الأربعاء، 9 أكتوبر 2019

Soudan: une coordination pour sécuriser la frontière commune avec l’Ethiopie et l’Erythrée

Etat de Kassala,Est du Soudan, a annoncé la coordination de la sécurité avec l’Ethiopie et l’Erythrée pour sécuriser la frontière commune.
Le gouverneur en charge de Kassala a révélé, le major général Ibrahim Mahmoud Hemmat a déclaré à SMC qu’il existait des arrangements pour ouvrir les postes frontières avec les pays voisins, ce qui contribuerait à la lutte contre la contrebande de marchandises avec les pays voisins.Il a également ajouté que la création d’une zone de libre-échange dans la zone frontalière d’Awad éliminerait les opérations de contrebande.

Soudan : Sudasat veut lancer son service de connectivité adossé sur le satellite Arabsat A6 le 1er novembre 2019

Le groupe Sudatel Telecom compte lancer son service de connectivité Internet adossé sur les capacités du satellite Arabsat 6A le 1er novembre 2019. Khalid Ehaimer, le directeur général de sa filiale Sudasat, l’a dévoilé dans un entretien accordé au site satelliteProMe. Il s’agit du fruit d’un partenariat signé, en avril 2019, avec Arabsat afin d’utiliser ses répéteurs en bande Ka
« Nous avons l’intention de changer la manière dont nous faisons les affaires au Soudan […] Avec les bandes Ka et C et Ku, nous espérons pouvoir proposer une gamme de services plus large à nos clients. Nous ne voulons pas simplement être un fournisseur de services ; nous voulons être connus comme un opérateur de réseau VSAT […] la bande Ka est une évolution et peut être gérée via des terminaux plus économiques et plus petits. Nous pourrons atteindre des zones impossibles à atteindre auparavant, y compris le nord-ouest du Soudan. Nous espérons atteindre 100 % de la population soudanaise et offrir des services à un tiers du prix actuel », a déclaré Khalid Ehaimer 
Avec la bande Ka, Sudasat annonce le lancement de nouveaux services tels que WiFiSAT, ProSAT, VoIPSAT, IoTSAT, NomadSAT et GoSAT
« Nous ne pouvions pas les déployer auparavant avec la bande C, car c’était une proposition coûteuse. La bande C est d’abord une ressource limitée, et la nature de la technologie la rend plus chère. La maintenance d’un satellite en bande C est énorme pour un opérateur et le coût par MHz est très élevé », a expliqué Khalid Ehaimer

Le COMESA promet d’aider à développer le commerce intrarégional au Soudan

La Chambre nationale des exportateurs soudanais a annoncé un accord avec le COMESA pour soutenir le développement ,le commerce intrarégional , développer les petites et moyennes entreprises, dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage, de la valeur ajoutée et du renforcement des capacités au Soudan.
Dr. Khaled Al-Maqbool, membre du Bureau exécutif de la Chambre des exportateurs, a déclaré à SMC que le secrétaire général du COMESA avait demandé à la délégation soudanaise de fournir des plans et des projets de développement pour discuter des moyens de les financer, , soulignant que l’organisation souhaitait créer un partenariat de développement avec le Soudan

L’Arabie saoudite travaille au retrait du Soudan de la liste américaine des soutiens au terrorisme

L’Arabie saoudite travaille au retrait du Soudan de la liste américaine des soutiens au terrorisme, a tweeté dimanche le ministère saoudien des Affaires étrangères.
Le ministère a souligné que le royaume établirait de nouveaux projets d’investissements et améliorerait les projets existants avec le Soudan.
Le Soudan, de son côté, s’est engagé à soutenir l’Arabie saoudite dans les événements internationaux et à promouvoir un meilleur environnement agricole et pour les investissements dans le pays, selon le ministère.
Cette annonce a été faite après une session de négociation organisée ce dimanche à Ryad entre le roi Salmane ben Abdelaziz, le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok et le président du Conseil souverain du Soudan, le général Abdel Fattah al-Burhan.
Ils ont passé en revue les relations fraternelles entre les deux pays et leurs deux peuples ainsi que les moyens de renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines, a rapporté l’Agence de presse saoudienne.

Un ancien responsable du Conseil national de sécurité des États-Unis appelle à la levée des sanctions contre le Soudan

Dans un article publié par le magazine Foreign Policy, Cameron Hudson, ancien responsable du Conseil national de sécurité des États-Unis, a souligné la nécessité de collaborer avec la nouvelle direction soudanaise pour aider à la construction et à la réforme de ses institutions et au règlement de son problème de dette extérieure, en plus de reconnaître que le Soudan n’est plus un Etat qui sponsorise le terrorisme.
Il a également appelé les États-Unis et les partenaires internationaux à lever les sanctions actuelles imposées au Soudan, sachant que la plupart de ces sanctions ont été imposées à l’ancien régime.

Le Soudan du Sud renégocie un accord pétrolier avec Khartoum

Le Soudan du Sud a annoncé lundi qu’il renégociait un accord pétrolier avec le Soudan, étant incapable d’achever de lui payer d’ici à décembre les trois milliards de dollars (2,7 milliards d’euros) qu’il s’est engagé à lui verser en dédommagement après sa sécession en 2011. Le Soudan du Sud et le Soudan avaient signé en 2012 un accord aux termes duquel Juba s’engageait à payer cette somme après avoir accédé à l’indépendance avec 70% des gisements pétroliers jusque-là exploités par Khartoum.
Le ministre sud-soudanais du Pétrole, Awou Daniel Chuang, a précisé aux journalistes que son pays avait versé 2,4 milliards de dollars jusqu’à présent mais n’était pas en mesure de payer les 600 millions restants d’ici à décembre. «A l’approche du terme du contrat, nous devrions pouvoir reporter (la date limite) parce que nous ne pouvons pas opérer dans le vide (juridique). C’est cet accord qui régit les dédommagements que nous versons au Soudan», a-t-il dit.
Des pourparlers pour reporter la date butoir débuteront fin octobre et une équipe sud-soudanaise est déjà en train de travailler sur ce dossier à Khartoum, a ajouté le ministre. Pour verser au Soudan l’indemnisation prévue, 15 dollars sont prélevés sur chaque baril de brut sud-soudanais, qui est ensuite raffiné au Soudan, a indiqué Awou Daniel Chuang.
Mais des années de conflit ont réduit la production pétrolière et les paiements ont pris du retard. Le Soudan du Sud a sombré dans la guerre civile en 2013, lorsque le président Salva Kiir a accusé son ancien vice-président, Riek Machar, de fomenter un coup d’Etat. Le conflit, marqué par des atrocités et le recours au viol comme arme de guerre, a fait plus de 380.000 morts selon une étude récente, et poussé plus de quatre millions de Sud-Soudanais, soit près d’un tiers de la population, à quitter leurs foyers.
L’accord de paix conclu en septembre 2018 a entraîné une forte baisse des combats, même s’ils n’ont pas complètement cessé. Il prévoit la formation d’un gouvernement d’union nationale d’ici au 12 novembre. Depuis la signature de cet accord, la production de brut est passée de 135.000 à 178.000 barils de brut par jour, contre 350.000 au plus fort de la production avant la guerre.

Crash du 737 MAX: l’ancien ingénieur en chef d’Ethiopian Airlines accuse

Sept mois après le crash d’un Boeing 737 MAX de la compagnie Ethiopian Airlines, un de ses anciens employés pointe l’entreprise du doigt.
Son ancien ingénieur en chef a déposé une plainte contre Ethiopian Airlines le mois dernier devant la Federal Aviation Administration (FAA), l’autorité de régulation aérienne américaine. Yonas Yeshanew a compilé documents officiels et e-mails décrivant des manquements en tout genre : mécaniciens surmenés, employés sous-qualifiés ou pilotes épuisés.
L’ingénieur a demandé à la direction de mettre un terme à une pratique dangereuse qui consistait à laisser des avions voler après des réparations et des travaux de maintenance incomplets, incorrects, voire non effectués.
Centre de détention secret
Le crash du 737 Max d’Ethiopian Airlines, qui a fait 157 morts en mars au sud d’Addis-Abeba, a cloué au sol 400 appareils et mis le concepteur Boeing sur la sellette. Mais Yonas Yeshanew affirme qu’au lendemain du drame, la direction d’Ethiopian Airlines a ordonné la falsification de rapports afin que l’entreprise ne soit pas mise en cause.
Il prétend même que la compagnie possède un centre de détention secret où elle interroge, intimide et maltraite les employés rebelles. L’ancien ingénieur y a lui-même été malmené en juillet. Quatre jours après, il a fui aux États-Unis pour y demander asile.
L’agence Associated Pressa interrogé plusieurs ex-employés qui ont confirmé au moins en partie cette liste d’accusations. Mais la compagnie aérienne nie en bloc et dénonce la vengeance d’un employé mécontent. Elle ajoute que Yonas Yeshanew a été licencié à cause de faiblesses dans son management, de problèmes de discipline et d’un manque d’intégrité.

Une Délégation Française en visite à Khartoum pour Investir dans les Domaines de l’Agriculture et de l’Elevage

Un certain nombre de Sociétés Françaises ont confirmé leur volonté d’investir au Soudan, indiquant que le Soudan est devenu attrayant pour les Investisseurs Etrangers après les récents changements survenus dans le pays et la mise en place d’un Gouvernement de Transition dirigé par M. Hamdouk
Des Sources bien informées ont déclaré  que les réunions d’hommes d’Affaires et d’Investisseurs Français constituaient une base solide pour accroître les Investissements Français dans le pays,indiquant que la Délégation Française a une expérience considérable dans les domaines de l’Investissement Agricole et Industriel, notamment (secteurs de l’élevage, de la viande, des pâturages et des abattoirs
Les sources ont souligné que la création de nouveaux projets avec la France offrira des possibilités d’emploi aux Soudanaism, la visite de la délégation contribuera à l’établissement de partenariats d’Investissement avec la Partie Française

Shoukry accrédité en tant qu’ambassadeur du Soudan au Sénégal

L’ambassadeur Khalid Abdelgadir Shoukry a présenté ses lettres de créance au président sénégalais Macky Sall en tant qu’ambassadeur du Soudan auprès du Sénégal,.
Au cours de sa rencontre avec l’ambassadeur Khalid Shoukry, le président sénégalais a exprimé sa satisfaction vis-à-vis de la stabilité de la situation au Soudan et a salué le rôle positif de l’Union Africaine et de certains pays africains dans le rapprochement des parties soudanaises à parvenir un accord sur les dispositions transitoires. Il a également salué les relations bilatérales entre les deux pays, en particulier les relations culturelles et les bourses offertes par le Soudan depuis des décennies, grâce auxquelles des centaines d’étudiants sénégalais ont été diplômés et ont occupé de hautes fonctions dans la fonction publique.
Pour sa part, l’ambassadeur Khalid a déclaré que les relations entre le Soudan et le Sénégal sont historiques, ce qui a favorisé l’ouverture de l’ambassade du Soudan à Dakar en 1999. L’ambassadeur attend avec intérêt de représenter un diplomate sénégalais basé à Khartoum au service des relations bilatérales avancées.

Réunion du mécanisme tripartite sur la MINUAD à Khartoum

La mission de la MINUAD a organisé mardi la réunion périodique tripartite 27e entre le Soudan, l’ONU et l’UA 
La réunion a examiné le processus de restructuration de la mission de la MINUAD pour la prochaine phase et la question de la transition du maintien de la paix au soutien de la consolidation de la paix et des mécanismes nécessaires pendant la transition et la mise en œuvre des exigences pour soutenir la consolidation de la paix, la reconstruction et le développement
La sous-secrétaire adjointe au ministère des affaires étrangères présidente de la partie soudanaise l’ambassadrice Ilham Ibrahim a réaffirmé l’engagement du gouvernement à fournir à la mission de la MINUAD toutes les facilités nécessaires pour faciliter le processus de sortie et de déplacement à l’intérieur ou à l’extérieur du Soudan
Dans le même contexte, les représentants des Nations Unies et de l’Union africaine ont souligné leur soutien au processus de paix au Soudan et ont mobilisé les ressources nécessaires pour mener à bien la transition, soulignant les priorités du gouvernement de transition pour la période à venir, selon le discours prononcé par le Soudan à la 74ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies

Mohammed bin Zayed reçoit Alburhan et Hamdouk

Son Altesse le cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, prince héritier d’Abou Dhabi et commandant en chef suprême des forces armées des Émirats arabes unis a reçu Lt-Gen. Abdulfattah Alburhan, président du Conseil souverain et Abdullah Hamdouk, Premier ministre 
Au cours de la réunion qui a eu lieu au Beach Palace, les deux parties ont discuté des relations bilatérales, en particulier de l’économie, de l’investissement et du commerce, ainsi que des possibilités de développement dans divers domaines
Ils ont également passé en revue les derniers développements, problèmes et dossiers présentant un intérêt commun aux niveaux arabe, régional et international
Au cours de la réunion, Son Altesse Cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan a affirmé le soutien des Émirats arabes unis à la République du Soudan durant la phase historique importante du processus, ainsi que tout ce qui contribue à la sécurité, à la paix et à l’unité sur la scène soudanaise et répond aux aspirations de la population soudanaise au développement et à la prospérité

Dr. Al-Badawi: Politiques d'intégration du Soudan dans le système financier mondial

Le ministre des Finances et de la Planification économique, Dr. Ibrahim Al-Badawi a révélé les politiques du ministère visant à intégrer l'économie soudanaise à la communauté internationale et au système financier international 
S'adressant à la conclusion de la conférence des parties prenantes au Soudan, à l'hôtel Corinthia, organisée par Shotam House, le Dr. Al-Badawi a déclaré que la politique du ministère basé sur un plan strict visant à revitaliser l'économie soudanaise, indiquant l'importance de soutenir la restauration de la paix au pays
Dr. Al-Badawi a commenté les discussions fructueuses tenues lors de la conférence par des spécialistes nationaux et étrangers, soulignant les avantages de tous ces points de vue et propositions qui contribuent à ouvrir à une nouvelle voie pour l'économie soudanaise et à la formation de son programme économique, accueillant toutes les contributions d’ici et d’ailleurs
Il a également fait allusion à l’ouverture du nouveau Soudan au monde entier pour tirer parti des expériences réussies 
Le ministre des Finances s'est félicité des efforts déployés par Shotam House pour engager un dialogue entre les citoyens soudanais depuis le début de la révolution afin de promouvoir l'économie soudanaise par le biais de cette conférence importante reflétant plusieurs questions de réforme économique

Une délégation du gouvernement fédéral inspecte des projets de développement dans l'État du Nord

Une délégation du ministère fédéral des Finances et de la Planification économique effectuant actuellement une visite d'inspection dans l'État du Nord
Le directeur général du ministère des Finances et de la Main-d'œuvre de l'État du Nord, Hafiz Awad Al-Karim, a déclaré à la SUNA que la délégation inspectera la route AL-Silam-Nawa, la route Dalgo-Argin, la route Argo-Dar Al-Ewada et les autres projets du développement
La délégation, a-t-il dit, constatera l'avancement des travaux sur le terrain sur les routes et les problèmes rencontrés lors du processus de mise en œuvre, et collectera des données et des informations sur les projets routiers et rédigera un rapport à l'intention des départements concernés
Le directeur général a déclaré les prochains jours verront des visites similaires du ministère des Finances et de la Planification économique dans plusieurs secteurs afin d'identifier des projets de développement, ainsi que la préparation du projet de budget 2020

Le ministre de la Santé rassure sur la situation sanitaire à Port-Soudan

Le ministre fédéral de la Santé, Dr. Akram Ali, le Wali de l’État de la Mer Rouge, major-général Hafiz Al-Taj ont examiné la situation sanitaire dans l'État en particulier les zones touchées par la fièvre
Le ministre a indiqué la nécessité de déployer des efforts au niveau de l'État et au niveau central pour renforcer les capacités de l'État et la gestion des services de sanitaire et vétérinaires, réaffirmant la volonté du ministère de fournir le soutien matériel et technique, de renforcer le système de soins de santé de base, la fourniture des cadres et des équipes médicales
Pour sa part, le Wali a salué l'intérêt du centre en ce qui concerne les problèmes sanitaire dans l’Etat de la Mer Rouge, en expliquant l'importance de la visite du ministre afin d'identifier les besoins du secteur de la santé pour fournir le soutien nécessaire

Madani: Politiques imminentes en matière de production et de commerce de l'or

Le ministre de l'Industrie et du Commerce, Madani Abbas Madani a annoncé les politiques à venir dans le domaine de la production et du commerce de l'or
Dans le programme "Dialogue du futur" diffusé lundi soir sur la chaîne du Nil Bleu, Madani a révélé que des mesures strictes seraient adoptées pour réviser les registres des fournisseurs et des exportateurs, ainsi que pour renforcer le contrôle administratif et populaire des marchés avec la participation des citoyens
Le ministre a indiqué l'importance de promulguer une loi visant à protéger les industries nationales, évoquant les énormes potentiels du pays qui n'avaient pas été planifiés de manière appropriée, mettant l’accent sur des nouvelles réformes commenceront par des politiques, de gouvernance et encourager la production et les exportations
Madani a ajouté qu'il y avait une coordination avec les autorités compétentes pour contrôler la frontière afin de lutter contre le trafic de marchandises vers les pays voisins, faisant allusion de l'activation de la loi sur la protection du consommateur ainsi que les amendements approuvés pour lutter contre le trafic et permettre l'intervention de l'Etat pour l’intérêt du producteur et le consommateur 
Le ministre du Commerce a affirmé la nécessité d'activer le commerce frontalier organisé, expliquant qu'une intégration économique pouvait avoir lieu entre Khartoum et Juba
Le ministre a déclaré que l'industrie associée aux zones de production était l'une des principales priorités du gouvernement de transition, ajoutant que la politique de libéralisation économique ne signifiait pas le chaos et que les étiquettes de prix seraient fixées sur les produits de base afin de prévenir l'anarchie sur les marchés, assurant l'activation de la loi sur la protection du consommateur

FDLC : Solution de Problèmes liés aux moyens de Subsistance de la Population

Le Porte-parole des Forces de la Délégation de Liberté et de Changement (FDLC), Wagdi Saleh, a annoncé l'importance de trouver une Solution Rapide aux Problèmes de moyens de subsistance publics
Le Porte-parole de la FDLC a fait cette déclaration lors d'une Conférence de Presse lancée Mardi dans les Locaux de l’Union des Banques
Il a ajouté que FDLC travaillait avec le Gouvernement pour mettre en place une Politique Urgente visant à remédier les Problèmes de moyens de Subsistance de la Population
Il a ajouté que le Public doit comprendre et avoir le Sentiment qu'il existe des Procédures Pratiques pour résoudre les Problèmes de la Vie Quotidienne
En outre, le Porte-parole de la FDLC a souligné l’importance du Transport en tant que Question Clé, affirmant qu’il affectait la Production et il a dit qu'il fallait une Action Urgente
Saleh a cité la Formation d'un Comité par le Conseil des Ministres déclarant que les Lignes de Transport seraient observées et contrôlées
Il a ajouté que des Bus importés avaient déjà été mis en Service sur des Lignes de Transport et que d'autres étaient venus soutenir le Service de Transport

FFC: Complot pour faire avorter la Révolution et le Gouvernement

Le porte-parole des Forces de la Délégation de Liberté et de Changement (FDLC), Wagdi Saleh, a révélé que des Complots Internes et Externes sont en train de se Tisser pour faire Avorter la Révolution et le Gouvernement de Transition et créer de l'Instabilité dans le pays
Lors d'une Conférence de Presse, il a déclaré Mardi que la Révolution et le Gouvernement feraient face à la Conspiration avec Fermeté et n'hésiteraient jamais à protéger la Révolution après de Grands Sacrifices, soulignant que le Gouvernement devait faire un pas Rapide pour faire cesser cette Conspiration
Saleh a évoqué les Mesures Pratiques à prendre pour Combler le Vide Administratif après la Révocation des Comités Populaires, ajoutant qu'il s'attendait à une Décision de nommer l'Administration des Services dans tous les domaines pour Combler le Vide Administratif

Ayesha Moussa s'engage à achever les procédures de Places dans les Ecoles

Ayesha Moussa Al-Saeed, membre du Conseil de la Souveraineté, a été informée des difficultés qui nuisent à la mise en œuvre de certains Projets de Sièges d’Ecole et d’Université ainsi que du mobilier des Hôpitaux dans d’Etats du pays.
Cela s'est produit lors d'une réunion Mercredi au Palais Républicain avec une délégation de l'Industrie du Meuble en Bois et en Métal.
Le Représentant de la Direction de cette Industrie, A’ala Khalifa Mahdi, a déclaré dans un communiqué de presse à l'issue de la réunion que le membre du Conseil Souverain avait promis de prendre contact avec les Autorités Concernées afin de déterminer les procédures d'Adjudication des Places dans les Ecoles, à savoir les Ministères des Finances et de l'Education, en particulier dans les Etats de l’Ouest-Kordofan, du Nil Bleu et du Centre-Darfour

Le Cabinet approuve le Plan Gouvernemental de Six Mois

Le Conseil des Ministres a approuvé Mercredi lors de sa session ordinaire le Plan du Gouvernement pour les Six Mois à venir, couvrant les Secteurs Ministériels du Gouvernement et de l'Administration, le Développement Economique et le Développement Social et Culturel
Le Ministre de la Culture et de l'Information, Faysal Mohamed Saleh, a dit dans des déclarations à la presse que le Gouvernement avait Placé le Plan dans le Cadre d'un Programme d'un An mais que, selon lui, la Matrice Prévue pour Six Mois faciliterait l'Evaluation et l'Estimation, ainsi que la Supervision et la Responsabilisation, l'Opinion Publique
Il a ajouté que le Cabinet s'était concentré sur l'Exécution du Programme de Réforme des Institutions de l'Etat, la Révision des Lois, la Formation de Commissions stipulées dans le Document Constitutionnel et le Plan d'Urgence du Ministère des Finances
Le Ministre a révélé que le Nombre Total d’Activités et de Programmes inclus dans le Plan du Gouvernement et devant être mis en œuvre par les Différents Ministères s’élevait à 435
Il a souligné que dès Dimanche prochain le Plan du Gouvernement serait prêt à être Exécuté

Gargash reçoit la ministre soudanaise des Affaires étrangères

Le ministre d'État aux Affaires étrangères Dr. Anwar bin Mohammed Gargash  a reçu mardi à Abou Dhabi la ministre des Affaires étrangères, Mme. Asmaa Mohammed Abdallah et a discuté des derniers développements survenus dans l'arène soudanaise et des moyens de soutenir le Soudan dans la prochaine étape.
Lors de la réunion, M. Gargash a souligné l'importance que les EAU attachent au Soudan et il a salué la visite officielle de SE Lt-Gen. Abdulfattah Alburhan, président du Conseil de Souveraineté et Dr.Abdullah Hamdok Premier ministre.
M. Gargash a souligné que le Soudan surmontera tous les défis avec la volonté de son peuple et le soutien de ses frères et de la communauté internationale.

Samedi prochain un séminaire sur les relations soudano-égyptiennes

Le Parti Al-Tayar de la jeunesse indépendante en coopération avec l'ambassade d'Egypte organiseront un séminaire, samedi, 12 octobre à 19 h à la salle de l’Amitié
Le séminaire, sous le patronage du Prof. Siddig Taor, membre du Conseil de souveraineté et l’honore de l'ambassadeur d'Égypte au Soudan, Hossam Issa, ainsi que plusieurs dirigeants politiques et populaires
Le président du Parti Al-Tayar, Majd Al-Din Al-Cheikh Al-Ahmadi a déclaré à la SUNA que le symposium abordera plusieurs questions importantes liées à la solidité des relations soudano-égyptiennes, l'avenir de l'unité de la vallée du Nil et aux relations entre les deux peuples après le changement politique soudanais

Le ministre de l'intérieur participe au comité exécutif du HCR

Le ministre de l'Intérieur, Al-Traifi Idriss Dafallah a participé à la 70ème session du Comité exécutif du Le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) à Genève
Le représentant permanent du Soudan à Genève, l’ambassadeur Osman Abu Fatima Adam a déclaré à la press que le ministre de l’Intérieur avait prononcé la déclaration du Soudan lors de la séance d’ouverture des réunions du Comité exécutif lors du débat de haut niveau adressé par un certain nombre de ministres des pays participants
Lors de son discours le ministre a mis l’accent sur la transformation politique, grâce à la révolution du peuple soudanais, visant à reconstruire et à restaurer les valeurs de la coopération humanitaire après trois décennies de répression, d'oppression, de discrimination et de guerres parmi sa population, provoqua le déplacement de plusieurs citoyens du pays vers des pays voisins et le déplacement de personnes de leur région d'origine
Il a remercié ceux qui ont contribué à la gestion du dialogue entre les parties soudanaises afin de mettre en place les structures fondamentales nécessaires à la gestion de la période de transition tel que le gouvernement éthiopien, l'Union africaine et de l'IGAD, afin de répondre aux aspirations du peuple soudanais à réaliser justice, liberté, paix et bonne gouvernance
La déclaration a également abordé le rôle de longue date du Soudan dans l'accueil des réfugiés des pays voisins, conformément à la politique de la porte ouverte, en coopération et en coordination avec les partenaires aux niveaux régional et international
Lors de la session d'ouverture, le Haut-commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi a évoqué les efforts déployés par le Soudan pour accueillir un nombre estimé de réfugiés, en particulier de pays voisins, notamment de réfugiés du Sud-Soudan, affirmant que l’évolution de la situation politique dans le pays contribuera au retour de nombreux réfugiés et personnes déplacées dans leur lieu d’origine et a exhorté la communauté internationale à faire tout ce qu’est en son pouvoir pour rétablir la sécurité et la stabilité au Soudan
D’autre part, le ministre devrait rencontrer le Haut-Commissaire pour discuter la coopération entre les deux parties, ainsi que plusieurs réunions bilatérales avec des représentants des États-Unis, de l'Union européenne et d'autres pays amis et frères

Le Cabinet ordonne l'Arrêt Immédiat de l'Utilisation du Mercure et du Cyanure

Le Conseil des Ministres a donné des Instructions Mercredi lors de sa réunion périodique dirigée par le Premier ministre Abdallah Hamdok, selon lesquelles l'Utilisation de Mercure et de Cyanure devait être Immédiatement arrêtée dans les Opérations Minières
Le Conseil a également ordonné la Modification de l'Accord avec les Entreprises du Secteur Minier
Le Cabinet a déclaré qu'une part des Entreprises générant des Bénéfices devait être allouée au Développement des Communautés Locales en plus de la Création d'un Fonds de Développement dans les Zones Minières
C’est ce qui est arrivé lors de l’examen par le Conseil des Ministres des Incidents Survenus récemment dans la ville de Taludi, dans le Sud-Kordofan
Le Ministre de la Culture et de l'Information, Faysal Mohamed Saleh, a expliqué dans une déclaration à la presse que toutes les Informations Disponibles ne garantissaient pas de Morts. Cependant, il a déclaré qu'il y avait des cas de Blessés
Le Ministre a admis que le Gouvernement était responsable de ralentir le traitement de la question et a ajouté que la Population restait assise longtemps dans la Région sans Intervention des Autorités
Le Ministre a annoncé que le Conseil des Ministres avait arrêté le Travail des Entreprises et nommé des Superviseurs Environnementaux parmi les Fils de la Région pour observer le Travail des Processus Miniers et a également signalé tout Cas de Violation pouvant Nuire à l'Environnement

Al-Teraifi rencontre le Sous-secrétaire d'Etat Américain pour la Population

Le Ministre de l'Intérieur, le Gén. (Police) Al-Teraifi, Idriss Dafallah, s'est entretenu Mercredi avec le Secrétaire d'Etat Américain pour la Population, sur les Réfugiés et les Migrations, Corell O'neil, en marge de la 70ème Session du Comité Exécutif du Haut-Commissariat pour les Refugies (HCR) se réunissant à Genève
Le Ministre a appelé à fournir une Aide au Développement au Soudan, à Réhabiliter les Zones de Retour Volontaire, à soutenir les Communautés Hôtes Locales et à renforcer les Capacités Nationales en matière de Gestion des Programmes concernant les Réfugiés, les Migrants et les Personnes Déplacées 
La Secrétaire d'Etat américaine chargée de la Population, quant à elle, s'est engagée à contribuer au Renforcement des Capacités et à fournir une Assistance Technique dans les domaines de la Législation ou de la Planification, en plus d'un Financement Direct par le biais des Agences des Nations Unies
Le Responsable américain a accepté la Possibilité d'un Transfert des Opérations de Secours au Développement

الأربعاء، 2 أكتوبر 2019

Nouvelles manifestations anti-Sissi en Egypte malgré l’interdiction

Pour la deuxième nuit consécutive, des manifestants antigouvernementaux sont descendus dans les rues du centre de Suez.
Des affrontements ont éclaté samedi 21 septembre au soir à Suez, dans le nord-est de l’Egypte, entre les forces de l’ordre et des centaines de manifestants exigeant le départ du président Abdel Fattah al-Sissi, ont rapporté des témoins.
Pour la deuxième nuit consécutive, des manifestants antigouvernementaux ont bravé l’interdit de manifester et sont descendus dans les rues, où ils se sont retrouvés face à de nombreux policiers antiémeute appuyés par des blindés.
« Il y avait environ 200 personnes », a raconté un manifestant de 26 ans interrogé par l’Agence France-presse (AFP). Les forces de sécurité « ont tiré des gaz lacrymogènes, des balles en caoutchouc et des balles réelles. Il y a des blessés », a poursuivi ce manifestant qui a requis l’anonymat.
Une autre habitante de Suez interrogée par l’AFP a fait état d’un nuage de gaz lacrymogène si vaste qu’il atteignait son immeuble, situé à quelques kilomètres des incidents. Une source des forces de sécurité a confirmé la présence de plusieurs dizaines de manifestants à Suez, mais n’a fourni aucun détail sur la réaction des autorités.

Rares manifestations

Au Caire, les forces de l’ordre ont été déployées samedi aux abords de la place Tahrir, lieu emblématique de la révolution de 2011. La veille, plusieurs dizaines de manifestants y avaient scandé « Sissi, va-t-en » avant d’être dispersés par la police. D’autres protestataires sont descendus vendredi soir dans les rues de plusieurs villes du pays, dont Alexandrie.
Les manifestations contre le régime sont très rares en Egypte, une la chape de plomb répressive est imposée au pays depuis la destitution en 2013 du président islamiste Mohamed Morsi par l’armée, à la tête de laquelle se trouvait alors le général Sissi.
Des appels à manifester ont été lancés ces derniers jours sur les réseaux sociaux, émanant notamment d’un homme d’affaires exilé en Espagne, Mohamed Ali, qui accuse le pouvoir de corruption. Le président Sissi avait nié en bloc ces allégations. « Ce sont des mensonges et ils ont pour but de briser la volonté des Egyptiens et de leur faire perdre toute espoir et toute confiance en eux-mêmes ».

« Marche du million »

Dans une nouvelle vidéo mise sur les réseaux sociaux, il a appelé les Egyptiens à participer à une « marche du million » vendredi prochain sur toutes « les grandes places » du pays. « J’étais aussi surpris que vous de voir le nombre de personnes dans les rues (…) cette révolution du peuple (…) Nous devons nous unir (…) et nous organiser pour descendre sur les grandes places. Nous avons jusqu’à vendredi pour y arriver », a-t-il lancé.
Il a par ailleurs demandé aux autorités de libérer les personnes qui avaient été arrêtées vendredi.
Le régime égyptien mène une répression sans merci contre l’opposition, emprisonnant des milliers d’islamistes, de militants ou encore de blogueurs. Au moins 74 personnes ont été arrêtées dans la nuit de vendredi à samedi, a indiqué à l’AFP une source au sein des services de sécurité. lemonde.fr

Urgence climatique : cinq questions sur le sommet de l’ONU qui s’ouvre aujourd’hui

La plupart des dirigeants de la planète seront cette semaine à New York pour l’assemblée générale des Nations unies. Son secrétaire général Antonio Guterres en a profité pour organiser dès ce lundi 23 septembre un sommet sur l’urgence climatique. Guterres en a assez des promesses et attend des engagements concrets. Le point en cinq questions.
Il y a urgence. Un rapport dévoilé dimanche 22 septembre par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), qui dépend de l’ONU, confirme que les cinq années 2015 à 2019 devraient constituer la période la plus chaude jamais enregistrée, avec + 1,1 °C par rapport à la période 1850-1900.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, entend ne pas relâcher la pression sur les dirigeants du monde entier, avec un sommet consacré au climat dès ce lundi.

Quel objectif pour ce sommet ?

Que les dirigeants de la planète augmentent leurs objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre (GES), responsable du dérèglement climatique. En 2015, les pays s’étaient engagés à limiter la hausse de la température mondiale « bien en deçà » de 2 °C, par rapport à l’ère préindustrielle. Malgré cela, les émissions s’envolent. La planète est sur une trajectoire de + 3° à 4 °C à la fin du siècle, autant dire invivable.
« La nature est en colère […] nous sommes en train de perdre la course », a martelé Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, après une visite aux Bahamas, ravagés par l’ouragan Dorian. Les très fortes inquiétudes que suscite désormais la fonte des glaces au pôle Sud lui donnent raison, malgré la mobilisation qui s’est exprimée ce week-end partout dans le monde.

Qu’attend Antonio Guterres ?

« Apportez des plans d’actions, pas des discours ». Dans une lettre aux chefs d’États, le patron de l’ONU a appelé à réduire les émissions de GES de 45 % d’ici 2030, à mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles et à interdire la construction de centrales à charbon dès 2020. Objectif : atteindre en 2050 « la neutralité carbone ». C’est-à-dire ne pas émettre davantage de GES qu’on ne peut en absorber. Pour l’instant, seule une poignée de pays s’y est engagée.

Sera-t-il entendu ?

Une cinquantaine de pays, surtout des îles ou d’Afrique, seraient prêts à relever leurs ambitions. « Encore faut-il que les moyens suivent, analyse Pierre Cannet, spécialiste du climat à l’ONG WWF. Les 1 200 milliards d’euros de budget annoncés par la nouvelle Commission européenne ne sont pas fléchés. Il faudrait qu’au moins la moitié aille à la transition écologique. » Sinon, les derniers pays d’Europe dépendants du charbon (Pologne, Tchéquie, Hongrie, Estonie) n’en sortiront pas.
Vendredi, l’Allemagne d’Angela Merkel a adopté un plan à 100 milliards sur dix ans pour la protection du climat. Un effort dix fois plus important que la France, si Paris reste sur sa trajectoire actuelle : 800 millions supplémentaires pour 2020…
Sous la pression de la vague écologiste mondiale, comme ses homologues, Emmanuel Macron se sait très attendu à New York. Ce matin, il co-présidera avec les présidents chilien et colombien une réunion sur la reforestation et l’Amazonie. Pour aller au-delà des vœux pieux ?

Que feront les États-Unis ?

Trump a fait savoir qu’il ne viendrait pas. Petite vengeance ? Le patron de l’ONU n’a pas caché son intérêt pour le New Green Deal du candidat démocrate à la présidentielle Bernie Sanders. C’est le seul dont le programme permettrait aux États-Unis d’atteindre la neutralité carbone.

Et les grands pays d’Asie ?

Le Japon vient de se faire taper sur les doigts par Guterres, car il prévoit de nouvelles centrales à charbon pour pallier la fermeture de réacteurs nucléaires. Or, Tokyo est déjà le troisième plus grand pays importateur de charbon au monde, après l’Inde et la Chine. Des deux géants qui pourraient, eux, annoncer des efforts. ouest-france.fr

L’UNESCO conclut le programme STEM

L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a célébré l’obtention du diplôme de 58 enseignantes en sciences et en mathématiques du programme d’initiation du projet clubs de Jeunes filles (STEM).
Ce projet de cinq semaines comprend des conférences pédagogiques et une formation pratique en science, mathématiques informatique, laboratoires virtuels, E-learning, gestion de l’eau, transfert de technologie, technologies vertes, énergies renouvelables et innovation.
Il est à noter qu’un certain nombre de scientifiques de l’Université du Soudan des sciences et de technologies, de l’Université de Khartoum, du Centre de recherche sur l’énergie et des chaires de l’UNESCO pour transférer la technologie et de l’eau ont participé au programme.
L’ISESCO a présenté des programmes de compétition de recherche scientifique, lors des activités et l’élève Anwar Shihabuddin Babiker, les écoles Al-Qabas, de la septième année, a obtenu la première place, avec une recherche intitulée Nanotechnologie.

Le Conseil des affaires Soudano-Éthiopien: visite des usines de textile d’Adama

Le chef du Conseil des affaires soudano-éthiopien accompagné de l’ambassadeur éthiopien à Khartoum, Shifr Odessa et d’un certain nombre d’hommes d’affaires participant à la conférence économique ont visité les usines de textile de la ville éthiopienne d’Adama, qu’accueille diverses nationalités du travailleurs et export ses produits vers des pays d’Europe.
Le chef du Conseil des affaires soudano-éthiopien, Wajdi Merghani a déclaré à la SUNA que le Soudan était prêt à fournir du coton aux usines éthiopiennes dans le cadre de l’intégration économique souhaitée entre les deux pays.
Wajdi a fait allusion que le volume des exportations annonçait une augmentation d’environ 2 milliards de dollars, contre 1,5 milliard de dollars la dernière saison.

Deux lettres à la ministre des affaires étrangères de ses homologues philippin et tchèques

  La ministre des Affaires étrangères Mme. Asmaa Mohammed Abdallah a reçu une lettre de félicitations du ministre philippin des Affaires étrangères M. Teodoro Locsin à l'occasion de son entrée en fonction, ainsi qu'un message de félicitations similaire du ministre tchèque des Affaires étrangères M. Tomáš Petříček 
 Les deux ministres ont exprimé – dans leurs messages - le souhait de repousser les relations de leurs pays avec le Soudan vers des horizons plus vastes et ont exprimé l'espoir que la période de transition conduirait à une paix complète, au développement et à une démocratie durable au Soudan

Al Burhan s'est informé de la situation dans le Nord-Darfour

Le président du Conseil Souverain Lt-Gen. Abdulfattah Alburhan a rencontré dans son bureau au commandement général des forces armées le Wali/gouverneur de l’état fédéré de Darfour-Nord Maj-Gen. Malik Ettayeb Khojali pour examiner l’ensemble des questions de sécurité et socio-économiques que déploie le gouvernement du Nord-Darfour en vue de soutenir les services de santé, la stabilité sociale ainsi que le succès de la saison agricole.
Lt-Gen. Alburhan a demandé au gouvernement du Nord-Darfour de suivre et d’appuyer les projets de développement, les services et de renforcer le processus de sécurité et de stabilité tout en saluant les efforts déployés par le gouvernement de l’état pour parvenir à la stabilité dans tous les domaines, notamment la sécurité de la saison agricole et la réduction des problèmes entre pasteurs et agriculteurs.
Au cours de sa visite à Khartoum, le Wali du Nord-Darfour a visité les ministères du Travail, du Développement social, de l'Énergie et des Mines au cours desquelles il a discuté avec les ministres les progrès des projets de services et de développement mis en œuvre par ces ministères au Nord-Darfour.

Le ministre de l'énergie rencontre le chargé d'affaires canadien au Soudan

Le ministre de l'Énergie et des Mines, Ing. Adel Ali Ibrahim a discuté, avec le chargé d’affaires de l’ambassade du Canada au Soudan, M. Adria Ronald Norfok, des moyens de coopération conjoint entre les deux pays, à la lumière de l’évolution récente de la situation dans le pays 
Au cours de sa rencontre, le ministre a salué le rôle pionnier joué par le Canada dans le soutien de la transition qui s'est déroulée au Soudan et le développement de la coopération commune entre les deux pays, affirmant ses efforts pour développer la coopération dans le domaine de l’énergie et les mines avec le Canada afin que le Soudan puisse tirer parti de l’utilisation des technologies modernes du Canada
L'ingénieur Ibrahim a passé en revue la politique du ministère visant à encourager les investissements étrangers dans les secteurs de l'énergie et des mines, appelant les entreprises canadiennes à investir dans ces domaines au Soudan, réaffirmant l'ouverture du Soudan au monde grâce à des partenariats intelligents
Norfok a révélé le désir de son pays d’investir dans les opportunités offertes par les secteurs de l’énergie et des mines, soulignant son désir de nouer des relations économiques entre les deux pays
Il a ajouté que le Soudan était un pays riche en ressources naturelles et minérales et il trouvera le plus grand intérêt de la part du Canada

Hamdok: notre visite en France et New York est un début de nouvelle ère

Le Premier ministre Abdullah Hamdok a déclaré que la participation du Soudan aux travaux de la 74ème Assemblée générale des Nations Unies à New York serait suivie de nombreux détails du programme du gouvernement de transition
Hamdok a indiqué, lors d'une conférence de presse tenue ce soir à l'aéroport de Khartoum, après son retour dans le pays après sa participation aux travaux de l'Assemblée générale de l’ONU, que cette participation constitue le retour du Soudan a la communauté internationale
Dr Hamdok a eu, lors de sa visite, des entretiens bilatéraux avec des institutions internationales et des personnalités publiques
Hamdok a souligné que sa visite en France et sa longue rencontre avec le président Macron ont marqué le début d'une relation distinguée avec la France
Il a décrit sa visite officielle en France à l'invitation de Macron comme un succès et au cours de laquelle il a assisté aux funérailles de l’ancien président français Jacques Chirac

Le Soudan devient membre du Conseil de l'OACI

Le Soudan a été élu membre du conseil de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) à Montréal, au Canada
Le chef de la délégation soudanaise à la 40e Assemblée générale de l'OACI, Mustafa Al-Duwaihi a déclaré, dans une déclaration de presse que la sélection du Soudan était un événement historique et affirme l'importance du rôle joué par le Soudan et des efforts qu'il déploie pour tirer parti des avantages du développement du transport aérien dans la région et dans la région
Il est à noter que la sélection du Soudan est venue après les élections et la compétition entre tous les États membres de l'Assemblée générale issus de différents pays du monde

Abdalla Hamdok : 3 années pour asseoir les bases d’un nouveau Souda

Au Soudan, alors que les cendres des derniers combats de la révolution sont encore chaudes, le peuple, déchiré par la guerre, se rêve un avenir plus lumineux. Cet espoir est en grande partie incarné par un homme : le nouveau premier ministre Abdalla Hamdok. L’économiste a, en effet, la lourde tâche de relever une économie abattue par des conflits qui consommaient jusqu’à 70% du budget national.
Ces dernières heures, les médias du monde entier avaient les yeux braqués sur le Soudan. A Khartoum, Abdalla Hamdok, le nouveau premier ministre faisait face à l’un des nombreux casse-têtes qui occuperont ses journées durant les 3 prochaines années. Celui qui partage le pouvoir avec le général Abdel Fattah Al-Burhan, président du nouveau conseil souverain de la transition, doit nommer les ministres du premier gouvernement civil soudanais de ces 30 dernières années. Initialement prévue pour être rendue publique mercredi, la liste tarde à poindre, prouvant à quel point la tâche confiée à Abdalla Hamdok s’annonce difficile.

En premier lieu, installer un climat de paix dans un pays qui reste une véritable poudrière.
Entre les revendications des différents mouvements politiques, notamment ceux des régions marginalisées réclamant une meilleure représentation, et celles des femmes qui se sentent écartées de la gestion du pays, on imagine bien le casse-tête que représente la composition de ce gouvernement. Seulement, ce n’est que le début de 3 années durant lesquelles il devra trouver le moyen de remettre sur pied une économie qui s’est effondrée depuis 2011. Pour cela, il faudra, entre autre, sortir la nation de l’autarcie dans laquelle elle s’est enlisée, déjà pour lever les nombreuses sanctions dont fait l’objet le pays, mais aussi pour attirer des investisseurs étrangers. Heureusement, Abdalla Hamdok, ancien collaborateur des Nations Unies, sait dialoguer avec la communauté internationale.
« Arrêter la guerre et redresser l’économie », facile à dire…
« Les priorités du gouvernement seront d’arrêter la guerre, de construire une paix durable, de faire face à la sévère crise économique et de mettre en place une politique étrangère équilibrée », avait expliqué Abdalla Hamdok à la presse, peu de temps après avoir prêté serment le 20 aout dernier. Résumée aussi simplement, la mission du nouveau premier ministre soudanais n’en est pas moins colossale. En premier lieu, installer un climat de paix dans un pays qui reste une véritable poudrière s’annonce compliqué. En effet, malgré la récente accalmie provoquée par la nomination d’Abdalla Hamdok, la tension au sein du pays n’a pas pour autant disparu. La preuve en est que des forces anti-gouvernementales comme le Mouvement de libération du Soudan de Minni Minnawise sont massées à la frontière de la Libye, pour protester contre une « confiscation de la révolution » par le mouvement des Forces pour la liberté et le changement.
La preuve en est que des forces anti-gouvernementales comme le Mouvement de libération du Soudan de Minni Minnawise sont massées à la frontière de la Libye, pour protester contre une « confiscation de la révolution »
Pour Minni Minnawi, qui pense que ce mouvement va s’arroger tous les postes ministériels, « la liberté ne se réalisera qu’avec davantage de lutte ».
2revolution
La tension au sein du pays n’a pas pour autant disparu.
A ces menaces, s’ajoutent les ambitions toujours présentes des militaires qui doivent partager, pour la première fois en 30 ans, le pouvoir avec les civils. D’après plusieurs experts, le général Hemedti, par exemple, envisage toujours de devenir président d’un pays ou le peuple crie son ras-le-bol des gouvernements militaires.

Depuis la sécession du Sud en 2011, le Soudan a perdu les trois quarts de ses réserves de pétrole. Pour ne rien arranger, 20 ans de sanctions américaines ont plombé la situation économique du pays. Aujourd’hui, le Soudan fait face à une inflation galopante, une chute continue de la valeur de sa monnaie, des pénuries chroniques de biens de première nécessité et un important manque en devises étrangères. Cette toile de fond, avec la multiplication par 3 du prix du pain, avait poussé les Soudanais à lancer leur révolution en décembre 2018.

Les ambitions d’Hemedti restent une menace pour la démocratie soudanaise
Abdalla Hamdok en est conscient : il n’y aura pas de paix dans une telle situation économique. D’après lui, il faudra 10 milliards de dollars d’aides étrangères sur 2 ans pour amorcer une sortie de crise. Encore faut-il les obtenir d’une communauté internationale qui a eu des relations très tendues avec le Soudan ces dernières années. Heureusement, le profil du nouveau premier ministre laisse penser qu’il peut réussir à renouer le dialogue.
Un économiste qui sait parler à la communauté internationale
Aussi bien pour régler ses problèmes économiques que pour changer son image au plan international, le Soudan aurait difficilement pu trouver un meilleur profil que celui d’Abdalla Hamdok. Né en 1956 au Kordofan du Sud, le nouveau premier ministre cumule plus de 30 années d’expérience en économie mais également de bonnes relations avec plusieurs grandes organisations Internationales. Après l’obtention de son baccalauréat, il décroche une licence en sciences économiques de l’Université de Khartoum. Dans la foulée de l’obtention de son diplôme, il débute sa carrière professionnelle au ministère des finances du Soudan en 1981. Il continue d’y travailler jusqu’en 1987, année durant laquelle il obtient un emploi au ministère de l’agriculture. Peu de temps après sa prise de service, il obtient une bourse du centre culturel britannique pour étudier en Angleterre. A cette époque, en 1989, lorsqu’Omar El-Bechir arrive au pouvoir à la faveur d’un putsch, Abdalla Hamdok, qui n’est pas un admirateur du nouveau chef d’État décide de s’exiler.
A cette époque, en 1989, lorsqu’Omar El-Bechir arrive au pouvoir à la faveur d’un putsch, Abdalla Hamdok, qui n’est pas un admirateur du nouveau chef d’État décide de s’exiler.
Il décide alors de partir en Grande-Bretagne perfectionner ses connaissances à la School of Economic Studies de l’université de Manchester. Il y obtiendra un doctorat en sciences économiques. Il part ensuite pour le Zimbabwe où il rejoint, en 1993, le cabinet Deloitte. De 1995, année durant laquelle il quitte Deloitte, à 1997, il travaille en tant que conseiller technique principal à l’Organisation internationale du travail, toujours au Zimbabwe. Il devient ensuite économiste principal en politiques à la Banque africaine de développement, en Côte d’Ivoire. En 2001, il quitte ce poste pour diriger successivement les activités de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique dans le domaine de la gestion des politiques de développement, puis du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique et de l’intégration régionale. Entre 2003 et 2008, il a occupé le poste de directeur régional pour l’Afrique et le Moyen-Orient pour l’organisation intergouvernementale « International IDEA ». Il part ensuite pour l’Éthiopie, où il se lie d’amitié avec le Premier ministre de l’époque Meles Zenawi. Ce dernier le nomme conseiller en chef de la Banque de commerce et de développement à Addis Abeba.
Il part ensuite pour l’Éthiopie, où il se lie d’amitié avec le Premier ministre de l’époque Meles Zenawi. Ce dernier le nomme conseiller en chef de la Banque de commerce et de développement à Addis Abeba.
En 2016, il obtient le poste de secrétaire général du Conseil économique et social de l’ONU. Son rayonnement est tel que même Omar El-Bechir, qui ne l’apprécierait pas particulièrement, lui propose le poste de ministre des Finances du Soudan. Abdalla Hamdok refuse l’emploi en précisant qu’il se rendrait disponible pour servir son pays «quand les conditions seraient réunies». Un an plus tard, après la chute de l’ancien président et la victoire du peuple contre le pouvoir militaire, Abdalla Hamdok devient Premier ministre.
Le nouveau premier ministre veut miser sur l’agriculture pour « faire passer l’économie soudanaise d’une économie basée sur la consommation et les importations à une économie productive, et cesser d’exporter des produits tels que le bétail et l’agriculture en tant que matières premières ».
Il a 3 ans pour remettre l’économie soudanaise sur le droit chemin. Son plan pour y arriver passe par deux étapes clés. D’abord, il veut réchauffer les relations de son pays avec la communauté internationale. En effet, si l’embargo économique américain est levé depuis 2017, il faut encore que les États-Unis retirent son pays de la liste noire des « États soutenant le terrorisme ». Ensuite pour relancer l’économie, le nouveau premier ministre veut miser sur l’agriculture pour « faire passer l’économie soudanaise d’une économie basée sur la consommation et les importations à une économie productive, et cesser d’exporter des produits tels que le bétail et l’agriculture en tant que matières premières ».

Il a 3 ans pour remettre l’économie soudanaise sur le droit chemin.
Enfin, l’économiste aura besoin d’un peu de chance, pour que les différents antagonismes et ambitions ne ravivent pas les flammes bellicistes des différents mouvements armés du pays. Trois ans de calme, c’est tout ce qu’il faut souhaiter au grand Soudan pour installer une paix durable et espérer un meilleur avenir…

Le Soudan participe à la Coupe d’Afrique des Nations au Caire

Le chargé d’affaires de l’ambassade du Soudan au Caire, Idris Mohamed Ali a rendu hommage à la participation remarquable de la délégation soudanaise sportive et journaliste à la Coupe d’Afrique des nations qu’a eu lieu récemment au Caire.
La délégation soudanaise dirigée par le président de la Fédération générale de football, Prof. Kamal Shaddad, et le secrétaire général de l’Union, Majdi Shams Al-Din.
Lors du déjeuner offert par l’ambassade en l’honneur de la délégation soudanaise, le chargé d’affaires a affirmé que la participation du Soudan reflet le grand intérêt soudanais, des professionnels des médias et des athlètes avec la participation de l’Égypte à tous les événements majeurs organisés sur son territoire tel que la Coupe d’Afrique des Nations.
Il a ajouté que l’ambassade était déterminée à témoigner et à soutenir toutes les activités sportives entre les deux pays, indiquant que l’ambassade souhaitait soutenir les activités et activer les accords et programmes signés entre les deux pays dans tous les domaines sportifs.
Il a également confirmé que l’ambassade n’épargnerait aucun effort pour soutenir et œuvrer au succès de toutes les activités bilatérales entre les deux pays, tout en saluant les athlètes et les délégations sportives et médiatiques qui se rendent en Égypte pour participer à ces événements, faisant allusion au rôle important joué par le sport dans le soutien des relations internationales, régionales et bilatérale.

Le gouvernement soudanais va négocier un financement de 2 milliards $ auprès de la Banque mondiale

Le Soudan s’apprête à négocier un financement de 2 milliards $ auprès de la Banque mondiale. C’est ce qu’a annoncé, cette semaine, Ibrahim Elbadawi , ministre des Finances du pays, cité par Reuters.
Cette annonce intervient quelques semaines après que le gouvernement a annoncé son intention de mobiliser un financement du même montant en devises étrangères au cours des prochains mois. Un montant qui devrait permettre au pays de ralentir la dépréciation de sa monnaie et de la stabiliser.
En août dernier, le nouveau Premier ministre indiquait qu’environ 8 milliards $ seraient nécessaires au cours des deux prochaines années pour couvrir ses factures d’importations et relancer l’économie du pays en proie à une forte inflation et une dette élevée. Pour obtenir ce montant, le pays essaye de négocier une restructuration de sa dette envers le FMI et la Banque mondiale qui l’empêche d’obtenir de nouveaux prêts.
D’après le ministre Elbadawi, des pourparlers sont également en cours avec la Banque mondiale afin que l’institution soutienne et finance l’envoi de trois experts soudanais dans le pays. Ceux-ci apporteront leur appui à la Banque centrale et au ministère soudanais des Finances pendant les trois années que durera la transition politique.

Les Pays-Bas allouent 28 millions $ à la résilience des systèmes alimentaires au Soudan, en Somalie et au Soudan du Sud

Le Royaume des Pays-Bas vient d’accorder un financement de 28 millions $ pour le renforcement de la résilience des chaînes de production agricole de la Somalie, du Soudan et du Soudan du Sud.
Ce financement ira au profit du programme de renforcement de la résilience des systèmes alimentaires dans les crises prolongées (FNS REPRO), mis en œuvre par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). L’objectif du programme est de démontrer que les interventions de développement, centrées sur le renforcement des moyens de subsistance à long terme peuvent être menées à grande échelle, même dans les régions aux situations instables.
« Les pays et les régions affectés par des crises prolongées sont souvent dépendants de l’aide humanitaire et décrits comme des zones où le développement agricole et rural ne peut intervenir à grande échelle. Notre travail consiste à démontrer que cela est faux. Nous savons que cela est possible. C’est pourquoi ce projet comprend un programme d’apprentissage qui aidera à analyser les exemples de réussites qui peuvent être répliqués dans d’autres communautés confrontées aux mêmes défis », a affirmé Qu Dongyu, le directeur général de la FAO.
« Il s’agit d’un grand pas en avant, dans le cadre de nos efforts collaboratifs qui font suite à la résolution du Conseil de sécurité de l’année dernière portant sur les conflits et la sécurité alimentaire. Grâce au FNS-REPRO, nous adopterons une nouvelle manière de travailler dans les contextes humanitaires, une méthode qui reconnaîtra que les initiatives de développement rural sur le long terme – même en situation d’instabilité prolongée – ont un rôle considérable  à jouer dans la prévention et l’atténuation des crises alimentaires », a affirmé, pour sa part, Sigrid Kaag (photo, gauche), la ministre néerlandaise du Commerce extérieur et de la Coopération pour le Développement.
Les actions du FNS-REPRO se concentreront sur trois principaux aspects. L’amélioration de l’accès des communautés rurales aux ressources naturelles et à leur gestion ; l’amélioration des moyens de subsistance, à travers la création de nouveaux maillons dans la chaîne de valeur agricole ; l’amélioration de la capacité des populations à tirer profit de ces nouvelles opportunités. En outre, ces actions prendront en compte l’identification et l’atténuation des risques afin de rendre ces moyens d’existence plus résilients, tout en améliorant la sécurité alimentaire.

Le Soudan ferme ses frontières avec la Centrafrique et la Liby

Le Soudan a décidé jeudi de fermer ses frontières avec la Libye et la Centrafrique pour des raisons de sécurité, la première mesure du genre prise par les nouvelles autorités soudanaises depuis la chute en avril du président Omar el-Béchir.
«Le Conseil souverain, au cours d’une réunion avec le gouvernement local du Darfour-Sud, a ordonné la fermeture des frontières avec la Libye et la République centrafricaine en raison de la menace qu’elles représentent pour la sécurité et l’économie du Soudan», a indiqué cette instance dans un communiqué.

Soudan : Antonio Guterres demande un soutien international pour la transition du pouvoir

le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a demandé un soutien international pour la transition du Soudan.
«Maintenant, nous avons besoin d’un certain nombre de choses de la part de la communauté internationale. Et cela devrait inclure la suppression immédiate de la désignation du Soudan comme un État soutenant le terrorisme, la levée de toutes les sanctions économiques et la mobilisation d’un soutien financier massif pour le développement afin de pérenniser les progrès politiques actuels», a-t-il déclaré lors d’une réunion de haut niveau sur le Soudan.
Le Soudan a sombré dans le chaos politique après l’éviction du président Omar el-Béchir par un coup d’État en avril 2019, à la suite de plusieurs mois de manifestations dans les rues. Un gouvernement de transition dirigé par des civils a été formé le 5 septembre.
«Nous entrons dans une nouvelle phase de partenariat, y compris au Darfour, après des décennies d’action humanitaire, d’opérations de maintien de la paix et d’aide au développement», a déclaré M. Guterres.
La communauté internationale a la stricte obligation de faire tout son possible pour contribuer à faciliter les conditions de succès de l’expérience démocratique soudanaise actuelle.
«Et nous devons être conscients des énormes défis auxquels le Soudan est confronté et du soutien considérable qui sera nécessaire pour permettre de relever ces défis et faire en sorte que le pays puisse créer un nouvel avenir, un avenir de démocratie, de prospérité, de justice et de droits de l’homme», a-t-il déclaré.
Le succès de cette transition est essentiel pour le peuple soudanais, mais également pour l’ensemble de la région, a-t-il ajouté. La transition n’est pas la fin du voyage, mais marque le début de la longue route du Soudan vers le redressement socio-économique et vers l’instauration d’une paix durable et d’un développement inclusif qui bénéficiera à l’ensemble de la société diversifiée et dynamique du Soudan, a-t-il déclaré.
M. Guterres a souligné la nécessité de se concentrer sur l’ampleur des besoins humanitaires dans le pays, avec plus de 8 millions de personnes ayant actuellement besoin d’une assistance.
Comme la reprise économique prendra du temps, la communauté internationale doit absolument garantir que les besoins humanitaires immédiats du pays seront satisfaits, a-t-il déclaré.

Soudan: Consultations en cours pour entamer les négociations entre le gouvernement soudanais et FRFR

Le Front Révolutionnaire soudanais (FR) a confirmé que les consultations se poursuivaient pour entamer des négociations avec le gouvernement soudanais,  indiquant qu’aucun pays n’avait été désigné pour accueillir les négociations
Abdul Aziz Aushar, dirigeant du Front révolutionnaire, a déclaré à SMC qu’ils cherchaient que les pays voisins et la communauté internationale devraient jouer un rôle dans la médiation et la conduite des négociations avec le gouvernement soudanais

L’Afrique et le Moyen-Orient en bas du classement des pays les plus heureux

La Finlande est, pour la deuxième année consécutive, le pays le plus heureux du monde, selon un rapport de l’ONU publié mercredi, tandis que le Soudan du Sud, en proie à la guerre, occupe la dernière place.
Le pays aux 190.000 lacs, connu pour ses forêts et ses saunas, devance le Danemark (2e), suivi de la Norvège, l’Islande, les Pays-Bas, la Suisse, la Suède ou encore la Nouvelle-Zélande et le Canada, selon le classement 2019 du « World Happiness Report ».
Les pays qui caracolent en tête ont satisfait l’ensemble des indicateurs et se démarquent grâce à la stabilité de leur société, l’indicateur de bonheur n’ayant que peu évolué depuis 2005.
En dépit des bouleversement politiques liés au Brexit, le Royaume-Uni a gagné quatre places au classement 2019 et s’adjuge la 15e place. ​
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L’Afrique et le Moyen-Orient en bas du classement
Le Soudan du Sud occupe lui la dernière place. L’ONU a récemment déclaré que 60% de la population était menacée par la faim alors que le pays est en proie à une guerre civile dans laquelle près de 400.000 personnes ont été tuées.
On retrouve le Cameroun à la 96e, la Cote d’Ivoire à la 99e, le Bénin à la 102e, le Congo-Brazzaville à la 103e, le Gabon à la 104e, le Sénégal à la 111e, le Niger à la 114e, le Burkina Faso à la 115e, la RDC à la 124e, le Togo à la 139e, et la Centrafrique à l’avant-dernière place, à 155.
La publication coïncide avec la journée mondiale du bonheur, établie par l’ONU et célébrée le 20 mars.
Les auteurs du rapport indiquent que le bonheur dans le monde a reculé ces dernières années, corrélé a une montée de sentiments négatifs, dont « l’inquiétude, la tristesse et la colère, particulièrement marquées en Asie et en Afrique, et plus récemment ailleurs », selon le rapport.
L’étude s’est également penchée sur la performance et l’évolution des pays dans le classement depuis 2005: sur les 20 plus importantes progressions, la moitié se trouve en Europe centrale et orientale, cinq en Afrique subsaharienne et trois en Amérique latine.
Les cinq principaux reculs depuis 2005 ont été enregistrés au Yémen, en Inde, en Syrie, au Botswana et au Venezuela.
La France, la Belgique et les Etats-Unis perdent des places
La France perd une place par rapport à 2018 occupe désormais la 24e position, derrière le Mexique 23e et devant Taïwan.
La Belgique, elle, recule de deux places et se retrouve 18e.
Les États-Unis, quant à eux, ont poursuivi leur dégringolade, tombant à la 19e place. « Le rapport de cette année fournit des preuves qui prêtent à réfléchir sur la façon dont les addictions provoquent beaucoup de souffrances et de dépression aux États-Unis », a expliqué le professeur Jeffrey Sachs, l’un des auteurs du rapport.
La méthodologie utilisée consiste à demander à un échantillon de personnes venant de 156 pays différents de répondre à une série de questions sur la perception de leur qualité de vie sur une échelle de 0 à 10.

RCA : l’ONU déplore la mort de trois Casques bleus sénégalais dans un accident d’hélicoptère

Un hélicoptère Mi-24 de la Mission multidimensionnelle intégrée pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), avec quatre membres de l’Aviation sénégalaise à son bord, s’est écrasé vendredi 27 septembre près de Bouar, dans l’ouest du pays, alors qu’ils tentaient un atterrissage d’urgence en raison du mauvais temps.
Trois des quatre Casques bleus ont été tués. Le quatrième a été grièvement blessé et été évacué à l’hôpital, pour des soins intensifs, a annoncé l’ONU dans un communiqué publié le même jour.
L’hélicoptère fournissait un appui aérien à une opération de sécurité de la MINUSCA en cours dans la préfecture de Nana-Mambéré.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, et la Mission ont présenté leurs sincères condoléances aux familles des Casques bleus, ainsi qu’au gouvernement et au peuple du Sénégal. Ils ont souhaité un prompt rétablissement au blessé.
Le chef de l’ONU a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à soutenir le peuple et le gouvernement centrafricain dans leurs efforts de consolidation de la paix.
Le Représentant spécial du Secrétaire général en République centrafricaine et chef de la MINUSCA, Mankeur Ndiaye, a salué l’engagement du Sénégal aux efforts de stabilisation de la RCA.
« Cet accident illustre une fois de plus les risques encourus par les Casques bleus dans leur engagement sur le terrain, souvent au péril de leur vie », a rappelé le chef de la MINUSCA.

Zimbabwe : l’ex-président Robert Mugabe a été enterré dans son village

L’ancien président du Zimbabwe, Robert Mugabe, a été enterré samedi après-midi dans son village natal de Kutama (nord-ouest) en présence de plusieurs centaines de membres de sa famille et de proches, a rapporté une journaliste de l’AFP.
Recouvert du drapeau national, son cercueil a été enseveli dans une cour poussiéreuse de sa propriété de Kutama à l’issue d’une cérémonie sobre, devant quelques centaines de proches.
Emmenés par sa veuve, Grace Mugabe, entièrement vêtue de noir, les membres de sa famille ont jeté des roses blanches sur sa dépouille, a rapporté la journaliste de l’AFP.
Cet enterrement marque l‘épilogue d’un bras de fer qui oppose depuis des semaines les proches de l’ancien chef de l’Etat au gouvernement de son successeur, Emmerson Mnangagwa, autour du lieu de sa dernière demeure.
Mort le 6 septembre à l‘âge de 95 ans dans un hôpital de Singapour, Robert Mugabe devait initialement reposer au Panthéon national des héros de la “lutte de Libération”, à Harare, ainsi que le souhaitaient les autorités.
Mais sa famille a finalement eu le dernier mot et annoncé cette semaine qu’il serait enterré à Kutama, à une centaine de kilomètres au nord-ouest de la capitale, Harare.
Cette bataille a illustré une nouvelle fois les vives tensions qui opposent depuis bientôt deux ans les derniers fidèles de l’ancien président à M. Mnangagwa.
Jusqu‘à son dernier souffle, Robert Mugabe a nourri une rancune tenace envers Emmerson Mnangagwa, placé à la tête du pays après la démission du vieux président sous la contrainte de l’armée et de son parti, la Zanu-PF, en novembre 2017.
Au terme d’un règne sans partage de trente-sept ans, Robert Mugabe a laissé derrière lui un pays traumatisé par la répression et ruiné par la crise économique.

Soudan: la France apporte son soutien financier au gouvernement de transition

« Un soutien inconditionnel à la transition démocratique », a annoncé le 30 septembre le président français Emmanuel Macron à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok à Paris. « La révolution de décembre n’a pas fini d’inspirer le monde et le continent. C’est pourquoi la France va vous accompagner dans ce tournant historique », a ajouté le président français. Ce soutien se concrétise notamment par une importante aide financière.

La France va débloquer une aide 60 millions d’euros, dont 15 millions qui seront disponibles très rapidement, a indiqué le président Emmanuel Macron. Pour le chef de l’État français, il est nécessaire que la révolution soudanaise soit un succès, et pour cela, il faut relancer l’économie. La crise économique a été en effet le déclencheur de cette révolution en décembre dernier.
Retrait de la liste des Etats soutenant le terrorisme
Le président français a également annoncé la tenue d’une conférence internationale des bailleurs de fond qui se tiendra à Paris. Il n’a pas encore de date. Cela va dépendre de la levée des sanctions contre Khartoum.
La France s’est engagée à continuer de plaider auprès des États-Unis pour que le Soudan soit retiré de cette liste des États soutenant le terrorisme. Le Premier minisre soudanais Abdalla Hamdok a tenu à remercier Emmanuel Macron de son soutien sur ce sujet. « Mon peuple n’a jamais soutenu le terrorisme, a-t-il affirmé. Le soutien du terrorisme est lié à l’ancien régime. Nous sommes un peuple pacifique ».
Le retrait de cette liste « sera la clef pour résoudre l’ensemble de tous nos autres problèmes : les emprunts, la paix, l’investissement et l’ouverture du Soudan aux investissements étrangers , a ajouté le Premier ministre qui a lancé un appel aux sociétés françaises pour venir investir au Soudan. « Vous êtes à nouveau les bienvenues au Soudan, votre absence a trop duré et il est temps que vous reveniez pour que l’on travaille ensemble à construire ce beau pays », a-t-il déclaré.
Retrouver le chemin de la paix
Parmi les autres annonces : accélérer l’annulation de la dette du Soudan, et une aide d’urgence au profit de la société civile soudanaise, qui a été moteur dans cette révolution.
Pour le Premier ministre soudanais, la paix est la priorité : « Il n’y aura pas de paix si l’économie ne repart pas et l’économie ne repartira pas s’il n’y a pas la paix », a estimé Abdalla Hamdok, qui a également confirmé avoir rencontré dimanche 29 septembre le chef d’un des principaux groupes rebelles du Darfour, qui vit à Paris.
Il affirme d’ailleurs être prêt à rencontrer tout le monde pour faire la paix. « Nous sommes convaincus que les mouvements armés forment une partie essentielle de ce changement, a-t-il déclaré. Ils ont participé à la lutte armée, à la lutte pacifique et à la mobilisation dans les quatre coins du monde. Ils ont participé, avec notre peuple, à la déstabilisation du régime. Ils sont fondamentaux dans la révolution. Pour toutes ces raisons, quand on va discuter avec les mouvements armés, nous ne parlons pas à des personnes différentes de nous ».
« Au contraire, nous discutons avec des factions parties prenantes de la révolution, a poursuivi Abdalla Hamdok. Nous croyons que si nous ne réalisons pas la paix durant cette période de transition. La paix sera alors un rêve très éloigné. Mais nous sommes confiants et tous les partis sont déterminés à établir la paix durant cette période. Il n’y a aucune voix dissonante sur cette question. Nous sommes donc prêts à rencontrer toute personne, à tout moment, et prêts à payer ce que nous devons à la paix »

Soudan (Foot féminin): Une première pour l’histoire

La marche a été et la lutte dure pour le football féminin au Soudan. Mais au finish, tout est concluant pour les acteurs du football soudanais dans la catégorie féminine. Selon la Fédération Soudanaise (SFA) a donné en début de week-end l’information. C’était en présence de la ministre des sports Walaa Elboushi, la présidente de la division du football féminin de la SFA Mervat Hussein.

Pour la première fois de l’histoire, le championnat féminin sera lancé au Soudan. Et dès ce lundi, le coup d’envoi de première édition du championnat féminin de football sera donné. Et l’affiche sera Tahaddi vs Difaa au stade de Khartoum. Au total vingt-et-une (21) formations animeront cette première édition. Et pour le format, elles seront réparties en 4 groupes. Les deux équipes de chaque groupe décrocheront de facto leur ticket pour le second tour : les quarts de finale. A cette étape, les 8 clubs seront classés en deux groupes de 4 afin de déterminer les meilleurs. Les deux premiers sont qualifiés pour la finale pour dégager in fine le « winner».

Soudan : Sudasat veut lancer son service de connectivité adossé sur le satellite Arabsat A6 le 1er novembre 2019

Le groupe Sudatel Telecom compte lancer son service de connectivité Internet adossé sur les capacités du satellite Arabsat 6A le 1er novembre 2019. Khalid Ehaimer, le directeur général de sa filiale Sudasat, l’a dévoilé dans un entretien accordé au site satelliteProMe. Il s’agit du fruit d’un partenariat signé, en avril 2019, avec Arabsat afin d’utiliser ses répéteurs en bande Ka
« Nous avons l’intention de changer la manière dont nous faisons les affaires au Soudan […] Avec les bandes Ka et C et Ku, nous espérons pouvoir proposer une gamme de services plus large à nos clients. Nous ne voulons pas simplement être un fournisseur de services ; nous voulons être connus comme un opérateur de réseau VSAT […] la bande Ka est une évolution et peut être gérée via des terminaux plus économiques et plus petits. Nous pourrons atteindre des zones impossibles à atteindre auparavant, y compris le nord-ouest du Soudan. Nous espérons atteindre 100 % de la population soudanaise et offrir des services à un tiers du prix actuel », a déclaré Khalid Ehaimer
Avec la bande Ka, Sudasat annonce le lancement de nouveaux services tels que WiFiSAT, ProSAT, VoIPSAT, IoTSAT, NomadSAT et GoSAT
« Nous ne pouvions pas les déployer auparavant avec la bande C, car c’était une proposition coûteuse. La bande C est d’abord une ressource limitée, et la nature de la technologie la rend plus chère. La maintenance d’un satellite en bande C est énorme pour un opérateur et le coût par MHz est très élevé », a expliqué Khalid Ehaimer

الثلاثاء، 17 سبتمبر 2019

Hamdok affirme l’éternité des relations entre le Soudan et la Chine

Le Premier ministre, Dr Abdullah Hamdok a déclaré que les relations entre le Soudan et la Chine sont éternelles.
Cela s’est produit lors d’une réunion avec l’ambassadeur de Chine au Soudan, Ma Xinmin qui a transmis les félicitations du gouvernement chinois au Premier ministre et au peuple soudanais pour la formation du gouvernement de transition.
L’ambassadeur chinois au Soudan a affirmé l’engagement de son pays de soutenir les programmes de la période de transition.

Le Chef d’Etat-Major salue les relations entre le Soudan et l’Egypte

Le Chef d’Etat-Major charge, le Lieutenant-général Mohamad Osman Al-Hussein a salué les relations entre le Soudan et l’Egypte en les qualifiant d’historiques et éternelles.
Cela est arrivé lorsqu’il a rencontré à son bureau cet après-midi le colonel, Ahmed El-Shazly attaché de défense égyptien, qui a pris ses fonctions à Khartoum succédant au brigadier général Haytham al-Tawajni dont le mandat a pris fin.
Le chef d’Etat-Major a réitéré la volonté du Soudan de développer les relations bilatérales dans les domaines de la coopération militaire et de l’action commune, notant les notes d’entente et les accords conclus à cet égard entre les deux pays.
Pour sa part, le colonel Al-Shazli a insisté sur l’utilisation de tous les efforts pour renforcer les relations entre les deux pays frères et les armées basées sur les liens profonds et durables existant entre le Soudan et l’Egypte

Hamdouk discute avec Afewerki la coopération entre les deux pays

Le Premier ministre Abdullah Hamdouk a rencontré samedi SE. Le président érythréen, Isaias Afewerki au Palais d'hôtes. Il s'agissait de la première visite d'un président érythréen dans le pays après le changement. La réunion a porté sur des questions d’intérêt commun.
Le ministre du Cabinet M. Omar Bashir Manis a déclaré dans un communiqué de presse que la réunion avait souligné l'importance de la coopération dans tous les domaines qui pousserait les relations entre les deux pays à des horizons plus vastes, soulignant que la réunion avait examiné les moyens de développer des relations de voisinage entre les deux pays ayant des liens historiques, culturels et sociaux

Assemblée générale d'Askova au 19 sept

La première assemblée générale du Conseil soudanais des associations de volontaires (ESCOVA) se tiendra, au 29 de ce mois à la Grande Salle de l'Union des Banques soudanaises, tours 2017-2021
Dans une déclaration à la press, le président du Conseil, Dr. Nasser Al-din Shlqamy a présenté  une invité aux membres de l'Assemblée générale à assister et à participer aux activités de la

JICA accueille des directeurs de ministères de la production d'État au Japon

Les directeurs des ministères de la production et des ressources économiques des États de Gazira, Sennar, Nil Blanc, Nahr Al-Nil, Nord et Gedaref, ainsi que le coordinateur national du riz au ministère de l'Agriculture et des Forêts et responsable de la recherche sur le riz à l'Autorité de la recherche agricole entameront, dimanche une visite au Japon jusqu'au 21 septembre, sur une invitation de la JICA
Dans une declarations à la press, Dr. Tawhida Babiker, directrice du ministère de la Production et des Ressources économiques de l'État d'Al-Jazira a expliqué que le programme de la visite vise à examiner sur le terrain une série d'étapes des politiques de production de riz et de semences dans le monde et à développer les ressources humaines en production de riz à travers plusieurs conférences et visites sur le terrain dans des centres de production de semences
Tawhida a fait allusion que Al-Jazira avait lancé le programme pilote pour la culture du riz à l'air en 2010 et que le programme avait évolué pour permettre la culture de 38 000 feddans par les agriculteurs, et a obtenu un grand succès

Le commerce nie avoir cessé d'importer des voitures de certaines destinations

Le ministère de l'Industrie et du Commerce a publié une déclaration, nié ce qui était mentionné dans les médias sociaux et d'autres sources des politiques et directives du ministère concernant l'interdiction d'importer des véhicules de certaines parties et celles liées à l'interdiction d'importer des articles de luxe comme de produits cosmétiques et autres
La déclaration a souligné que la nouvelle est complètement fausse, aucune décision ou directive n’ayant jamais été publiée à cet égard, a indiqué que le ministère travaillait avec les autorités compétentes pour développer la préparation de ses politiques au cours de la période à venir afin de développer un plan pour le programme d'ambulances annoncé par l'État pour les (200) jours à venir  
La déclaration a précisé que toutes les décisions, les politiques et les informations du ministère appartiennent à tous les médias par le biais des canaux officiels connus et du département de l'information et des relations publiques du ministère.

Ministre de l'Information affirme la nécessité de faire de la 17e Session Foire un succès

Le Ministre de la Culture et de l'Information, Faysal Mohamed Saleh, a souligné la nécessité de déployer des efforts pour faire de la 15e Session de la Foire Internationale du Livre de Khartoum un Succès qui sera lancé sur le Site de la Foire de Burri à Khartoum le 17 Octobre prochain
Le Dr Garaham Abdul-Ghader, Président du Comité Supérieur de la Foire, a déclaré lors de sa rencontre avec le Ministre à son bureau Jeudi en présence du Vice-président du Comité et du Directeur de la Foire, révélant que le Ministre s’est assuré des arrangements en cours pour travailler à améliorer les Performances et une Coordination Etroite pour une Session Réussie 
Garaham a déclaré que le Ministre s’informait des Dispositions Globales et Maisons d'Edition Etrangères et Nationales qui participeraient aux Plans Initiaux concernant les Activités, les Programmes et les Arrangements concernant la 17ème Session de la Foire

Lina El-Sheikh affirme l'importance du partenariat avec la Banque mondiale

La ministre du Travail et du Développement social, Lina El-Sheikh a souligné l'importance de renforcer le partenariat avec la Banque mondiale, saluant le soutien de la banque aux projets sociaux du ministère
La ministre a exprimé sa satisfaction concernant le "réseau de sécurité sociale" soutenu par la Banque mondiale comme base de coopération
Lors d'une réunion, jeudi au siège du ministère en présence de la sous-secrétaire du ministère du Travail, Asmahan Ahmed Al-Bashir, Lina a informé la directrice de la Banque mondiale sur de la nature, des tâches et des fonctions du ministère ainsi que des défis de la prochaine étape qui peuvent être résolus par un travail conjoint, la coopération, la coordination et le traitement des problèmes liés à la création d'emplois, en s'attaquant particulièrement aux problèmes dans les zones où les besoins sont les plus criants dans les zones de conflit
Elle a indiqué qu'elle souhaitait que le programme de lutte contre la pauvreté passe par l'adoption d'un projet d'enquête électronique, indiquant que le gouvernement allait passer de la fourniture de l'aide humanitaire au développement 
Le directeur de la Banque mondiale dans le pays s'est félicité de la formation du nouveau gouvernement soudanais, réitérant sa détermination à consolider son partenariat avec le ministère du Travail et du Développement social

Une délégation française identifie les besoins de la santé au Soudan

Le sous-secrétaire chargé du ministère fédéral de la Santé, Dr. Sulaiman Abdel-Jabbar a souligné qu’une délégation française s'est rendue au Soudan pour se déterminer les besoins en matière de la santé
Lors de la réunion avec la délégation, Dr. Abdel-Jabbar a déclaré qu’avait discuté la disponibilité d'aides à l'infrastructure, en particulier de solutions au problème de l'eau, ainsi que de la mise à disposition d'installations permettant aux citoyens d'éliminer les déchets, des canaux qui sont considérés comme une menace pour la santé
Lors d'une conférence de presse, le sous-secrétaire a déclaré qu’ils sont reçus des médicaments en provenance de l'USAID et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), comprenant des équipements médicaux, des consommables pour les services d'urgence de 8 États, dont les cinq États du Darfour, du Sud- Kordofan, du Khartoum et du Nil Bleu, ont été reçus au prix de 3 millions de dollars, de soigner 6 millions de personnes pendant six mois

Madani rencontre le représentant résident de l'ONUDI à Khartoum

Le ministre de l'Industrie et du Commerce, Madani Abbas Madani a rencontré le représentant résident de l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) à Khartoum
La réunion a examiné les domaines de la coopération bilatérale entre le ministère et l'organisation dans tous les domaines, en particulier le programme de développement durable et le programme de modernisation industrielle qu’a débuté en 2013  
La réunion a également abordé le projet de chaîne de valeur du projet de culture de sésame, qui concerne la qualité du produit, mis en œuvre par l'ONUDI dans les États du Nord-Kordofan et de Gedaref au coût de 904 000 dollars, financé par l'Organisation mondiale du commerce
Le ministre a affirmé l’importance de mettre en œuvre des programmes et des projets de recrutement de jeunes, de prêter attention aux petites et moyennes industries, aux coopératives, de créer des partenariats avec le secteur privé afin de contribuer à la paix dans les zones touchées par la guerre et dans d'autres zones, et a déclaré que son ministère était prêt à coopérer pleinement avec l'ONUDI, appréciant les projets mis en œuvre par l'ONUDI au Soudan 
Pour sa part, le représentant résident de l’ONUDI à Khartoum a passé en revue les projets de l’ONUDI exécutés au Soudan, en particulier le projet d’industrialisation agricole dans l’État de Kassala, d’un coût de 2.250 millions d’euros et le projet poisson dans l’État de la Mer Rouge financé par le gouvernement norvégien, à hauteur de 4,239 millions d’euros, ainsi que le projet du développement et d’emploi de la jeunesse financée par l'Union européenne pour un coût de (3) millions d'euros 
Il a également invité le ministre de l'industrie et du commerce à participer aux activités de la Conférence générale de l'ONUDI prévue à Abou Dhabi (Émirats arabes unis) du 3 - 7 novembre prochains