tellement compliquées sans aucun signe des solutions à venir. Si le SPLM a accepté le référendum sur Abyei, la situation aurait résolu.
Troisièmement, le SPLM semble être sous la pression des fils d'Abyei dans le SPLM comme Deng Alor et Luka Biong.
Par conséquent, le référendum est une solution meilleure et unique de cette crise.

Analyse: La décision du Conseil de sécurité de l'ONU sur Abyei …Des agendas ouverts

Dans un pas surpris, le Conseil de Sécurité a décidé samedi de prolonger le mandat des forces de maintien de la paix de l'ONU à Abyei temporairement. Puisque la dispute est encore non résolue, la décision est normale.
En tout cas, la chose anormale est le pas du Conseil de Sécurité donnant ces forces le mandat de travailler sous le chapitre (7) qui permet l'utilisation de la force militaire pour assurer la sécurité et l'ordre.
L'ONU n'a normalement recouru à ce chapitre sauf s'il ya un état de guerre et de conflit où les deux parties n'ont pas réussi à mettre un terme ou calmer le combat.
Depuis la zone n'a pas été vu de combat dans la période précédente, la décision du Conseil de Sécurité est étrange. De plus, les deux parties ont convenu à Addis-Abeba au plus tôt le temps pour déployer des forces Ethiopiennes à Abyei en vertu du chapitre (6).
Les avant-gardes de ces forces étaient déjà déployées à Abyei. Le gouvernement soudanais a montré l'engagement à retirer ses forces d'Abyei à la fin du déploiement des forces Ethiopiennes. Le gouvernement Soudanais n'a pas violé son engagement ou des accords à cet égard.
Non une seule attaque a été faite par le Soudan, bien que l'accord de paix de 2005 stipule que la zone sera sous la présidence Soudanaise jusqu'à ce que le référendum pour déterminer si la zone fait partie du Soudan ou du Sud-Soudan est faite.
Cette décision de l'ONU pourrait être bien si le Soudan ayant lancé une guerre ou violé les droits des Dinka Ngok ou violé tout item de l'accord d'Addis-Abeba. Puisque aucune de ces choses sont arrivées, la décision demeure étrange.
Pire que cela a été la tendance de l'ONU de ne pas se concentrer sur la recherche d'une solution politique définitive à la question.
Le référendum est la solution que le Conseil de sécurité ne devrait pas aider le Sud-Soudan à échapper.
Si le Conseil de sécurité concentre sur le forcement du Sud-Soudan à accepter l'organisation du référendum ayant stipulé dans l'accord de paix, il n'y aurait pas besoin de toutes ces escalades graves.
Évidemment, la démarche vise à mettre la pression sur le gouvernement Soudanais et d'aggraver la situation dans la région jusqu'à ce que la région entière soit sous la domination des puissances internationales.

Analyse: Washington aide Juba à commettre le génocide à Jonglei

La semaine dernière, le Gouvernement Soudanais a accusé les Etats-Unis de soutenir les rebelles du Sud-Kordofan et du Nil Bleu.
Le Porte-Parole du Ministère Soudanais des Affaires Etrangères, Al-Obeid Ahmed Morawah a déclaré aux journalistes que la situation dans les Etats du Nil Bleu et du Sud Kordofan est le résultat d'une rébellion soutenue par les USA.
Alors qu'Al-Obeid a dit que les Etats-Unis rejettent à exercer des pressions sur les groupes rebelles pour les rendre joindre au processus de paix, le Président Américain Barak Obama a été officiellement annoncé une nouvelle stratégie défensive qui comprenait une décision de lever l'interdiction de l'exportation des armes défensives sur le Sud-Soudan.
Obama a indiqué que les Etats-Unis permettront la provision de services de défense au Sud-Soudan pour renforcer la sécurité des Etats-Unis et  soutenir la paix dans le monde. Ce développement explique la nature des relations entre Juba et  Washington.
Le Sud-Soudan témoigne des conflits inter-tribaux qui mènent à la mort de 3 personnes et le déplacement de dizaines de milliers.
Le soutien américain intervient du fait que des rapports disent que Juba a l'intention de lancer des attaques militaires sur les zones d'Abyei, du sud Kordofan et du Nil Bleu par sa propre armée ou de ses mandataires.
Évidemment, Washington se dirige à offrir un maximum soutien militaire au Sud-Soudan pour changer l'équation militaire entre le Soudan et le Sud-Soudan, Permettant Juba à soutenir les rebelles anti-Soudan et en fournissant le Sud avec des armes sont des choses qui vont enflammer la région.
L'appui militaire américain au Sud-Soudan à cette phase ne sera pas relancé la paix mondiale, car il va augmenter la violence dans la région, en particulier dans les circonstances actuelles dans lesquelles le Sud-Soudan voit un génocide indéniable.
Dans l'Etat de Jonglei au Sud-Soudan, les tribus des Neur et leurs alliés Dinka tuent les membres des tribus Murle.
La déclaration de l'appui militaire américain au Sud-Soudan en ce moment confirme l'hypothèse que Washington appuie efficacement le génocide en cours dans le Sud-Soudan.
Washington devrait reconsidérer ce pas d'escalade injustifiable qui vient dans un moment où les Etats-Unis affirment qu'un haut officiel se rendra à Khartoum à la fin du mois en cours. Quelle est la valeur de cette visite sous les escalades actuelles de situations?

Analyse: Le Soudan appelle l'Interpol à rendre un mandat d'arrêt contre Agar et Arman

Le Procureur Général du Soudan Omer Ahmed a demandé à Interpol d'arrêter 18 personnes accusées d'implication dans l'attaque militaire dans l'Etat du Nil Bleu.
La liste incluait l'ancien gouverneur de l'Etat et chef du SPLM -secteur du Nord-Soudan Malik Agar et le Secrétaire Général du SPLM-Nord Yassir Arman.
Les noms des personnes demandées ont été annoncés sur deux journaux publiés à Khartoum la semaine dernière.
Le comité d'enquête sur les incidents du Nil Bleu a commencé à prendre les mesures d'arrêter les accusés qui sont accusés de crimes de porter atteinte au système constitutionnel, faire guerre à l'Etat et violer la paix publique et la tranquillité par l'implication dans un acte criminel.
La distribution de ces notices rouges est un pas très grave car ils sont concernés par les criminels fugitifs qui ont commis des crimes.
Certains pourraient dire que le mandat est politiquement motivé, mais l'évidence et les informations recueillies des incidents de l'Etat du Nil Bleu ayant prouvé le contraire.
Certains pourraient dire que la présentation du mémo est venu après le meurtre de Khail Ibrahim, ou à soutenir les actions militaires de ce mouvement légal surtout après les victoires par les Forces Armées Soudanaises dans les différents fronts.
Ce memo n'a pas été le premier dans l'histoire moderne du Soudan. L'ancien leader des forces de l'Alliance de l'opposition Abdul-Aziz Khalid, qui a participé à la lutte contre le Gouvernement Soudanais dans le front de l'Est, a été arrêté par Interpol à l'aéroport d'Abu Dahabi après la diffusion de la notice rouge contre lui en Septembre 2004.

Analyse: Rice et la conspiration Américaine sur le Soudan

La semaine dernière, l'ambassadeur du Soudan à l'ONU a présenté un rapport détaillé sur la situation humanitaire dans les Etats du Nil Bleu et du Sud Kordofan dans lequel il a expliqué les motifs du Soudan à ne pas permettre l'organisation des secours de l'ONU dans les deux Etats.
Le ministère soudanais des Affaires étrangères a attribué, récemment, les positions du gouvernement soudanais à ne pas autoriser les organisations dans ces zones à l'absence de sécurité dans certaines régions.
Il a déclaré que le rejet du gouvernement est également en raison de l'expérience du gouvernement en permettant une telle aide au Sud-Soudan et au Darfour.
 Il a dit que les agences de l'ONU ne sont pas accueillies dans les zones qui contrôlent par les rebelles. Il a ajouté que ces régions ne sont pas sûres pour le personnel de l'aide humanitaire, disant que le gouvernement a un engagement moral à protéger les travailleurs dans l'aide.
Il a indiqué que jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée, le gouvernement ne peut pas permettre le plein accès dans ces zones. À son tour, l'émissaire américain à l'ONU Susan Rice, a présenté un mémo plein de mensonges sur le Soudan pour mettre de nouvelles pressions sur le gouvernement de Khartoum.
Le mémo ayant inclus de faux témoignages et des chiffres sans fondement. Le mémo a été fondé sur les déclarations de certains analystes locaux qui ne sont pas familiers avec les événements dans les deux Etats.
Le mémo confirme le complot américain contre Khartoum en soumettant ces mémos ayant été l'un des principaux outils de la politique américaine hostile envers le Soudan.
Le mémo a été une réaction à la décision du gouvernement à ne pas autoriser les agences américaines dans les deux États après leur implication dans le soutien aux rebelles et à évacuer leurs éléments blessés.
Les Etats-Unis ignorent la mauvaise situation dans le Sud-Soudan  où le combat inter-tribal ayant tué des milliers de personnes innocentes. Il reflète la politique américaine de " de deux poids, deux mesures" envers les questions du monde.

Analyse: Pourquoi le Front révolutionnaire a-t-il rejeté Jibril Ibrahim?

Le front révolutionnaire, le mouvement armé qui comprenait un certain nombre de forces soudanaises, la nomination de Jibril Ibrahim comme le leader pour le Mouvement de la justice et d'égalité.
 Malgré la faiblesse des membres du Front révolutionnaire, ils croient que Jibril Ibrahim n'a pas les capacités de leadership qui lui  qualifie pour diriger le commandement du mouvement.
 La prise de Khalil Ibrahim à la présidence du front a été le résultat de sa propriété à la force militaire, surtout après le retour de la Libye où il a été fourni en armes et en argent.
 En fait, la crise du Front révolutionnaire semble être dans une exacerbation constante. Le mouvement a souffert de l'assassinat de son leader Khalil Ibrahim et les défaites militaires dans le Nil Bleu et le Sud-Kordofan, un pas qui ayant forcé Agar et Al-Hilo à prendre la fuite vers le Sud-Soudan.
 La défaite des deux leaders rebelles a été la raison de leur alliance tactique avec Khalil Ibrahim d'unifier les actions du front du fait que le mouvement de Khalil a des liens étroits avec le Congrès populaire dirigé par Dr. Al-Turabi.
 Minnawi, qui séjourne à Juba, a perdu espoir dans un changement possible après l'assassinat de Khalil Ibrahim, malgré les hostilités historiques entre les deux leaders rebelles depuis l'attaque du mouvement de la justice et de l'égalité sur le Mouvement de mouvement de Minnawi de Muhajiriya, Sud-Darfour il ya deux ans.
 D'autre part, l'implication du Mouvement pour la libération et la justice et les gros membres du Mouvement de la justice et d'égalité dans l'accord de paix au Darfour a affecté négativement les membres du Front révolutionnaire qui ayant réalisé que Darfour est en train de devenir plus cohérente.
 Ainsi, Jibrhil Ibrahim n'a pas beaucoup d'options. La seule et la meilleure option pour lui maintenant est l'accord de paix de Doha.

Analyse: La fermeture des frontières … qui est le perdant

En continuité de la tension entre le Soudan et le Sud Soudan, un haut officiel sud Soudan a dit qu'ils fermeraient les frontières avec le Soudan.
Cette déclaration extrêmement tendue révèle plusieurs questions, des probabilités et des perspectives sur le bénéficiaire réel de l'ouverture des frontières entre les deux pays.
La déclaration du Ministre de la Paix dans le Sud Soudan implique des hostilités avec le Soudan voisin du fait qu'il a commencé à parler des traversées différentes avec d'autres pays voisins.
Bien qu'il y ait un accord sur l'établissement de dix points frontaliers avec le nouveau né Etat pour le sauver de la faim, la décision sud-Soudanaise était le dernier ongle dans le cercueil du nouvel état du fait que fermeture de la décision des frontières reflète l'irresponsabilité de l'état du Sud vers ses citoyens.
La fermeture des frontières ira faire de l'aide au Soudan comme il ne fera pas face aux problèmes d'immigrations et d'autres problèmes de sécurité sur les frontières.

Analyse: L'unité de Juba... les indications et les conséquences

Abdul-Shafie a fait un pas très étrange quand a décidé de scinder du Mouvement pour la libération et la justice et à établir un nouveau front, qui sera appelé (unité de Juba) du fait que cet acte donne une indication que la question de Darfour est devenue un outil pour utiliser des agendas personnels.
 Abdul-Shafie semble oublier que Juba est la capitale d'un autre Etat. Ainsi, en appelant son nouveau mouvement du fait que l'alliance de Juba mettra son mouvement dans une situation critique.
Cet acte pourrait l'incriminer comme il tombe sous acte de haute trahison. Il n'a pas de sens pour un leader rebelle de mettre les intérêts stratégiques de son pays sous la clémence d'un autre pays.
Abdul-shafie ne s'est pas déchiré en raison des différences sur les postes constitutionnels ou les positions spécifiques vers le Mouvement pour la Libération et la Justice, mais en raison de son propre vue que le gouvernement de Khartoum n'est pas bon pour lui.
Cette position reflète l'immaturité politique comme il pourrait oublier qu'il s'est assis avec ce gouvernement à une table de négociation pour les demandes réelles.
Ainsi, sa séparation ayant détruit les espoirs de beaucoup de peuple de Darfour que l'homme qui est venu à la tête de la délégation de rebelles ne s'intéresse plus à réaliser leurs aspirations.
Mais, la question est, est-ce que Juba est-il capable de payer le haut prix de receler des rebelles anti-Soudan ?

الثلاثاء، 7 فبراير 2012

Analyse: Qui préside les forces de l'opposition Soudanaise?

Nous pouvons dire que la crise est profonde et l'alliance de l'opposition est faible. La crise des forces  de l'opposition soudanaise réside dans l'absence de la confiance politique avec tous les sens du mot.
 Les partis communistes en général (le communiste et le parti Ba'as) se rendent compte qu'ils ne seront pas obtenus un soutien populaire en raison de leur absence de l'arène politique et à la connexion de ces forces avec les puissances internationales.
 Les partis populaire et d'Umma national ne font pas confiance à ces forces de gauche à cause de leurs vieillies positions quand ils étaient dans le gouvernement et l'opposition.
 Le conflit commence avec ce point, où chaque côté essaie de prendre le commandement de l'alliance de l'opposition. Probablement, la seule chose étrange était la revanche des forces de l'opposition que leur objectif de renverser le gouvernement est impossible.
 Malgré tout cela, ces forces sont encore disputées sur la présidence de l'alliance d'opposition. La question est: quelle est l'importance de la présidence de l'alliance qui n'est pas capable de réaliser ses objectifs aspirés.
 Cette crise elle-même est suffisante pour renforcer l'conviction populaire que les forces d'opposition ne méritent pas la confiance nécessaire pour devenir une alternative pour le pouvoir actuel.

Analyse: Horizons de l'avenir à Khartoum et à Juba après l'arrêt du pétrole

Selon les experts pétroliers locaux et internationaux, les revenus  pétroliers au Soudan sont beaucoup plus grands que dans le Sud-Soudan.
Selon le Journal SudanSafari, les experts ont dit que les études de prospection révèlent qu'il ya un lac énorme de pétrole dans la plupart des régions du Sud-Soudan.
 Un expert soudanais a déclaré samedi dernier au quotidien SudanSafari qu'il s'attend à ce que le Soudan va reprendre son statut de pays exportateur de pétrole en presque un an, ou même moins. Il a dit que le gouvernement n'a pas révélé cette information pour ses propres raisons.
 D'autre part, l'Etat du Sud-Soudan a besoin de plus d'un an pour reprendre l'exportation de son pétrole via un autre cours avec un plus grand coût. Probablement, ce point particulier prédit l'avenir économique des deux Etats.
 Il est devenu claire que Juba essaye d'utiliser le pétrole comme carte de pression contre Khartoum en vue de pousser le peuple à protester contre le gouvernement si l'économie soudanaise a affecté  négativement par la fermeture des pipelines.
 Les différences économiques entre les deux États ont fait leur apparition dans le taux de chômage qui ayant éclaté après l'arrêt du pompage du pétrole.
Des sources sudistes ont indiqué qu'environ de 25.000 des travailleurs du Sud rencontrent un danger de perdre leur emploi après l'arrêt de l'exportation du pétrole tandis que le côté soudanais n'ayant pas affecté par ce pas que le Soudan se prépare déjà pour ses alternatives.
Le Soudan œuvre maintenant sur ses revenus p non pétroliers (coton, des minéraux et des produits agricoles), tandis que le Sud n'a pas fait aucun pas pour développer ses revenus non pétroliers pour de nombreux facteurs, y compris la position du gouvernement n'est pas en se concentrant sur le bien-être et les intérêts des citoyens du Sud Soudan.

Délégation du Gouvernement du Soudan rend un communiqué sur l'obstruction des négociations avec le Sud-Soudan et réfute les allégations de Juba sur le pétrole

La délégation du Gouvernement Soudanais aux négociations avec le gouvernement du Sud-Soudan sur la question du pétrole a publié mercredi un communiqué sur l'obstruction des négociations sur la question du pétrole.
Le communiqué a réfuté les allégations et prétextes émis par le gouvernement du Sud Soudan pour justifier ses positions.
Le communiqué a noté que, le gouvernement soudanais va renvoyer au gouvernement de Juba la responsabilité entière de toute tentative de sabotage dans les champs pétroliers, dans les installations et infrastructures au Soudan et surtout l'oléoduc de la compagnie de (Grand Nile Petroleum) .
L'équipe des négociation du Soudan s'est exprimée déplorable sur les positions négatives adoptées par le gouvernement du Sud-Soudan lors des négociations de post-sécession sur les questions en suspens qui ont eu lieu en Ethiopie au cours de la période entre 17 - 28 Janvier 2012.
La délégation a déclaré dans le communiqué qu'elle est venue pour négocier avec le gouvernement du Sud-Soudan en vue de surmonter les obstacles auxquels font face les progrès des négociations, indiquant qu'elle était au courant depuis le début des pourparlers que le gouvernement du Sud-Soudan avait adopté une attitude visant à faire avorter toute tentative pour parvenir à un accord sur le les enjeux fixés pour la négociation.
La déclaration a dit que le gouvernement du Sud-Soudan avait l'intention de créer une crise à travers des déclarations négatives qui n'ont pas exclu même le chef de l'Etat.
Le texte a également a fait remarquer à la décision émise par le gouvernement du Sud-Soudan sur la fermeture du champ de pétrole au moment où les négociations se poursuivaient entre les deux parties à Addis-Abeba.
Le communiqué a souligné que le gouvernement du Sud-Soudan n'ont montré aucun signe pour parvenir à un accord juste pour les deux parties, indiquant que cette attitude négative a atteint son paroxysme par la décision du gouvernement du Sud Soudan du rejet de la proposition donnée par le Groupe de haut niveau de l'Union africaine sur la signature d'un accord intérimaire relatif au passage du pétrole du Sud-Soudan à travers le Soudan pour garantir une atmosphère appropriée pour parvenir à un accord définitif avec un délai d'un mois.
L'équipe du gouvernement soudanais des négociation a indiqué que, le gouvernement du Sud-Soudan pour avait rejeté la proposition de la médiation africaine, malgré les différents efforts entrepris le comité Quartette.qui était composé des chefs d'Etat du Kenya, l'Ethiopie, le Soudan et du Sud Soudan.
Le texte a également a fait allusion à l'acceptation du gouvernement soudanais d'une proposition antérieure de la médiation africaine en août 2011 sur le paiement du Sud-Soudan d'une somme d'argent précise au gouvernement du Soudan contre l'utilisation de ses installations pétrolières et des infrastructures dans le Nord, indiquant que le gouvernement du Sud-Soudan a également rejeté cette proposition.
La communiqué a dit que le gouvernement du Sud-Soudan avait fixé des conditions impossibles pour parvenir à un accord avec le Soudan, y compris son insistance pour que le Soudan déclare l'appartenance d'Abyei au Sud-Soudan et que le Soudan abandonne les zones contestées à la frontière commune.
Le  texte de l'équipe du gouvernement soudanais pour les négociations a déclaré que le gouvernement du Sud-Soudan continuait l'exportation du pétrole à travers le Soudan depuis Juillet 2011 jusqu'au Décembre 2011 sans paiement des frais contre son utilisation des installations, des infrastructures et des ports d'exportation du Soudan.
La délégation du gouvernement a fait remarquer à l'initiative lancée par le Président de la République pour permettre aux navires transportant du pétrole du Sud Soudan qui n'ont pas payé les frais de quitter le Port de Bashayer comme un signe de bonne volonté du côté du Soudan et pour encourager le gouvernement du Sud-Soudan de signer l'accord-cadre qui a proposé par le Groupe de l'Union africaine sur le Soudan et a été approuvé par le comité Quartette.
"Face aux refus répétés par le gouvernement du Sud-Soudan de payer les honoraires dus au gouvernement du Soudan et face à l'abstention pour présenter une proposition pour parvenir à un accord, le gouvernement du Soudan a décidé de tirer ses droits financiers et exercer son devoir constitutionnel ", a dit le communiqué, ajoutant que le gouvernement soudanais avait informé le gouvernement du Sud-Soudan et les entreprises de cette décision avant un temps suffisant.
Le texte a souligné que le gouvernement soudanais renvoie au gouvernement du Sud-Soudan la responsabilité entière de tout ciblage ou actes de sabotage sur des gisements pétrolifères, les installations et les infrastructures au Soudan, en particulier l'oléoduc de la compagnie "Grand Nile Petroleum".
Le communiqué a fait référence au fait bien connu que le Sud-Soudan gouvernement accorde plein soutien aux rebelles dans le Sud-Kordofan, au sud du Nil Bleu et au Darfour ainsi que son hébergement dans des camps d'entraînement militaire pour les mouvements rebelles à l'intérieur des territoires du Sud-Soudan.

Analyse: UNMIS ... Cas sérieux d'infiltration

Le Parti du Congrès National a souligné l'importance de faire une enquête sur les opérations d'évacuation de personnes blessées du SPLM dans le combat au Sud Kordofan à la république du Sud Soudan par des avions de l'ONU.
 Selon des sources au SudanSafari à Khartoum, capitale du Soudan, des avions de l'ONU ont évacué les personnes blessées du SPLM à Juba, capitale du Sud Soudan, sans prendre la permission des autorités Soudanaises stipulé par les règles du droit international et le mandat donné à la mission de l'ONU au Soudan (MINUS).
Selon le Sudansafari, la MINUS a agit avec une partialité à plusieurs fois, et que le gouvernement Soudanais a remarqué récemment un certain nombre de violations au mandat de la MINUS.
 Ces développements pourraient rendre les forces de la MINUS un supporteur à l'action armée au Sud Kordofan.
L'ONU n'a pas honoré sa promesse de mener des enquêtes dans le combat  sur le Sud-Kordofan, qui ayant commencé lorsque les rebelles attaquent les forces du gouvernement et de convoi des Nations Unies.
L'ONU n'a pas le droit de s'ingérer dans la dispute en faveur d'aucun parti, spécialement la dispute est une question purement interne qui devrait être traitée en conformité avec les lois Soudanaises.
 C'est-à-dire ce qui se passe au Sud-Kordofan est un acte contraire à la loi par des groupes armés qui visent les forces du gouvernement, les citoyens et les installations vitales, chose qui donne le gouvernement Soudanais le droit d'y résister par tous les moyens.
 L'acte de MINUS aide les rebelles à jouir de l'impunité, chose qui les soutient à lancer plus d'attaques contre le gouvernement Soudanais. L'acte de la MINUS a jette aussi des doutes soient la MINUS soutenu les rebelles militairement ou non.
 La MINUS doit répondre à la question, si elle était nécessaire pour évacuer les rebelles blessés du Sud Kordofan, pourquoi a-t-elle les évacué vers le Sud Soudan à ne pas en Ethiopie, en République centrafricaine ou tout autre lieu?

Analyse: Le PCP ... le plafond politique impossible

Peut-être, il n'y aura pas de désaccord que le Parti du Congrès Populaire (PCP) dirigé par Dr Hassan Al-Turabi est parti d'opposition qui exerce d'opposition différente basée sur la destruction du gouvernement auquel ils ont fait partie .
L'Assistant du Secrétaire Général du PCP Ibrahim Al-Sanousi a dit devant un symposium du parti unioniste à Wad Medani, que son parti soulève le slogan de (pas de négociations, pas de participation, pas de dialogue).
La politique rationnelle ne sait pas de telles positions extrêmes et radicales.
De même, le PCP est-il capable de transférer son slogan en réalité? Depuis sa division du gouvernement, le PCP a échoué, même de mobiliser de peuple, même dans une rue pour manifester contre le gouvernement.
Il ya une question très importante: pourquoi le PCP a-t-il échoué à prévenir la plupart de ses leaders de rejoindre le Congrès National?
Les ex-membres du PCP sont devenus des leaders influents au Congrès National et le gouvernement. Toute partie qui n'a pas la capacité d'unifier son rang et de prendre une position décisive n'atteindra aucun succès politique et encore moins renverser le gouvernement.
La politique est l'art du possible et que le gouvernement actuel est élu démocratiquement et n'est pas une puissance étrangère. Donc, si la défiance du PCP a été basée sur la défaite du gouvernement dans les élections, il n'y aura aucun problème.
Mais, le PCP pense qu'il est capable de renverser le gouvernement par des moyens autres que les élections, chose qui va conduire à un effondrement politique.

الاثنين، 6 فبراير 2012

Analyse: Département Américain du Trésor et le Soudan …Assouplissement ou camouflage

Sans doute, la coïncidence pourrait être le principal acteur dans la convocation de la conférence économique du Congrès National et la décision Américaine d'alléger certaines restrictions et les sanctions économiques contre le Soudan. La décision Américaine, qui a été rendue mercredi dernier, est très limitée et manque la valeur économique réelle.
Toutefois, la délivrance de la décision a été un must car elle fait partie des politiques Américaines d'offrir des encouragements pour le Soudan.
Contrairement à quoi il ressemble, le pas des Etats-Unis vise  à servir les intérêts des Etats-Unis n'est pas l'économie Soudanaise.
Les États-Unis ont soif du pétrole du Sud-Soudan, et a commencé à faciliter l'entrée des compagnies pétrolières Américaines dans la région d'être proche aux champs de pétrole.
 Assurément, cette question nécessite la création d'une balance raisonnable entre le Soudan et le Sud-Soudan. Il semble que Washington, avec sa décision limitée, a voulu donner au Congrès National certaine motivation politique, tout en discutant des questions Soudanaises économiques.
L'ombre de décision est politique plutôt qu'économique, et sert les intérêts des Etats-Unis plus que ceux du Soudan comme il a été observé que l'administration d'Obama donne des petits encouragements juste pour maintenir les liens avec la partie Soudanaise et de garder, dans le même temps, l'état d'incertitude sur la réalité des positions Américaines envers le Soudan.
 Mais les impacts négatifs de cette attitude américaine envers le Soudan seront éventuellement poussés Washington à lever les sanctions et la normalisation des relations avec le Soudan.
 La logique dicte cette hypothèse parce que le Sud-Soudan, que Washington envisage d'y faire comme zone sécuritaire et économique, repose entièrement sur le Soudan à obtenir tous ses besoins.
 Washington sait ce qui s'est passé au Sud-Soudan à cause du retard du mouvement des marchandises entre les deux pays, et il sait aussi que le Soudan est la meilleure option pour le Sud Soudan en termes de mouvement et de l'échange des marchandises.
Celles-ci pourraient être l'une des raisons derrière la décision Américaine d'alléger les sanctions sur le Soudan.

Analyse: Le secret de la souple apologie Britannique

La semaine dernière, le Ministère Soudanais des Affaires Etrangères a convoqué l'ambassadeur Britannique à Khartoum Nicholas Kay sur les commentaires qu'il a faite sur son blog au sujet de la situation au Soudan.
 Le commentaire inexact et non objectif a rendu l'ambassadeur sans  choix que de s'excuser par tous les moyens souples et d'admettre que ce n'est pas une partie de ses convictions ou de la politique de son pays pour créer de malentendu avec le gouvernement du Soudan.
 L'ambassadeur a promis d'être prudent à cet égard dans l'avenir. Le sous-secrétaire du Ministère des AE Rahamtallah Mohamed Osman a notifié l'ambassadeur Kay que ce qui était posté sur son blog était inexact et non objective.
En général, on pourrait dire que les excuses de l'ambassadeur Britannique a désamorcé la tension diplomatique imminente entre Khartoum et Londres.
Toutefois, l'incident est plus que juste une petite tension diplomatique qui a été contenue de façon souple.
L'incident soulève quelques questions. Tout d'abord, en raison de liens historiques entre son pays et le Soudan, l'ambassadeur Britannique se donne le droit de s'ingérer dans les affaires intérieures du Soudan. Les commentaires qu'il ayant faits sur son blog au sujet de la situation au Soudan est un exemple vivant pour cela.
Commentant sur ce point particulier, le porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères Al-Obeid Murawah a dit que Kay n'a trouvé aucune autre option que s'excuse et admet son erreur à cet égard.
Deuxièmement, les rapports sur les crises Soudanaises est l'une des principales choses qu'affectent négativement le Soudan que la déclaration erronée a créé une fausse image pour le Soudan dans l'opinion publique internationale.
 Troisièmement, certains diplomates occidentaux abandonnent les normes diplomatiques et d'agir avec la mentalité de colonisation quand ils travaillent dans les pays du tiers monde.

Analyse: Khalil pourrait-il supporter le coût élevé de cette facture

 La perte du soutien Libyen après la chute du régime Mummar Kadhafi pourrait être le dilemme unique de leader du Mouvement de la Justice et de l'Egalité Dr Khalil Ibrahim.
Cependant, la malchance du Dr Ibrahim a continué même après les nouveaux développements en Libye du fait qu'il ya toujours malheureux finit en politique.
 Selon des nouvelles non confirmées, Dr Khalil Ibrahim a été demandé de fournir l'abri sûr pour le fils du défunt leader libyen seif Al-Islam Al-Kadhafi, en dépit du fait que Khalil lui-même rencontre le problème de trouver un refuge sûr au Darfour.
Bien que Khalil Ibrahim a retourné de la Libye avec l'argent, l'or et des armes, mais encore il n'a pas (territoires libérés) au Darfour qui pourraient l'aider à se cacher ou offrir un refuge à l'une des personnes les plus recherchées.
 Et s'il a pris le risque et a décidé d'accueillir Saif al-Islam Al-Kadhafi, le sort de son mouvement sera relié avec le sort de Saif al-Islam Al-Kadhafi qui rencontre à des accusations de crimes de guerre contre son peuple.
En retour, Khalil ne peut pas abandonner payer le prix de cette facture chère pendant la période actuelle au moins.
Pire que cela a été l'implication de Khalil dans la révolution intérieure libyenne qui comprend la réception du soutien financier de l'ancien régime libyen.
Khalil doit retourner l'argent qu'il a obtenu de l'ancien régime libyen au peuple libyen du fait qu'il ne mérite pas cet argent.
Dr Ibrahim rencontre encore des conséquences de ses liens avec Al-Kadhafi et de son défunt régime, et si il est retourné au Soudan comme partie de l'équation politique ou continue sa guerre contre l'Etat soudanais, il sera, tôt ou tard, être tenu responsable pour leur implication dans la crise libyenne.

Analyse: Pourquoi le Sud Soudan offre l'achat d'Abyei?

Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM au Sud Soudan à l'offre honteuse pour acheter la zone contestée d'Abyei.
La dispute sur Abyei était censé être réglé moyennant le référendum du SPLM a rejeté sa conduite sans aucune raison convaincante.
Nous pouvons trouver une excuse pour le SPLM parce que la culture de la vente et de l'achat est profondément ancrée dans son esprit.
 Immédiatement, après la déclaration de la séparation du Sud Soudan, le SPLM était en train de signer des contrats pour vendre des terres sudistes fertiles et riches de ressources pour les compagnies Américaines, Européennes Et Israéliennes.
Le SPLM a vendu à présent environ de 9%  du volume total des terres du Sud-Soudan pour certains quelques milliers de dollars, chose qui rend toute chose  ressemble le paiement d'une facture différée politique.
Basé sur cette culture de marché, le SPLM a pensé qu'il pourrait faire la même chose avec le gouvernement du Soudan et a offert d'acheter la région d'Abyei.
Puisque la question est sur le paiement des factures internationales, il n'est pas exclu que l'achat sera en faveur d'autres parties avec des ambitions à saisir les terres d'Abyei.
Toutefois, l'offre elle-même peut être lue dans un autre contexte qui ne sert pas les intérêts du Sud-Soudan.
Premièrement, il est évident que l'offre illustre brièvement la position juridique et politique du SPLM envers la propriété de la terre parce qu'il ne semble pas logique de prétendre la propriété d'une terre pendant que vous offrez de l'acheter d'une autre partie.
Le propriétaire de tout bien ou à quiconque revendique la propriété d'une terre ou d'autre chose n'évite pas les moyens légaux pour résoudre la dispute sur la possession de cette propriété.
Deuxièmement, le SPLM veut une solution rapide après les choses se sont tellement compliquées sans aucun signe des solutions à venir. Si le SPLM a accepté le référendum sur Abyei, la situation aurait résolu.
Troisièmement, le SPLM semble être sous la pression des fils d'Abyei dans le SPLM comme Deng Alor et Luka Biong.
Par conséquent, le référendum est une solution meilleure et unique de cette crise.