الخميس، 26 يناير 2012

Analyse: La décision du Conseil de sécurité de l'ONU sur Abyei …Des agendas ouverts

Dans un pas surpris, le Conseil de Sécurité a décidé samedi de prolonger le mandat des forces de maintien de la paix de l'ONU à Abyei temporairement. Puisque la dispute est encore non résolue, la décision est normale.
En tout cas, la chose anormale est le pas du Conseil de Sécurité donnant ces forces le mandat de travailler sous le chapitre (7) qui permet l'utilisation de la force militaire pour assurer la sécurité et l'ordre.
L'ONU n'a normalement recouru à ce chapitre sauf s'il ya un état de guerre et de conflit où les deux parties n'ont pas réussi à mettre un terme ou calmer le combat.
Depuis la zone n'a pas été vu de combat dans la période précédente, la décision du Conseil de Sécurité est étrange. De plus, les deux parties ont convenu à Addis-Abeba au plus tôt le temps pour déployer des forces Ethiopiennes à Abyei en vertu du chapitre (6).
Les avant-gardes de ces forces étaient déjà déployées à Abyei. Le gouvernement soudanais a montré l'engagement à retirer ses forces d'Abyei à la fin du déploiement des forces Ethiopiennes. Le gouvernement Soudanais n'a pas violé son engagement ou des accords à cet égard.
Non une seule attaque a été faite par le Soudan, bien que l'accord de paix de 2005 stipule que la zone sera sous la présidence Soudanaise jusqu'à ce que le référendum pour déterminer si la zone fait partie du Soudan ou du Sud-Soudan est faite.
Cette décision de l'ONU pourrait être bien si le Soudan ayant lancé une guerre ou violé les droits des Dinka Ngok ou violé tout item de l'accord d'Addis-Abeba. Puisque aucune de ces choses sont arrivées, la décision demeure étrange.
Pire que cela a été la tendance de l'ONU de ne pas se concentrer sur la recherche d'une solution politique définitive à la question.
Le référendum est la solution que le Conseil de sécurité ne devrait pas aider le Sud-Soudan à échapper.
Si le Conseil de sécurité concentre sur le forcement du Sud-Soudan à accepter l'organisation du référendum ayant stipulé dans l'accord de paix, il n'y aurait pas besoin de toutes ces escalades graves.
Évidemment, la démarche vise à mettre la pression sur le gouvernement Soudanais et d'aggraver la situation dans la région jusqu'à ce que la région entière soit sous la domination des puissances internationales.

Analyse: Rice et la conspiration Américaine sur le Soudan

La semaine dernière, l'ambassadeur du Soudan à l'ONU a présenté un rapport détaillé sur la situation humanitaire dans les Etats du Nil Bleu et du Sud Kordofan dans lequel il a expliqué les motifs du Soudan à ne pas permettre l'organisation des secours de l'ONU dans les deux Etats.
Le ministère soudanais des Affaires étrangères a attribué, récemment, les positions du gouvernement soudanais à ne pas autoriser les organisations dans ces zones à l'absence de sécurité dans certaines régions.
Il a déclaré que le rejet du gouvernement est également en raison de l'expérience du gouvernement en permettant une telle aide au Sud-Soudan et au Darfour.
 Il a dit que les agences de l'ONU ne sont pas accueillies dans les zones qui contrôlent par les rebelles. Il a ajouté que ces régions ne sont pas sûres pour le personnel de l'aide humanitaire, disant que le gouvernement a un engagement moral à protéger les travailleurs dans l'aide.
Il a indiqué que jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée, le gouvernement ne peut pas permettre le plein accès dans ces zones. À son tour, l'émissaire américain à l'ONU Susan Rice, a présenté un mémo plein de mensonges sur le Soudan pour mettre de nouvelles pressions sur le gouvernement de Khartoum.
Le mémo ayant inclus de faux témoignages et des chiffres sans fondement. Le mémo a été fondé sur les déclarations de certains analystes locaux qui ne sont pas familiers avec les événements dans les deux Etats.
Le mémo confirme le complot américain contre Khartoum en soumettant ces mémos ayant été l'un des principaux outils de la politique américaine hostile envers le Soudan.
Le mémo a été une réaction à la décision du gouvernement à ne pas autoriser les agences américaines dans les deux États après leur implication dans le soutien aux rebelles et à évacuer leurs éléments blessés.
Les Etats-Unis ignorent la mauvaise situation dans le Sud-Soudan  où le combat inter-tribal ayant tué des milliers de personnes innocentes. Il reflète la politique américaine de " de deux poids, deux mesures" envers les questions du monde.

Analyse: l'attaque contre la MINUAD au Darfour .. Acte criminel par des hommes armés non identifiés

Un nouveau cercle de conspiration sur Darfour a commencé dans le temps où un officier de la MINUAD a été tué et un autre officier a été blessé à la zone de Sela'a par une attaque par des hommes non identifiés. L'attaque est survenue dans le temps où Darfour connaît le calme dans les récents quelques mois
.

L'attaque des hommes armés a été lancée contre un convoi administratif venant de la zone Al-Dain pour livrer certains équipements.
Selon le Journal SudanSafari, les coupables ont été en mesure de saisir 37 fusils, deux mitrailleuses et 11 véhicules. Cet incident soulève la question, quelle est la signification de cette attaque? Quel message envoie les attaquants?, Qui sont derrière cette attaque? Et qui a des intérêts en lançant de telle attaque?
Les mouvements rebelles de Darfour sont les
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principaux bénéficiaires de ces attaques, en particulier les restes du mouvement de la Justice et de l'égalité qui ayant fui le dernier champ de bataille pour échapper des forces armées soudanaises dans la bataille où leur leader Khalil Ibrahim a été tué.
Maintenant, le Mouvement de la Justice et d'Égalité a perdu le cerveau et le leader, donc, l'attaque pourrait être motivée par le désir de se venger.
Les attaquants veulent prouver que Darfour n'est pas encore stable, surtout après les rapports de la MINUAD que la situation au Darfour est relativement calme après l'assassinat de Khalil Ibrahim.
 Les attaquants veulent aussi envoyer un message qu'ils sont encore dans le champ de bataille. Ce message particulier est dirigé vers les forces extérieures qui servent à soutenir les mouvements armés au Darfour.
Les rebelles sont toujours commis des crimes, afin de bénéficier d'enflammer les conflits. Toutefois, la récente attaque reflète la colère au sein du mouvement qui fait face à la disparition.
 L'attaque pourrait être considérée comme jalousie politique après la signature de l'accord de paix de Doha sur Darfour avec certains groupes rebelles.

Le Soudan est le siège permanent pour le forum de la paix et de développement



Le message de Khartoum: Samia Abul Nasr
0La Conférence Générale du Congrès National, le parti au pouvoir au Soudan, qui s'est tenue récemment, est une évidence du progrès des relations mutuelles et son lien à son environnement arabe, musulman et africain et avec tout le monde et a rendu le Soudan un modèle pour le dialogue, la paix et le développement et la création d'environnement disponible pour résoudre les crises du Continent Africain.

Le Président Soudanais Marechal Omer Al-Bashir, qui a assisté à la  conférence générale du PCN, a dit que ce qui est dépensé dans les guerres et la course d'armement est suffisant pour faire sortir le monde de ses crises économique et alimentaire et financière,

Cette conférence, qui était considérée la première  après les révolutions  du printemps Arabe, est venue pour soutenir la révolution égyptienne et tunisienne et tout en les souhaitant un Etat qui se repose sur les bases de la liberté et de la justice.

Le chef du Conseil  des affaires des partis politiques au Soudan Osman Mohamed Moussa a indiqué que le Soudan voit une révolution du salut et préserve les droits des femmes et faire des générations pour le  futur.

Pour sa part, l'Assistant du Président de la République pour les Affaires du Parti au pouvoir, Dr. Nafie Ali Nafie a dit: " nous refusons  de rendre nos ressources économiques lier à l'épuisement sans le bénéfice directe et nous sommes avec le monde qui se fonde sur la justice et l'égalité.

La révolution de la réforme ne vient pas sans un effort, et pour réformer les relations internationales, on doit se conjuguer en particulier avec les leaders intellectuels et politiques parce que nous voudrions voir la réforme d'une manière appropriée, sans perte.

Environ de 32 pays représentant 27 partis et organisations politiques   de différents pays arabes, européens et africains ont participé à la conférence.

La conférence a été assistée également par un certain nombre de personnalités, les chefs des partis, de parlement,  le chef de la commission des relations arabe et la chine populaire Hassan Abbas et  le président libyen du Conseil national transitoire Mustafa Abdul Jalil  qui a affirmé le rôle du Soudan pour le soutien de la révolution libyenne, soit politiquement ou humanitaire à travers de la fourniture de l'aide.

A L'Initiative de la direction du Congrès national au Soudan, la deuxième conférence de fondation pour le forum de la paix et du développement,  s'est tenue à Khartoum, en présence des leaders et des représentants des partis et  des organes et des ONG qui sont venus de nombreux pays du monde.

Le Forum a appelé à la nécessité de la conjugaison des efforts et à l'unification des visions et l'action conjointe pour contribuer efficacement à trouver les causes et les répercussions derrière ces changements pour éviter les effets négatifs.

Pour sa part,  le premier vice-président de la république Ali Osman Mohamed Taha  a affirmé que le développement est étroitement liée à la stabilité où il a souligné le soutien de tous les efforts de la paix et de résoudre les conflits et à prendre le dialogue mécanisme pour résoudre les conflits résultant des changements climatiques et environnementaux.

pour sa part, le membre du comité permanent du Parti communiste en  chine (le parti au pouvoir)   a exprimé  ses souhaits de voir aller en avant les relations sino-soudanaises,

Le côté chinois a apprécié la disposition du côté soudanais de fournir le  soutien propre à la question de Taiwan concernant les intérêts vitaux de la  Chine.

Le côté chinois  a affirmé le soutien aux efforts soudanais pour développer l'économie de la société.

En conclusion de forum  de la paix et de développement,  tous les participants se sont convenus de voir le soudan devenu comme siège permanent du forum.

Il a souligné la nécessité de respecter la souveraineté des Etats et ses choix et à ne pas ingérer dans ses affaires intérieures et soutenir les nouvelles expériences démocratique, ainsi que encourager et soutenir la participation des femmes, des jeunes et des secteurs actives dans le travail et garantir les droits de ces groupes.

Le forum a affirmé l'encouragement de l'intégration, la solidarité et la coordination entre les pays en développement et soutenir les efforts de la liaison stratégique entre ainsi que d'accorder un modèle essentiel pour la coopération entre les pays du Sud et de l'établissement de partenariats et de blocs économiques.

Le forum a demandé aux pays donateurs de jouer pleinement son rôle en se concentrant sur l'aide de développement et le soutien de secteurs vitaux dans les pays en développement, l'annulation des dettes des pays endettés et l'équilibre des prix des matières premières produites dans les pays en développement et à aider ces pays à atténuer les effets négatifs de la crise économique internationale.

Il a souligné l'importance de la coordination  de forum  avec les forums et les communautés similaires et l'échange de visions.

Il a appelé à la participation de tous les partis et les organes et les forces politiques efficaces et son adhésion au forum de la paix et du développement pour plus d'enrichissant d'expériences.

Il a appelé la communauté internationale à soutenir le peuple palestinien jusqu'à jusqu'à ce qu'il restaure ses droits pillés.

Le forum a affirmé son soutien pour la sécurité et la stabilité de l'Afghanistan et a appelé au retrait des forces de l'OTAN en plus d'œuvrer pour mettre fin à toutes formes d'occupation et de conflits qui entravent la réalisation de la paix et de développement.

Le Source: Al Ahram égyptien:3/1/2012

Le Soudan affirme l'importance de la coordination entre les organisations d e l'aide humanitaire


Le Soudan a renouvelé son refus de fournir des secours ou une aide aux régions rebelles de l'étranger
Dans le temps où les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan œuvrent pour régler leur différend sur les frais de transfert  du pétrola du Sud , le niveau de la tension s'est accrue entre les deux pays et la médiation africaine a présenté une feuille de route  pour résoudre la crise.

Le Porte-parole du Ministère des Affaires Etrangères Al-Obeid Marawah a dit que l'aide de la communauté internationale est nécessaire, mais, selon les accords et la coordination entre le gouvernement et les organisations étant que donné des régions qui pourraient voir des opérations militaires.

Il a ajouté que la situation humanitaire au Sud Kordofan et au  Nil Bleu trouve une attention particulière par l'Etat pour couvrir tous les besoins humanitaires dans ces régions.

Il a ajouté que le gouvernement suit des activités coordonnées dirigé par les forces extrémistes dans les Etats-Unis pour préparer la scène internationale pour mener à la famine dans les deux régions le Mars   prochain, si ce n'est pas permis aux organisations internationales pour atteindre à ces régions pour  fournir les aides humanitaires.

Il a indiqué que la situation humanitaire actuelle dans ces régions en raison de la rébellion et l'absence d'engagement de  l'un des parties a propos de ce qui a été convenu de ne pas retirer ses forces.

Pour leur part, les Etats-Unis ont souligné la nécessité du fait que le Soudan et le Sud-Soudan doivent œuvrer pour régler leur différend sur  les frais du transport le pétrole du sud Soudan a travers les territoires du Soudan.

La Porte-parole du Département d'État Américain, Victoria Nuland a indiqué dans un communiqué, "Nous encourageons les deux parties à redoubler les efforts pour parvenir à un accord sur la solution permanente.

La tension entre le Soudan et le Sud, le Soudan s'est étendue au milieu des différences des positions dans les négociations d'Addis-Abeba, mais la médiation africaine a déclaré une solution d'une "feuille de route" sera discuté durant la reprise des négociations le jeudi prochain.

Pour sa part, le ministre d'État au ministère de la Présidence de la  République Amin  Hassan Omer a minimisé l'importance  de la décision du Sud-Soudan  d'arrêter la production et l'exportation de son pétrole via le nord.

Il a expliqué que la quantité existante du pétrole dans les pipelines et les réservoirs offrira une grande somme des dettes du Soudan dues au  sud.

Le ministre de la présidence du conseil des ministres au gouvernement du Sud Deng Alor a affirmé que son gouvernement possède une réserve de fonds qui suffira pour cinq ans à partir d'à présent et l'économie de l'Etat ne sera pas affectée par ce pas.

Pour cela,  l'État du Sud-Soudan  a déposé une plainte officielle aux  tribunaux internationaux spécialisés contre le Soudan et certaines compagnies en raison de ce qu'il appelle le vol de son pétrole.

De même, le Parti du Congrès National au pouvoir au Soudan a qualifié d'irrationnelle et d'irresponsable la décision d'arrêter le pompage du pétrole, en considérant que le pas n'est pas en faveur du sud ou la relation entre les deux pays.

Il a accusé des leaders au gouvernement du Sud  de servir des agendas mal –intentionnés.

Source: Khaleej Times 23/1/2012 M.

الاثنين، 23 يناير 2012

Analyse: Fabrications de presse de forme unique

Il est évident que les Etats-Unis et certains de ses alliés occidentaux œuvrent pour attirer l'attention sur la situation humaine aux Etats du Sud Kordofan et du Nil Bleu dans une tentative de détourner l'attention loin de la situation désastreuse de Jonglei, Sud-Soudan, où plus de 3000 personnes ont été tuées et dix autres milliers ont été blessés.

A part de cette tentative, et même si nous avons supposé que la situation dans le Nil Bleu et le Sud-Kordofan est mauvaise, l'hypothèse se pose la question: qui était derrière cette situation?.
Les rebelles soutenus par le Sud-Soudan sont les personnes qui doivent être blâmés pour la situation, car elles représentent la partie qui a initié la guerre dans ces régions. Et même Washington a admis que lorsqu'on lui a demandé le Sud-Soudan à cesser de soutenir les rebelles anti- Soudan.
Le journaliste international, qui est proche de l'intelligence Britannique, selon le Journal SudanSafari, a écrit un long rapport à cet égard en initiant ce qu'il semble être la propagande pour attirer l'attention du monde à ces Etats Soudanais.
Le journaliste international a affirmé que la moitié des populations de l'Etat du Nil Bleu ayant pris la fuite dans la jungle à cause de ce qu'il a appelé le bombardement aérien par les Forces Armées Soudanaises. Il a blâmé l'ONU à ne pas faire une visite d'inspection dans la région.
Quiconque lit le rapport du journaliste, aura le sentiment que le rapport semble se rapprocher au travail de renseignements plutôt qu'un journaliste.
Une telle propagande s'est produite fréquemment sur la question de Darfour, où de tels rapports médiatiques ont joué un rôle clé pour la mobilisation de l'opinion publique sur le Soudan via des rapports fabriqués et documentaires.
Et si nous voulons tester la crédibilité de ce journaliste, on devrait lui demander comment savait- il que la moitié des populations ont fui la région? Et si ayant assumé oui, où sont-ils allés?. Et d'où a-t-il obtenu ces statistiques?
L'homme prétendait, également, rester deux semaines dans la région tandis que l'armée Soudanaise ayant la bombardé, la question est: comment a-t-il réussi à visiter la région à écrire des rapports, prendre des photos sous ce lourd bombardement qu'il a présumé?
Il a parlé de charniers. Comment savait-il que ces tombes ont été le résultat au bombardement? A-t-il trouvé un signe disant que ce sont des tombes des victimes du bombardement des Forces Armées Soudanaises?.

Washington: communiqué ambigu pour une décision claire


A l'issue des rapports sur certains journaux Soudanais et les Agences de Presse sur la décision du Président Américain à lever l'embargo sur les armes au Sud-Soudan, l'Ambassade Américaine à Khartoum a rendu, mardi, un communiqué de presse disant que les armes et les équipements que Washington veut vendre au Sud-Soudan ne sont pas fatales.


Selon le communiqué, les États-Unis ne croient pas que le temps est approprié pour fournir le nouveau né Etat avec les équipements militaires fatals.
Peut-être, l'ambassade ne savait pas que le silence est mieux que d'essayer d'expliquer cette situation. L'explication a échoué à changer la conviction des analystes qui croient que la position américaine était erroné. Les Etats-Unis étaient clairs que la décision visait à renforcer la sécurité des Etats-Unis et la stabilité dans la région.
 La phrase de la sécurité Américaine a des indications stratégiques et militaires qui n'ont pas besoin de plus amples d'explications. Tout le monde sait que les mesures bureaucratiques des décisions américaines qui passent par un examen strict avant leur publication par le président.
Évidemment, les États-Unis hésitent vers son attitude envers les deux Etats. Probablement, Washington a des inquiétudes que l'équation va devenir fragile ou déséquilibrée.
Peut-être, les pressions sionistes sont derrière la position actuelle des Etats-Unis pour soutenir le Sud-Soudan.
Washington a réalisé que les questions en suspens entre le Soudan et le Sud sont difficiles.
 Ainsi, la déclaration des États-Unis que les Etats-Unis ne veulent pas fournir le Sud avec des armes mortelles pourrait signifier que l'étape actuelle est une préparation pour une autre étape de fournir des armes mortelles au Soudan du Sud

Abyei n'est pas sudiste et c'est l'évidence


Personne ne sait pas le secret derrière cette différence historique selon laquelle le triangle disputé d'Abyei entre le Soudan et le sud Soudan  est  une terre sudiste.

Il est vrai que certaines personnes ont dit que le secret derrière  l'introduction de la région dans les négociations de Naivasha et l'établissement d'un protocole qui s'y appartient (2004) se réfèrent aux pressions exercées par les citoyens d'Abyei qui appartiennent au Mouvement Populaire de la libération du Soudan malgré que leur nombre ne dépasse pas les doigts d'une main.

Il est vrai aussi que certaines personnes attribuée la raison derrière la dispute sur son  affiliation à l'existence de la tribu des Dinka Ngok du fait qu'Ils sont parmi les tribus du sud Soudan dans la région.

Il est vrai aussi que d'autres personnes ont dit que le leader défunt du SPLM  John Garang vise – de point de vue purement politique- à ne pas laisser les combattants qui ont combattu dans les rangs de son mouvement des citoyens de la région après tous les efforts et les difficultés qui ont partagé avec lui.

Tout cela peut être vrai mais  tout cela également n'indique pas que la région affilie à l'Etat du Sud-Soudan.

Tout simplement, si la région a été affiliée au Sud-Soudan  le négociateur sudiste n'accepte pas recourir au référendum pour décider son affiliation.

Ce négociateur est conscient pleinement que les  habitants de la région ne sont pas de la tribu des Dinka  Ngok seul, mais il ya d'autres tribus du nord  notamment les Misseriya les plus nombreuses et répandues.



Mais, nous avons maintenant tombé cette logique historique si cette région appartiennent au nord ou au du Soudan?

Sans doute, la position d'Abyei est dans les frontières soudanaises 1956, et la meilleure preuve à ce propos que l'armée populaire à se redéployer et ayant retiré sud des frontières 1956, chose qui l'a rendu hors de la région.

Evidemment, tout le monde sait que la région - topographiquement - est situé sur les territoires de Kordofan, qu'il s'agit de la nature du terrain et tous le climat suit  la nature de terre et le climat de Kordofan.

La deuxième évidence, les deux parties aux négociations  et après un accord sur l'organisation d'un référendum sur l'affiliation de la région bien qu'il ait été possible de s'accorder sur une méthode de l'administration ou y attaché à une partie neutre, mais ils se sont mis d'accord sur son affiliation à la présidence du Soudan à Khartoum, chose qui indique que la meilleure façon de la stabilité de la région et y rester tranquille est d'être demeuré affiliée au Soudan.

Cela signifie que tout changement à cet égard a été soulevé les préoccupations des deux parties et en particulier le  côté sudiste.

Cela signifie aussi que le côté sudiste n'était pas des arguments juridiques et politiques assez forts pour insister sur l'affiliation de la région pour le  Sud, ou au moins l'a rendu sous tutelle internationale jusqu'à ce qu'ils atteignent l'accord à cet égard.

La deuxième preuve, le négociateur Sudiste s'il avait des preuves sur l'affiliation de la région pour le Sud  Soudan n'ayant pas été accepté le référendum, de toute façon.

C'est pourquoi, de tel accord sur le règlement de la dispute moyennant le référendum signifie que la partie sudiste n'a pas d'évidence sur son affiliation du fait qu'il  est préféré que les citoyens de la région doivent assumer son affiliation.

Il est important de noter ici que le côté sudiste quand il a accepté le processus de référendum, il était conscient que cela est une arme à double tranchant.

Et aussi il était conscient que les Dinka Ngok ne sont pas les seuls résidents de la région.

S'ils sont convaincus de cela, Ils vont insister sur l'organisation du référendum tout de suite et à ne pas attendre jusqu'à la date du  référendum sur le destin du Sud-Soudan.

Si le Sud ayant choisi l'unité, il était également nécessaire de jouir d'un gouvernement fédéral ou toute autre formule d'un système politique, c'est pourquoi les frontières des États et des territoires au nord et au sud  doivent être réglé et précises.

Sans doute, la dernière évidence est l'offert d'acheter la région  qui ayant présenté par le secrétaire général du SPLM  Pagan-Amum.

Pagan Amum  a présenté, il ya un mois, le pétrole et le fonds contre  l'achat de l'Etat du sud pour la région, chose qui indique que la meilleure preuve  que le sud  manque l'affiliation de la région.

Exclusif / SudanSafari
En effet, l'évidence de  l'affiliation d'Abyei pour le Soudan et pour le comportement excessive de propagande et la tromperie politique qu'ayant agi par  le gouvernement du Sud et certains de leurs alliés sont loin de l'esprit de certains observateurs  et les autres ont y oublié les et  certains n'ont pas y prêté une attention particulière.

الاثنين، 16 يناير 2012

Analyse: Washington aide Juba à commettre le génocide à Jonglei

La semaine dernière, le Gouvernement Soudanais a accusé les Etats-Unis de soutenir les rebelles du Sud-Kordofan et du Nil Bleu.
Le Porte-Parole du Ministère Soudanais des Affaires Etrangères, Al-Obeid Ahmed Morawah a déclaré aux journalistes que la situation dans les Etats du Nil Bleu et du Sud Kordofan est le résultat d'une rébellion soutenue par les USA.
Alors qu'Al-Obeid a dit que les Etats-Unis rejettent à exercer des pressions sur les groupes rebelles pour les rendre joindre au processus de paix, le Président Américain Barak Obama a été officiellement annoncé une nouvelle stratégie défensive qui comprenait une décision de lever l'interdiction de l'exportation des armes défensives sur le Sud-Soudan.
Obama a indiqué que les Etats-Unis permettront la provision de services de défense au Sud-Soudan pour renforcer la sécurité des Etats-Unis et  soutenir la paix dans le monde. Ce développement explique la nature des relations entre Juba et  Washington.
Le Sud-Soudan témoigne des conflits inter-tribaux qui mènent à la mort de 3 personnes et le déplacement de dizaines de milliers.
Le soutien américain intervient du fait que des rapports disent que Juba a l'intention de lancer des attaques militaires sur les zones d'Abyei, du sud Kordofan et du Nil Bleu par sa propre armée ou de ses mandataires.
Évidemment, Washington se dirige à offrir un maximum soutien militaire au Sud-Soudan pour changer l'équation militaire entre le Soudan et le Sud-Soudan, Permettant Juba à soutenir les rebelles anti-Soudan et en fournissant le Sud avec des armes sont des choses qui vont enflammer la région.
L'appui militaire américain au Sud-Soudan à cette phase ne sera pas relancé la paix mondiale, car il va augmenter la violence dans la région, en particulier dans les circonstances actuelles dans lesquelles le Sud-Soudan voit un génocide indéniable.
Dans l'Etat de Jonglei au Sud-Soudan, les tribus des Neur et leurs alliés Dinka tuent les membres des tribus Murle.
La déclaration de l'appui militaire américain au Sud-Soudan en ce moment confirme l'hypothèse que Washington appuie efficacement le génocide en cours dans le Sud-Soudan.
Washington devrait reconsidérer ce pas d'escalade injustifiable qui vient dans un moment où les Etats-Unis affirment qu'un haut officiel se rendra à Khartoum à la fin du mois en cours. Quelle est la valeur de cette visite sous les escalades actuelles de situations?

Analyse: Le Soudan appelle l'Interpol à rendre un mandat d'arrêt contre Agar et Arman

Le Procureur Général du Soudan Omer Ahmed a demandé à Interpol d'arrêter 18 personnes accusées d'implication dans l'attaque militaire dans l'Etat du Nil Bleu.
La liste incluait l'ancien gouverneur de l'Etat et chef du SPLM -secteur du Nord-Soudan Malik Agar et le Secrétaire Général du SPLM-Nord Yassir Arman.
Les noms des personnes demandées ont été annoncés sur deux journaux publiés à Khartoum la semaine dernière.
Le comité d'enquête sur les incidents du Nil Bleu a commencé à prendre les mesures d'arrêter les accusés qui sont accusés de crimes de porter atteinte au système constitutionnel, faire guerre à l'Etat et violer la paix publique et la tranquillité par l'implication dans un acte criminel.
La distribution de ces notices rouges est un pas très grave car ils sont concernés par les criminels fugitifs qui ont commis des crimes.
Certains pourraient dire que le mandat est politiquement motivé, mais l'évidence et les informations recueillies des incidents de l'Etat du Nil Bleu ayant prouvé le contraire.
Certains pourraient dire que la présentation du mémo est venu après le meurtre de Khail Ibrahim, ou à soutenir les actions militaires de ce mouvement légal surtout après les victoires par les Forces Armées Soudanaises dans les différents fronts.
Ce memo n'a pas été le premier dans l'histoire moderne du Soudan. L'ancien leader des forces de l'Alliance de l'opposition Abdul-Aziz Khalid, qui a participé à la lutte contre le Gouvernement Soudanais dans le front de l'Est, a été arrêté par Interpol à l'aéroport d'Abu Dahabi après la diffusion de la notice rouge contre lui en Septembre 2004.

Analyse: Fabrications de presse de forme unique


إضافة تسمية توضيحية
Il est évident que les Etats-Unis et certains de ses alliés occidentaux œuvrent pour attirer l'attention sur la situation humaine aux Etats du Sud Kordofan et du Nil Bleu dans une tentative de détourner l'attention loin de la situation désastreuse de Jonglei, Sud-Soudan, où plus de 3000 personnes ont été tuées et dix autres milliers ont été blessés

.

A part de cette tentative, et même si nous avons supposé que la situation dans le Nil Bleu et le Sud-Kordofan est mauvaise, l'hypothèse se pose la question: qui était derrière cette situation?.
Les rebelles soutenus par le Sud-Soudan sont les personnes qui doivent être blâmés pour la situation, car elles représentent la partie qui a initié la guerre dans ces régions. Et même Washington a admis que lorsqu'on lui a demandé le Sud-Soudan à cesser de soutenir les rebelles anti- Soudan.
Le journaliste international, qui est proche de l'intelligence Britannique, selon le Journal SudanSafari, a écrit un long rapport à cet égard en initiant ce qu'il semble être la propagande pour attirer l'attention du monde à ces Etats Soudanais.
Le journaliste international a affirmé que la moitié des populations de l'Etat du Nil Bleu ayant pris la fuite dans la jungle à cause de ce qu'il a appelé le bombardement aérien par les Forces Armées Soudanaises. Il a blâmé l'ONU à ne pas faire une visite d'inspection dans la région.
Quiconque lit le rapport du journaliste, aura le sentiment que le rapport semble se rapprocher au travail de renseignements plutôt qu'un journaliste.
Une telle propagande s'est produite fréquemment sur la question de Darfour, où de tels rapports médiatiques ont joué un rôle clé pour la mobilisation de l'opinion publique sur le Soudan via des rapports fabriqués et documentaires.
Et si nous voulons tester la crédibilité de ce journaliste, on devrait lui demander comment savait- il que la moitié des populations ont fui la région? Et si ayant assumé oui, où sont-ils allés?. Et d'où a-t-il obtenu ces statistiques?
L'homme prétendait, également, rester deux semaines dans la région tandis que l'armée Soudanaise ayant la bombardé, la question est: comment a-t-il réussi à visiter la région à écrire des rapports, prendre des photos sous ce lourd bombardement qu'il a présumé?
Il a parlé de charniers. Comment savait-il que ces tombes ont été le résultat au bombardement? A-t-il trouvé un signe disant que ce sont des tombes des victimes du bombardement des Forces Armées Soudanaises?.

الاثنين، 9 يناير 2012

Analyse: Alliance de Juba-Yei… Dilemme de gouvernement du Sud Soudan



Des rapports confirmés ayant déclaré récemment que le chef du Mouvement pour la justice et l'égalité, Dr Khalil Ibrahim, est arrivé à Juba, capitale du Sud Soudan dans le cadre du soutien du Sud pour ce qu'on a appelé le Mouvement révolutionnaire ou l'Alliance de Juba-Yei qui consiste les mouvements de Khalil, Abdul-Wahid Nour, Minnawi et le SPLM –Nord Soudan.
Des sources politiques sudistes ont déclaré au Journal SudanSafari par le téléphone que le premier problème ayant rencontré le gouvernement du sud Soudan  concernant l'alliance a été la tendance de Dr Ibrahim du fait qu'il ne prête une attention aux directives du gouvernement du Sud-Soudan à l'égard de sa relation avec Minnawi et Abdel-Wahid Nour.
La source a indiqué qu'une autre réunion secrète a eu lieu entre Dr Ibrahim et un leader éminent du SPLM, où il a demandé au Dr Ibrahim d'œuvrer en harmonie avec Minnawi et Abdel-Wahid en raison des craintes que le background islamique de Khalil Ibrahim pourrait tôt ou plus tard, poser un problème dans l'alliance.
En fait, des rapports  similaires diffusés par certains sites disent qu'Abdul-Wahid Nour et Minnawi ont franchement exprimé leurs préoccupations que Dr Ibrahim ne peut pas faire confiance, se référant au Mouvement de Rédemption du fait que Dr Ibrahim avait formé il ya plusieurs années.
Minnawi a secrètement déclaré qu'il est, apparemment, une cible pour  Dr Ibrahim Même après son abandon de l'accord de paix d'Abuja.
 Minnawi a attribué ses craintes à ce qu'on  pense que l'intention de Dr Ibrahim à ne pas permettre à un autre leader de Zaqawa pour former un mouvement séparé.
Le dilemme du SPLM, le sponsor de l'alliance, semble trouver un moyen de garantir l'harmonie entre les membres de l'alliance de sorte que l'alliance est unifiée, en particulier suite à la scission de Mohamed Bahar du Mouvement de la justice et d'égalité.
Ainsi, la nouvelle alliance est confrontée à des crises et des défis qui n'ont pas été calculés bien à l'avance, surtout si on a mis en  considération les défaites infligées sur les forces d'Al-Hilo et Agar.
Sans doute, l'alliance Jub-Yei, qui a été créé hâte par le gouvernement du Sud Soudan pour mettre la pression sur le gouvernement soudanais pour obtenir plus de concessions à l'égard des questions litigieuses, ne sera pas en mesure de réaliser cet objectif en raison des difficultés de  l'alliance est actuellement confrontée.
Le projet sert également les agendas israéliens dans la région. Israël a commencé à sentir que cette alliance est inutile.
 Mais, la perte du Sud-Soudan va devenir beaucoup plus grand que tout autre parti, car alors que l'alliance est chancelante, un mouvement rebelle dirigé par Athor des devenu actif dans le Sud.

Analyse: Le Kenya va-t-il réussir aux actes comme il a réussi dans les déclarations




Le Gouvernement Soudanais n'a rien envers les excuses du Kenya et  l'envoi d'un émissaire spécial à cet égard étant arrivé à Khartoum et a rencontré le Président Soudanais Al-Bashir jeudi dernier et il lui a remis un message écrit de son homologue kenyan (Kibaki) dans lequel le gouvernement kenyan a promis pour contester la décision du tribunal  kenyan sur l'arrestation du Président Al-Bashir lors de son arrivée au Kenya.
Le gouvernement du Soudan n'attend pas du Kenya ce comportement qui viole les normes diplomatiques, car la question a besoin des actes autant que du mouvement diplomatique et des excuses et de déclarations douces!
Les observateurs craignent la longue attente par le gouvernement du Soudan pour plusieurs raisons; à la tête desquelles la décision a révélé l'existence de différentes tendances au sein du leadership Kenya, chose qui indique que des milieux sont derrières la décision, car il est tout à fait impossible – quelque soit le degré d'indépendance de la magistrature du Kenya de rendre une telle décision à l'insu des milieux gouvernementaux  spécifiques au sein du gouvernement kenyan ou de soutien et d'encouragement, c'est pourquoi la voie qui doit mener à l'annulation de la décision ne sera pas facile.
La seconde raison est que le Procureur de la Cour pénale internationale va œuvrer sérieusement pour empêcher l'annulation de la résolution et que la pression va accroitre inhabituellement sur le gouvernement kenyan pour empêcher l'abolition de la décision judiciaire ou politique, de sorte qu'Ocampo doit quitter son poste à la mi-prochaine année, 2012.
Il est sûr que Ocampo, qui a réalisé rien dans ce poste prestigieux international va œuvrer sérieusement pour maintenir ce niveau qu'il a réalisé  pour encourager ou inciter  les Etats africains à poursuivre ses dirigeants.
A ce propos, Ocampo ferra tout son possible pour empêcher le déclin au Kenya de sa décision, chose qui va rendre Kenya adopter une situation difficile.
La troisième considération est du fait que le Kenya doit prendre, pratiquement, une position plus forte pour aller en avant pour soutenir ses obligations africaines stipulant à ne pas coopérer avec la Cour pénale internationale.
Evidemment, il est possible d'annuler la résolution - légalement ou politiquement – pour rendre une résolution similaire d'une autre manière tout en partant des différences ou d'intersection des intérêts dans le système du pouvoir au Kenya.
Par conséquent, le pas rapide par le Kenya pour contenir la crise mérite d'être apprécié, mais cela dépend des résultats souhaités de façon urgente pour mettre les choses en perspective.
Il s'est avéré que la délivrance d'une décision judiciaire par un État pour l'arrestation d'un chef d'État est considérée comme acte agressif et une déclaration explicite de guerre!

Analyse: Les pires justifications pour le recrutement des enfants au Darfour!



Les deux mouvements d'Abdul Wahid et Dr. Khalil ont, de nouveau, repris ses mouvements pour l'enlèvement des enfants et de les recruter  forcément  pour servir les objectifs de leurs mouvements.
Des rapports de diverses sources ont indiqué la semaine dernière que les deux mouvements ont été actifs aujourd'hui dans les parties de Jebel Marra et celles proches de la montagne.
 Les causes de recrutement forcé des enfants par les mouvements armés Darfouriens sont claires et bien connues et la perte de ces mouvements des combattants, soit à leur séparation et leur retour, chose qui a enregistré par de nombreuses organisations Soudanaises nationales ou l'arrestation de ces combattants par les autorités gouvernementales.
Mais il existe d'autres raisons – les plus graves – qui poussent les mouvements armés spécialement le mouvement d'Abdul Wahid de l'enlèvement et du recrutement forcé des enfants qui ne sont pas atteint l'âge de quinze ans .
L'une de ces premières raisons, l'engagement du mouvement d'Abdul Wahid l'envoi des enfants de Darfour en Israël pour des raisons liées aux   Israéliens.
A ce propos, certaines organisations, avant trois ans d'environ, telle  que l'organisation française (Arche de Zoé) pour faire passer des enfants en France pour les joindre aux familles françaises et de les fournir une vie décente, mais l'affaire ayant été une déception pratiquée par le Mossad israélien , mais la chose a été exposé et l'opération et l'opération a été échoué .
Il est possible à cet égard d'être des plans israéliens visant à créer une génération de travailleurs en faveur d'Israël au Darfour dans un avenir proche, chose qui indique la stratégie israélienne ayant déjà pratiqué dans certains pays du Moyen-Orient, et elle n'a pas remporté le plein succès .
La deuxième raison et du fait que ces mouvements œuvrent pour réaliser des objectifs militaires en utilisant des enfants tout en gardant les leaders et certains des soldats loin du champ de bataille dues aux échecs répétés de ces mouvements et l'arrestation de ses dirigeants et des soldats, chose qui indique évidemment les mauvais comportements des mouvements armés au degré d'utilisation des enfants dans des actions armées  et ayant sacrifié ses enfants pour faire des jeux politiques.

Analyse: Le Kenya ... Une décision politique sous un manteau judiciaire




Des sources politiques bien informées dans la capitale Kenyane Nairobi ayant téléphoné par le Journal SudanSafary a référé  à la décision judiciaire  ayant rendu par un tribunal Kenyan lundi dernier sur l'arrestation du Président Soudanais Marechal Omer Al –Bashir peu après son arrivée au Kenya en réponse au mandat d'arrêt ayant délivré par la CPI il ya deux ans était en fait un résultat d'un conseil juridique ayant donné par la CPI au Kenya afin que le Kenya peut compter sur la décision du tribunal et de justifier son mouvement en affirmant que le pouvoir judiciaire Kenyan est indépendant et que ses décisions doivent être appliquées.
Les sources ont dit que (les ombres politiques) sur l'ensemble du sujet, est claire où le Kenya a été frappé par des fortes pressions et que les autorités politiques ont trouvé des difficultés de résister à ces pressions, sous l'ombre de la présence des obligations de l'Afrique à ne pas agir avec la Cour pénale internationale, et entre le marteau de ces pressions, et l'enclume des engagements africains ont été la meilleure formule c'est du fait que le Kenya doit prétendre que la décision est de nature judiciaire concernant la justice kenyane et pas une décision politique par le gouvernement kenyan.
Nous voyons des ombres politiques supplémentaires étaient en guise d'une tragédie claire pour ceux qui travaillent dans le domaine judiciaire et juridique.
A ce propos, le juge kenyan  qui a rendu la décision (Nicolas Ambeja) a effectué une rencontre  de radiodiffusion avec la Radio Américaine (Sawa), chose qui est rare dans les coutumes et les traditions juridiques.
Le Juge (Nicholas) a dit  à la radio qu'il à (éviter que sa décision l'année dernière -2010 - pour éviter d'obstruer la sécession du Sud Soudan!
Le juge a ajouté que le report de la décision était destiné à éviter un problème politique! Et il était vraiment étonnant que le juge (Nicolas), et en dépit de ces justifications politiques flagrantes a indiqué que sa décision était purement judiciaire et n'a rien à avoir avec la politique!
On peut se demander ici comment les décisions judiciaires ont été soumises à des considérations politiques? Si c'est la logique de juge qui a délivré cette décision du fait que la sécession du Sud-Soudan est de savoir si ou non il a tout revenu assujetti, si la Cour du Kenya agit avec  une décision purement judiciaire.
Evidemment, la décision de juge avait été prête depuis l'an dernier, 2010, et que le sud a séparé il ya des mois, non pas hier ou la semaine d'avant, alors pourquoi le retard de la résolution et le choix de ce temps pour la délivrance de la décision.
Tout d'abord,  soit les estimations  de nature politique sont  intervenus pour choisir le moment  politique particulière, ou que la Cour pénale internationale après avoir échoué à contraindre l'Etat du Malawi récemment, l'application de memo, se tourna vers la pression sur le gouvernement kenyan pour la reprise de la décision - en utilisant même par la Cour pénale face au Malawi pour devenir un bon précédent pour la circulation entre les pays africains qui  refusent d'agir avec le mandat d'arrêt.
Dans les deux cas, la politique, en tout cas ayant joué pleinement son rôle, chose qui renforce les signaux faits par le ministère soudanais des Affaires étrangères, commentant la décision judiciaire du Kenya où il a indiqué que la question dans son ensemble est purement politique et que le procureur général lui-même a avoué récemment dans la  conférence de la loi internationale que son tribunal est de nature politique.
Enfin, la décision du juge a été délivrée à la demande par le Comité suprême des législateurs, au Kenya, qui est un organisme international connu sous le nom (Comité international des législateurs) avec une branche au Kenya.

Analyse: Le Front Révolutionnaire .. .l'arme n'est plus efficace




En une semaine, l'alliance armée, qui a été créé récemment par les mouvements de Minnawi, Khalil Ibrahim et le SPLM, a été vu plusieurs coups militaires et politiques qui la rendra difficile pour tout observateur de prétendre que l'alliance va survivre à ces coups douloureux.
 Dans le sud-est de 'Etat du Sud Kordofan, l'armée soudanaise a pu avancer dans le fief de Malik Agar dans la ville Al-Kirmuk.
Dans l'ouest de l'Etat du sud Kordofan, les l'armée a libéré Buhayrat Al-Abyad et Gawa, qui est l'une des principales bases des rebelles dans l'Etat.
Le porte-parole des forces armées, colonel Al-Sawarmi Khalid Sa'ad a déclaré au Canal Télévisé Al-Jazira , dimanche dernier que la région est la principale base de la 9e division de la SPLA.
Cette immense développement militaire dans les deux fronts les plus tendues au Soudan à l'heure actuelle suggèrent que le principal bastion des rebelles est presque détruite.
Et si on ajoute à ce fait, les déclarations faites par l'envoyé spécial américain pour le Soudan Lyman que son pays ne soutient pas les actions militaires en cours pour renverser le gouvernement, le dilemme des rebelles va devenir pire.
Washington a déjà averti le gouvernement du Sud Soudan contre les conséquences de soutenir les rebelles armés anti-gouvernement au Soudan.
La déclaration des États-Unis est très importante parce que les rebelles comptaient beaucoup sur le soutien politique des États-Unis à leurs actions. Ainsi, la déclaration signifie que cette option n'est plus existée.
En conséquence, il est facile de déduire que l'action armée n'est plus utile même si elle a été la principale stratégie des mouvements armés pour réaliser leurs objectifs de renverser le gouvernement.
Le leader du parti Umma Al-Sadeq Al-Mahdi, fut le dernier chiffre de critiquer les actions armées contre le gouvernement par sa déclaration que son parti cherche l'alliance de l'opposition élargie qui comprendra les factions rebelles, si ils ont mis les armes, et de s'accorder sur des moyens pacifiques.
Et si cette nouvelle alliance a réussi ou échoué, la chose importante est la décision d'adopter des moyens politiques pacifiques d'une question qui va affaiblir ceux qui s'appuient sur des actions armées.
La leçon politique de ces développements représente dans de nombreux facteurs qui pourraient être résumées dans le fait que l'action armée comme un outil pour réaliser des objectifs politiques diminue progressivement.
De plus, le recours aux armes n'est plus justifié, car l'accord de paix de Doha sur Darfour a mis un terme à la question de Darfour et répondait aux besoins de toute la région, et en raison des efforts du gouvernement soudanais œuvrent pour restructurer le pays et de mettre en place une nouvelle constitution qui ne permet pas de tension dans la pratique politique.

Analyse: Comment la justice prend-t-elle une place au Darfour




L'Etat du Sud Darfour voit  la délivrance des verdicts judiciaires condamnant à mort un certain nombre de soldats des gardes frontières pour des crimes de pillage et de meurtre.
Le procureur adjoint des crimes de Darfour le conseiller Al-Fateh Tayfour a dit dans des déclarations à la presse suite à la prise des décisions que les verdicts ont été rendus par deux tribunaux à Niyala contre certains soldats des Gardes des Frontières et quelques membres du mouvement de la justice et de l'égalité au Darfour conformément au Code pénal soudanais de 1991, disant que les personnes accusées ont été accordées leurs plein droits de se défendre.
Le verdict a été rendu en coïncidence avec pas du procureur de la cour pénale internationale (CPI) de rendre un mandat d'arrêt contre le Ministre Soudanais de la Défense Abdelrahim Mohamed Hussein dans le cadre des mesures prises par Ocampo contre les responsables soudanais pour les poursuivre devant la CPI pour des charges de crimes présumés au Darfour.
La question de la référence les crimes allégués au Darfour à la CPI a été faite en conformité avec la résolution du conseil de sécurité de l'ONU 1593 qui était basée sur les demandes d'absence de l'autorité judiciaire au Darfour.
En fait, les autorités judiciaires soudanaises n'ont jamais cessé de faire ses devoirs juridiques à cet égard. Ainsi, la décision de renvoi a été fondée sur l'hypothèse erronée.
La coïncidence susdite est une réponse pratique aux revendications de la CPI que l'autorité judiciaire Soudanaise ne remplit pas ses fonctions correctement.
Peut-être, le gouvernement devrait informer l'opinion publique sur les nouvelles de ces jugements du fait que les observateurs pouvaient suivre la poursuite des criminels de manière claire et transparente.
Le gouvernement soudanais a mis en place des mécanismes efficaces récemment pour accélérer les enquêtes et les poursuites dans les cas liés aux crimes de Darfour.
Peut-être, il n'y avait pas de besoin de démontrer ces faits du fait qu'ils sont bien connus pour ceux qui vivent ou visiter Darfour. Parce que le gouvernement n'a pas démontré les nouvelles de poursuite, nous avons décidé de faire la lumière sur eux pour lever les informations erronées et le malentendu que la justice soudanaise était réticent à jouer son rôle.

Analyse: Juba et la demande de zone d'embargo aérien ... la réalité et l'illusion




La semaine dernière, les rapports de la capitale Américain, Washington, ont indiqué que le Président de la République du Sud-Soudan Salva Kiir a envoyé une lettre officielle au Président Américain Barak Obama dans laquelle il a demandé l'Administration Américaine d'imposer une zone d'exclusion aérienne sur les frontières Soudan Sud-Soudan.
Le ministre des Affaires étrangères du Sud-Soudan Nial Deng a confirmé les nouvelles. Selon Deng, les raisons de la demande du Sud sont comme suit:
Les pas Soudanais à saper la sécurité et la stabilité dans le Sud-Soudan. Le Gouvernement Soudanais a exprimé ses regrets sur le pas du Sud et l'a considéré comme escalade injustifiable.
Évidemment, le gouvernement du Sud-Soudan a adressé le président américain Barak Obama et a ignoré l'ONU ou le Conseil de sécurité.
C'est le premier avis, si nous voulons examiner la demande sudiste profondément. Il est bien connu que les États-Unis sont super pouvoir, mais encore il ne s'agit pas de l'ONU afin qu'il puisse être demandé d'imposer des sanctions sur les pays.
Et si nous disons que Juba veut les Etats-Unis adopter la décision au Conseil de sécurité, il est important de noter ici que le gouvernement du Sud-Soudan n'a pas présenté une plainte contre le Soudan à l'ONU. Au contraire, le Soudan a soumis l'ONU une plainte officielle soutenue par des évidences contre le Sud.
Cependant, aucune enquête officielle n'a été faite jusqu'à présent.
Les Etats-Unis essayent apparemment d'éviter le pas de discuter la plainte soudanaise au Conseil de sécurité en tant que le conseiller adjoint américain pour la sécurité nationale a demandé au Sud-Soudan en public, lors d'une visite à Juba, de cesser de soutenir les rebelles anti- gouvernement au Soudan.
Peu importe ce que dit Juba, la demande est une tentative pour protéger les rebelles aux Etats du sud Kordofan et du Nil Bleu. Mais, ce mouvement est voué à l'échec parce que l'administration américaine a déclaré à plusieurs reprises qu'elle ne veut pas renverser le gouvernement soudanais, ni d'encourager les actions armées contre lui.
Enfin, malgré les intérêts américains dans le sud Soudan, ces intérêts ne sont pas si importants pour que Washington prenne le risque et l'inexact pas ou d'une autre aventure politique.

Analyse: Lorsque les ressortissants Soudanais sont –ils-devenus des cibles légitimes dans l'État du Sud-Soudan?




La seule nouvelle chose dans l'assassinat d'un haut homme d'affaires Soudanais dans l'État du Sud-Soudan par les renseignements de la SPLA est un pas par le gouvernement du Sud pour envoyer une délégation de Juba à Wau – la scène de l'incidence, pour exprimer les condoléances et de calmer les inquiétudes des citoyens soudanais résident à Wau.
La raison derrière le pas par  le gouvernement du sud soudan pour apaiser la tension, c'est le fait que l'homme d'affaires assassiné a une relation avec le sultan des Dinka Jour du fait que la personne assassinée est marié à la fille du sultan. L'épouse de l'homme d'affaires assassiné a deux frères qui sont des hauts commandants de la SPLA.
L'intelligence de la SPLA ayant été assassiné des citoyens soudanais à Wau, mais le gouvernement du Sud-Soudan n'a jamais envoyé une délégation pour exprimer les condoléances.
Les citoyens soudanais ont été des cibles faciles pour les renseignements de la SPLA sous les prétextes d'espionnage sur le Sud-Soudan.
 Tout le personnel des renseignements de la SPLA peut accuser toute personne Soudanaise au Sud, de l'arrêter  ou de le tuer sans donner aucune évidence pour soutenir son accusation.
Joda, l'homme d'affaires assassiné, qui avait été envoyé à l'hôpital après la torture, est décédé quelques heures plus tard.
Des sources bien informées à Juba, capitale du Sud Soudan ont déclaré que l'incident pourrait entraîner à des complicités politiques et ethniques difficiles, car l'homme d'affaires assassiné est de la région de Darfour, où il ya une colère croissante sur son assassinat.
Les sources ont indiqué que les personnes d'intelligence de la SPLA ne connaissaient pas les liens familiaux de la personne assassinée, chose  qui expose l'ignorance de l'intelligence de la SPLA, et réfute l'accusation d'espionnage.
Cet incident révèle les politiques non déclarées par le gouvernement du Sud Soudan à poursuivre les citoyens soudanais pour les forcer à quitter le Sud.

Analyse: La décision du Conseil de sécurité de l'ONU sur Abyei …Des agendas ouverts




Dans un pas surpris, le Conseil de Sécurité a décidé samedi de prolonger le mandat des forces de maintien de la paix de l'ONU à Abyei temporairement. Puisque la dispute est encore non résolue, la décision est normale.
En tout cas, la chose anormale est le pas du Conseil de Sécurité donnant ces forces le mandat de travailler sous le chapitre (7) qui permet l'utilisation de la force militaire pour assurer la sécurité et l'ordre.
L'ONU n'a normalement recouru à ce chapitre sauf s'il ya un état de guerre et de conflit où les deux parties n'ont pas réussi à mettre un terme ou calmer le combat.
Depuis la zone n'a pas été vu de combat dans la période précédente, la décision du Conseil de Sécurité est étrange. De plus, les deux parties ont convenu à Addis-Abeba au plus tôt le temps pour déployer des forces Ethiopiennes à Abyei en vertu du chapitre (6).
Les avant-gardes de ces forces étaient déjà déployées à Abyei. Le gouvernement soudanais a montré l'engagement à retirer ses forces d'Abyei à la fin du déploiement des forces Ethiopiennes. Le gouvernement Soudanais n'a pas violé son engagement ou des accords à cet égard.
Non une seule attaque a été faite par le Soudan, bien que l'accord de paix de 2005 stipule que la zone sera sous la présidence Soudanaise jusqu'à ce que le référendum pour déterminer si la zone fait partie du Soudan ou du Sud-Soudan est faite.
Cette décision de l'ONU pourrait être bien si le Soudan ayant lancé une guerre ou violé les droits des Dinka Ngok ou violé tout item de l'accord d'Addis-Abeba. Puisque aucune de ces choses sont arrivées, la décision demeure étrange.
Pire que cela a été la tendance de l'ONU de ne pas se concentrer sur la recherche d'une solution politique définitive à la question.
Le référendum est la solution que le Conseil de sécurité ne devrait pas aider le Sud-Soudan à échapper.
Si le Conseil de sécurité concentre sur le forcement du Sud-Soudan à accepter l'organisation du référendum ayant stipulé dans l'accord de paix, il n'y aurait pas besoin de toutes ces escalades graves.
Évidemment, la démarche vise à mettre la pression sur le gouvernement Soudanais et d'aggraver la situation dans la région jusqu'à ce que la région entière soit sous la domination des puissances internationales.

Analyse: Conséquences de la plainte de Khartoum contre Juba




Pour la troisième fois en trois mois, le Soudan a déposé une plainte au Conseil de sécurité de l'ONU contre le gouvernement du Sud Soudan.
 La plainte porte sur le soutien du sud Soudan anti-gouvernement du Soudan. Juba a fourni les rebelles anti-Soudan avec la logistique et les bases.
Le Conseil de sécurité a mis de côté la plainte et ayant fermé les yeux devant elle jusqu'aux nouveaux développements.
La dernière plainte du Soudan a prouvé qu'un convoi d'environ de 120 véhicules équipés de mitrailleuses et d'armes légères et de fournitures  pillées ont traversé les frontières au Sud-Soudan.
Ce grand nombre de véhicules, 350 combattants et 500 enfants enlevés ne peut pas être nié.
La communauté internationale est pleinement consciente de la quantité de fusils et de munitions que le mouvement de la Justice et d'Egalité  ayant apportées de la Libye après la chute du régime Al-Kadhafi.
Le Soudan a également déposé des plaintes similaires aux organisations régionales telles que l'Union africaine et l'Organisation de la région des Lacs en particulier après la décision de dernier pour interdire soutenir les mouvements armés, et les considérant comme menace pour la sécurité nationale de la région.
Le comportement du gouvernement du Sud-Soudan sera mis en doute sa crédibilité sur la scène régionale et internationale.
Juba, qui ne donne aucune préoccupation pour les conséquences de ses actions en raison de ses liens avec l'Israël, fait une aventure très dangereuse.
L'action hostile par Juba va affaiblir ses positions de négociation, donne le Soudan le droit d'adopter la même politique.
De même, la dépendance de Juba sur le mouvement armé pour renverser le gouvernement est vouée à l'échec du fait que le gouvernement actuel implique large spectre des organisations et des partis politiques.

Analyse: Juba joue un jeu dangereux avec Khartoum




Beaucoup d'observateurs trouvent des difficultés à comprendre la nature et la signification du jeu que Juba joue avec Khartoum. Ils se demandent si Juba réalise les dangers et les conséquences de ce jeu.
Il n'est pas facile de répondre à ces questions surtout quand on regarde profondément dans la nature des actes hostiles faites par le nouveau-né Etat contre Khartoum.
Ce n'est un secret que ceux qui combattent à Khartoum dans le Sud Kordofan, le Nil Bleu et Darfour résident actuellement dans le Sud-Soudan. Ils ont des camps d'entraînement dans le Sud, les corridors sûrs et un soutien direct du gouvernement du Sud Soudan.
L'avertissement américain franc que le Sud-Soudan doit cesser de soutenir les rebelles anti-Soudan est une autre évidence que le Sud  soutient les rebelles anti-Soudan.
La décision américaine d'envoyer un officiel à transmettre l'avertissement n'était pas une mesure routinière du fait que la moindre chose qui peut être déduit est que les Etats-Unis ont ses propres calculs réalistes et points de vue qui ayant fait les Etats-Unis insistent sur l'alerte au Sud-Soudan à ne pas commettre une grave erreur en continuant de soutenir les rebelles anti-Soudan.
Cette position particulière confirme que les États-Unis ne soutiennent pas le Sud-Soudan à l'égard de sa position hostile envers le Soudan.
Et si quelqu'un suggère qu'Israël était derrière la position hostile du Sud  Soudan envers le Soudan, le fait qu'Israël a perdu la guerre de Gaza de nombreuses fois et face maintenant à des changements dans la région arabe et le Moyen-Orient sont suffisantes pour écarter cette suggestion.
Si Juba pense que Khartoum ne sera pas recourir à la guerre, les règles des relations internationales ne savent politique basée sur ces estimations.
Donc la question est, ce qui fait Juba déterminer à commettre une telle erreur au moment où il est dans le besoin très nécessaire aux bonnes relations avec Khartoum de régler au moins ses dossiers en suspens qui ne pouvaient pas être résolue sans contacts directs et des négociations.
Probablement, les leaders du Sud-Soudan sont les nouveaux venus à l'administration du gouvernement du  fait qu'ils n'ont pas compris jusqu'à présent l'importance des liens de bon voisinage et les règles des relations internationales.

الأربعاء، 4 يناير 2012

Analyse: UNMIS: Retrait lent et maintes violations commises




La politique de l'ONU de " deux poids, deux mesures" envers le Soudan n'est pas limitée à la partialité flagrante, spécialement les pratiques étranges du Conseil de Sécurité à l'égard des questions Soudanaises de sécurité et de stabilité.
Pour être plus précis, penchons-nous sur la position de l'ONU sur la liquidation de sa mission au Soudan connu comme UNAMIS.
Le 11 Juillet 2011, le Conseil de Sécurité de l'ONU a rendu une décision nombre 1997/2011 dans laquelle il s'est référé à la demande du Soudan le 27 Mai exprimant le désir du Soudan de ne pas renouveler le mandat de l'ONU suite à son expiration dernier Juillet.
Basé sur la demande du Soudan, l'ONU a décidé de retirer sa mission au Soudan avec un temps limite convenu.
La décision de l'ONU a demandé au gouvernement Soudanais d'agir avec la garantie de la liberté de mouvement du personnel, des véhicules et des avions de la mission et la livraison de ses équipements jusqu'à la sortie finale des membres de la mission du Soudan.
Il n'y avait pas de controverse de la décision car il s'agit d'un pas routinier, mais la crise réside dans une autre direction parce que l'ONU a déployé environ de 100 observateurs militaires dans la région de Darfour, malgré le progrès ayant été réalisé dans le processus de liquidation. Ce pas représente une violation de la MINUS.
De plus, la MINUS n'a pas essayé de demander au Soudan de l'autorisation ni l'informe sur le pas.
La MINUS a également fait une autre violation de l'accord lorsqu'elle est laissé ses équipements militaires à Jalad, Kawuda et Talodi parce que l'accord fixé le 31 août comme l'ultimatum pour la MINUS pour retirer les équipements.
Évidemment, la MINUS veut les rebelles au Sud-Kordofan à faire usage de ces armes dans leur lutte contre le gouvernement dans l'espoir de trouver un prétexte pour justifier sa présence dans la région.
Selon le Journal SudanSafari, l'ONU n'a pas retiré complètement ses missions au Sud-Kordofan et au Nil Bleu. Il semble que la MINUS tente d'entraver le processus de retrait.

Analyse: Le dilemme de Washington envers le pétrole du Sud Soudan



L'envoyé spécial Américain pour le Soudan Princeton Lyman a dit  samedi dernier que le Département Américain du Trésor va trouver le chemin du fait que les compagnies pétrolières Américaines doivent suivre à obtenir des licences spéciales pour entrer dans le champ pétrolier en République du Sud Soudan.
Les déclarations de Lyman sont venues dans le contexte d'un plan économique Américain où les experts économiques au Département du Trésor doivent mettre en place pour surmonter les difficultés qui entravent l'entrée des compagnies Américaines dans le marché du Sud Soudan sous les sanctions économiques américaines unilatérales sur le Soudan pour deux décennies. Toutefois, Lyman a indiqué, pour la première fois, que le pétrole est l'objectif stratégique de l'administration Américaine au Sud Soudan.
Cette déclaration révèle les pressions continues du fait que les Etats-Unis entreprennent depuis des mois pour obtenir le pétrole du Sud Soudan.
Des observateurs disent aussi que cet objectif n'a pas été absent lorsque Washington a soutenu la séparation du Sud Soudan du Nord. Il est bien connu que les compagnies Américaines n'ont pas continu l'exploration du pétrole au Sud sous le prétexte de l'absence de sécurité.
Sans doute, il ya une grande différence entre l'objectif déclaré et celui non déclaré, notamment la déclaration vient dans le temps où le transport de pétrole au Sud Soudan via le Nord n'est pas encore déterminé.
Il est vrai que Washington veut faire partie des négociations d'Addis-Abeba pour donner la partie sudiste un certain pouvoir dans les négociations et de donner aux deux parties le signal qu'il a une priorité pour obtenir des licences qui lui permettent de travailler dans le domaine pétrolier au Sud Soudan.
Washington veut investir au Sud malgré les obstacles et les sanctions qu'il a imposé sur le Soudan. Peut-être, il a considéré que le Sud n'est plus concerné par ces sanctions après sa sécession, mais le Sud est encore  connecté avec le Nord en termes de pipe-lines et d'autres questions telles que les démarcations des frontières incomplètes.
Les Etats-Unis doivent changer la décision des sanctions du fait que les sanctions sont liées à un pays spécifique avec les frontières géographiques qui ne sont pas encore délimitées

Analyse: Les droits du Soudan au sein des Nations unies

 
 
 
Lors d'une réunion avec le Haut Commissaire des Droits de l'Homme à Genève, le Ministre Soudanais de la Justice, Mohamed Bushara Dosa a affirmé la disposition de son gouvernement à coopérer avec le mécanisme de l'ONU opérant dans le domaine des droits de l'homme malgré l'évidence que certains employés de l'ONU des droits de l'homme au Soudan ne sont pas digne de confiance.
Le Ministre Soudanais a donné quelques exemples à cet égard, comme les efforts déployés par certains membres du personnel de l'ONU au Soudan pour soutenir la sécession du Sud Soudan violant leur mandat  de soutenir les parties à l'accord et l'appel pour le maintien de l'unité.
Le Ministre se demandait pourquoi l'ONU n'a pas encore dénoncé l'agression du SPLM sur les Forces Armées Soudanaises et les troupes de l'ONU au Sud Kordofan il ya cinq mois.
L'ONU n'a pas honoré son mot de mener des enquêtes indépendantes sur l'incident. Au lieu de cela, l'ONU a fait un rapport biaisé sur la question du Sud Kordofan dans lequel le blâme a été mis sur le gouvernement Soudanais.
D'autre part, le conseiller juridique du SPLM leader important Talafon Kuku, qui est sous l'arrestation du SPLM pendant plus de trois ans, a accusé le Conseil des droits de l'homme de l'ONU de la conspiration à l'égard de l'arrestation de Kukuk qui appartient à l'ethnie des Nuba au Sud Kordofan.
Le conseiller juridique Mohamed Al-Hassan Nasir a dit qu'il a présenté 7 initiative au chef de l'ONU Ban Ki-moon pour libérer Kuku, en disant que l'ONU n'a pas bougé d'un pouce envers cette grave question juridique, en particulier Kuku est devenu un citoyen d'un autre Etat.
Sans doute, cette politique de ' deux mesures, deux poids '  vers la question des droits de l'homme n'a pas seulement mis en doute la crédibilité de l'ONU, mais elle sera, aussi, soulevé des questions si les questions des droits de l'homme sont devenus un outil à utiliser pour servir des agendas spéciaux.
Le Soudan a de nombreux dossiers sur les violations confirmées par le personnel de l'ONU au Soudan du fait que l'évidence que certain personnel de l'ONU soit à la MINUS ou la MINUAD de connivence avec certains groupes armés au Darfour et au Sud-Kordofan.
A part de silence de l'ONU vers l'attaque sur l'armée soudanaise et ses troupes au Sud Kordofan, l'ONU aurait gagné le respect si elle a mené des enquêtes indépendantes sur l'incident afin de déterminer la responsabilité de chaque partie.
Le personnel de l'ONU met tout le blâme sur le gouvernement Soudanais comme s'il est la seule partie au conflit. Évidemment, le monde va attendre aux décennies pour avoir une organisation internationale équilibrée et objective

الثلاثاء، 3 يناير 2012

Analyse: La CPI est sur le point de s'effondrer

Alors que la durée du mandat du procureur de la CPI vient de mettre fin en Juin 2012, le rejet des pays africains à la CPI s'agrandit.
Le Président Ougandais Museveni a été le dernier président à exprimer son rejet à la CPI.
Adressant à une conférence de presse à la session finale du 13 sommet de l'Etats des Lacs, M. Museveni a déclaré que non seulement les Africains qui commettent des crimes, ayant dénoncé la cour et a qualifié d' injuste ses mouvements.
 La position du Président Ougandais a été précédée par le rejet du Président Djiboutien Omer Gaili qui a déclaré à un magazine français à Paris il ya deux jours, bien que son pays soit un Etat membre à la CPI. Le Tchad a également rejeté les mouvements de la CPI quand il a accueilli le Président Al-Bashir et ayant eu des entretiens avec lui.
 Le Malawi a brisé cette barrière et a officiellement invité le président soudanais à visiter le Malawi.
Le Kenya a également accueilli le Président Al-Bashir. Et quand un juge kenyan a essayé de rendre une décision sur le président Al-Bashir, le gouvernement kenyan a envoyé un émissaire au Soudan à s'excuser pour ce pas, en promettant de délivrer l'objection contre la décision.
 Ce rejet africain pour aux décisions de la CPI est une réaction à la méthode du procureur sortant de la CPI Ocampo de se concentrer sur les leaders africains.
Malheureusement, après la fin de la puissance coloniale et la fin de la domination européenne, le commerce de l'esclavage et la discrimination raciale, la communauté internationale a retourné à utiliser les organes internationaux à mettre en œuvre les agendas mal intentionnés au nom de la justice.
L'homme a fermé les yeux devant les crimes commis dans de nombreuses régions du monde telles que les crimes américains en Irak et en Afghanistan, les crimes de guerre israéliens à Gaza et les crimes français au Rwanda.
En conséquence, l'Union africaine et le conseil Africain de paix peuvent penser à établir un tribunal spécialisé.
Le pas africains vers la CPI est un message clair que le tribunal est sur le point de s'effondrer.

Analyse: La décision du Conseil de sécurité de l'ONU sur Abyei …Des agendas ouverts



Dans un pas surpris, le Conseil de Sécurité a décidé samedi de prolonger le mandat des forces de maintien de la paix de l'ONU à Abyei temporairement. Puisque la dispute est encore non résolue, la décision est normale.
En tout cas, la chose anormale est le pas du Conseil de Sécurité donnant ces forces le mandat de travailler sous le chapitre (7) qui permet l'utilisation de la force militaire pour assurer la sécurité et l'ordre.
L'ONU n'a normalement recouru à ce chapitre sauf s'il ya un état de guerre et de conflit où les deux parties n'ont pas réussi à mettre un terme ou calmer le combat.
Depuis la zone n'a pas été vu de combat dans la période précédente, la décision du Conseil de Sécurité est étrange. De plus, les deux parties ont convenu à Addis-Abeba au plus tôt le temps pour déployer des forces Ethiopiennes à Abyei en vertu du chapitre (6).
Les avant-gardes de ces forces étaient déjà déployées à Abyei. Le gouvernement soudanais a montré l'engagement à retirer ses forces d'Abyei à la fin du déploiement des forces Ethiopiennes. Le gouvernement Soudanais n'a pas violé son engagement ou des accords à cet égard.
Non une seule attaque a été faite par le Soudan, bien que l'accord de paix de 2005 stipule que la zone sera sous la présidence Soudanaise jusqu'à ce que le référendum pour déterminer si la zone fait partie du Soudan ou du Sud-Soudan est faite.
Cette décision de l'ONU pourrait être bien si le Soudan ayant lancé une guerre ou violé les droits des Dinka Ngok ou violé tout item de l'accord d'Addis-Abeba. Puisque aucune de ces choses sont arrivées, la décision demeure étrange.
Pire que cela a été la tendance de l'ONU de ne pas se concentrer sur la recherche d'une solution politique définitive à la question.
Le référendum est la solution que le Conseil de sécurité ne devrait pas aider le Sud-Soudan à échapper.
Si le Conseil de sécurité concentre sur le forcement du Sud-Soudan à accepter l'organisation du référendum ayant stipulé dans l'accord de paix, il n'y aurait pas besoin de toutes ces escalades graves.
Évidemment, la démarche vise à mettre la pression sur le gouvernement Soudanais et d'aggraver la situation dans la région jusqu'à ce que la région entière soit sous la domination des puissances internationales.

Al Bashir: L'indépendance réelle signifie l'auto-dépendance, exhorte le JEM à rejoindre la paix, décerne des ordres



La commémoration du 56e anniversaire de la Journée de l'Indépendance est venue cette fois-ci tandis que la volonté du peuple Soudanais a été réalisée politiquement, culturellement et économiquement, chose qui traduit la réelle indépendance, a dit le président de la République, Maréchal Omer Al Bashir.
 Adressant la nation samedi soir au Palais Républicain à l'occasion du 56e anniversaire de la Journée de l'Indépendance, le Président Soudanais Maréchal Omer Al Bashir a indiqué que l'indépendance réelle est de parvenir à l'autosuffisance.
Il est préférable pour les plaies à guérir que simplement être donné des analgésiques, a-t-il dit, soulignant que le gouvernement a réussi à aboutir à la paix et la stabilité afin d'éviter le pays la guerre féroce.
La deuxième République a émergé avec la force et les potentiels qui peuvent conduire au développement, a-t-il précisé.
Le Président Al Bashir a indiqué que le renforcement des liens culturels et sociaux ne peut être rompu avec juste la sécession du Sud-Soudan, mais elle (la séparation) peut être un nouveau départ pour renforcer les liens conjoints pour le bien-être de la population dans les deux pays.
De même, le Président Soudanais a appelé ceux qui ont suivi ce qu'on appelle le Mouvement de la justice et d'égalité, avec ses mensonges et l'entêtement de son leader , qui a payé le prix pour la tuerie et l'effusion de sang contre le peuple Soudanais, à rejoindre le processus de paix et à se tenir au côté du dialogue en faveur de la paix.
Dans son allocution d'aujourd'hui à l'occasion du 56ème anniversaire de l'Indépendance, le Président Al-Bashir a dit que nos portes sont ouvertes devant tout  celui qui veut et cherche la paix, et pour celui qui ne repose pas sur des puissances étrangères et des agendas brutales.
Le Président Al-Bashir a indiqué que tout mouvement ou un groupe qui porte l'arme contre l'État ne sera pas plus forte que les pays qui ayant assiégé, a battu et attaqué le Soudan, mais ils avaient échoué.
Le Président Al-Bashir a affirmé la détermination du gouvernement à élargir la participation politique, en soulignant qu'un accord a été conclu avec les partenaires au sein du gouvernement sur une charte tripartite sur la réforme économique et l'allègement des fardeaux sur les citoyens.
En commémoration de la Journée glorieuse de l'Indépendance, le Président Soudanais a décerné l'Ordre d'accomplissement à l'Université Ahlia.
Le Président Al-Bashir a également décerné l'Ordre du Mérite au Professeur Salih Yaseen Salih, et l'Ordre d'excellence (première classe) à l'Ustaza Badria Al-Zain Mustafa.