الاثنين، 25 سبتمبر 2017

Il faut investir en Afrique et pour nos jeunes !

Dans le cadre du 5e Sommet de l’Union africaine et de l’Union européenne, qui se tiendra pour la première fois en Afrique, les chefs d’État et de gouvernement européens et africains devront répondre à des défis majeurs. D’un côté, un Vieux continent fragilisé par la crise économique, les attentats terroristes et une gestion calamiteuse des flux migratoires. De l’autre, un Jeune continent dopé par une croissance économique sans précédent, mais sur lequel plane encore de nombreuses menaces telles que l’extrême pauvreté, le terrorisme, le manque d’emplois ou le changement climatique.
Ces fléaux poussent des jeunes Africains à s’engager dans la mouvance terroriste ou à emprunter le chemin de l’exil, parfois au péril de leur vie. Le défi est d’autant plus grand que ces jeunes devraient dépasser 430 millions en 2050. Le choix de mettre la jeunesse au cœur du prochain Sommet UA-UE est donc judicieux. Car 2050 c’est déjà demain !
Ce sont des ponts et non des murs qu’il faut construire
Dans son discours sur l’Etat de l’Union, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, en présentant le 13 septembre au Parlement européen les actions politiques qu’il compte mener d’ici la fin de son mandat en 2019, a rappelé l’importance du Fonds fiduciaire de l’UE sur l’Afrique adopté à La Valette en 2015 pour la stabilité du continent africain et lutter contre les causes profondes des migrations irrégulières. À juste titre, il a fustigé les États membres européens, coupables de n’avoir apporté que 150 millions d’euros en deux ans, alors qu’ils étaient appelés à financer ce fonds à hauteur de 1,8 milliard d’euros d’ici 2020.
Les États membres se sont par ailleurs révélés incapables de se répartir équitablement 160 000 migrants débarqués en Italie et en Grèce en 2015, pendant que de nombreux pays africains font face chaque année à des flux de réfugiés beaucoup plus importants. Surtout, l’Europe ne peut construire un dialogue avec l’Afrique qu’à travers le seul prisme de la « crise » migratoire.
Et quand bien-même l’UE ne peut accueillir tous les migrants, il faut renforcer les « canaux légaux » pour les migrations. Cela signifie, entre autre, augmenter les programmes Erasmus entre universités et centres de recherche situés de part et d’autre de la Méditerranée, et favoriser les échanges entre start-up africaines et européennes. Ce sont des ponts et non des murs qu’il faut construire. Enfin, l’Europe doit répondre à une forte exigence de son partenaire africain : de l’aide oui, mais aussi et surtout des investissements !
L’adoption du Fonds d’investissements extérieurs de l’UE pour l’Afrique, étrangement omis par Juncker dans son discours, va dans le bon sens. Il faut désormais la mettre en œuvre pour favoriser le développement d’infrastructures sociales et économiques durables et les PME, notamment les start-up, aussi bien européennes qu’africaines, et ainsi générer de l’emploi, notamment chez les jeunes. Pas question de soutenir des multinationales championnes de l’évasion fiscale ou prédatrices des ressources naturelles et minières !
Arrêtez l’hypocrisie, on sera riche ensemble ou on va se noyer tous ensemble, a dit Fatou Diome
Les nombreuses missions effectuées par le Groupe des socialistes et démocrates européens sur le continent africain et les batailles politiques menées au cœur des institutions de l’UE sur des dossiers tels que les minerais de conflits m’ont convaincu qu’une approche multidimensionnelle axée sur le développement, la démocratie, la sécurité, les investissements et la diplomatie culturelle, celle-là même proposée par la Haute Représentante de l’UE pour les Affaires étrangères, Federica Mogherini, peut répondre aux aspirations des jeunes africains, mais aussi européens.
La deuxième édition de la Semaine africaine que notre Groupe organise à Bruxelles du 25 au 28 septembre sera l’occasion pour placer la jeunesse au centre de nos débats et lancer des messages clairs aux leaders de l’UA et de l’UE. Il est temps de donner un nouveau souffle aux relations entre nos deux continents. Comme l’a si bien dit Fatou Diome, que nous accueillerons à notre événement : « Arrêtez l’hypocrisie, on sera riche ensemble ou on va se noyer tous ensemble ».

Le Soudan aspire voir un rôle efficace de l'ONU

Le Ministre des Affaires Etrangères, Prof. Ibrahim Ghandour, a souligné que le Soudan aspire voir un rôle efficace joué par les Nations Unies grâce auquel une réponse peut être donnée à la réforme au Conseil de Sécurité , la mise en œuvre du développement et la lutte contre la politisation de la justice, affirmant l'engagement du Soudan au principe du pluralisme international visant à atteindre l'objectif ultime de la Charte des Nations Unies pour la réalisation et le maintien de la paix et de la sécurité
Dans son discours samedi soir au débat de haut niveau, dans le cadre de la 72e session de l'Assemblée Générale des Nations Unies, le Ministre des Affaires Etrangères a affirmé que le Soudan exerçait des efforts considérables pour réaliser la paix et résoudre les disputes via le dialogue
Il a indiqué que ces efforts ont abouti à la publication du document de Dialogue National et la formation d'un gouvernement de dialogue national inclusif qui a inclus toutes les composantes politiques et les mouvements signataires de la paix
Le Prof. Ghandour a réitéré la disposition du Soudan à attirer tous les partis et les mouvements pour se joindre au processus de paix et de dialogue, faisant allusion à la décision du Président de la République d'étendre le cessez-le-feu
Il a fait allusion au progrès réalisé dans les axes de paix et de stabilité et le démarrage de la mise en œuvre du projet de la sortie de la MINUAD conformément à la stratégie qui a été ratifiée par le Conseil de Sécurité
Le Ministre des Affaires Etrangères a souligné la nécessité de la collecte des armes et la réconciliation entre les tribus pour renforcer le processus de paix au Darfour
Il a expliqué la position du Soudan concernant la Cour pénale internationale qui est compatible avec la position de l'Union africaine qui considère ce tribunal comme mauvaise utilisation de la justice internationale
Il a dit dans son communiqué que le Soudan accueille un grand nombre de réfugiés des pays voisins et de la région, soulignant que le Soudan poursuit ses efforts pour résoudre la crise humanitaire ayant résulté du de la dispute au Sud Soudan
Le Professeur Ghandour a affirmé que le Soudan a complété toutes les exigences requises pour annuler ses dettes et obtient le soutien de la communauté internationale
Il a renouvelé l'affirmation de la position du Soudan sur la non-prolifération des armes nucléaires et la destruction des armes de destruction massive
Il a également affirmé la position du Soudan concernant la question palestinienne et les droits du droit du peuple Palestinien, ainsi que le soutien du Soudan à la légitimité constitutionnelle au Yémen
Il a également affirmé l'importance de la solution politique en Syrie et l'amélioration de la stabilité au Yémen, faisant allusion à la position du Soudan pour garantir le succès de l'initiative visant à réaliser la sécurité et la stabilité en Libye pour assurer son unité.

certains pays cités dans la déstabilisation du Soudan

Les récents combats, ayant opposé au Darfour les Forces armées du Soudan aux combattants de deux groupes rebelles soudanais armés venus respectivement de la Libye et de la République du Soudan du Sud, ont permis de découvrir comment ces groupes rebelles résistent, d’où proviennent leurs soutiens et qui leur fournissent véhicules de combat, armes et munitions. La situation vécue par le Soudan serait la même pour certains autres États
Les forces gouvernementales du Soudan ont récemment tué au Darfour plus de 17 rebelles soudanais (parmi lesquels quelques uns de leurs leaders) de deux groupes armés venus de la Libye et du Soudan du Sud. Les troupes loyalistes ont également détruit et récupéré plusieurs véhicules de combat, des armes et munitions utilisés par ces rebelles et dont l’origine a été identifiée.
Des informations documentées par les autorités compétentes de la République du Soudan et parvenues à la presse, ont, en effet, indiqué que certains pays voisins du Soudan, dont la République du Soudan du Sud, et la branche armée du général libyen Khalifa ne cessent d’apporter leur soutien logistique, moral et matériel aux mouvements armés (SPLA-WA dirigé par le chef rebelle Abdel Wahid Mohamed Al Nur ; le SPLA-MM de Mini Minawi ; le Mouvement pour la justice et l’égalité (JEM) dirigé par Jibril Ibrahim et le SPLA-N dirigé par Malik Agar) hostiles au régime de Khartoum.
Plusieurs sortes d’assistance

Ces leaders des mouvements armés ennemis du Soudan, relèvent ces informations recoupées, bénéficient de plusieurs sortes d’assistance de la part des autorités du Soudan du Sud telles que les accommodations dans des hôtels et villas à Juba, la délivrance des passeports sud-soudanais leur permettant de se mouvoir partout, allant jusqu’à les aidant à établir des camps d’entraînement dans certains États du pays dont Bahr El Gazal et les États d’Unité et d’Équatoria où sont cantonnés leurs combattants en prévision d’éventuelles attaques contre la région occidentale du Soudan

Les preuves du soutien logistique de la République du Soudan du Sud aux rebelles armés soudanais se sont confirmées davantage par les 70 véhicules militaires pour le transport des troupes, d’armes et des munitions récupérés par les Forces du soutien rapide (FSR) lors des affrontements du mois de mai 2017. Alors que ces sources notent que les ordres de mission des leaders de ces groupes rebelles sont toujours signés par le Général sud-soudanais Akol Majok et ses collaborateurs. Il est aujourd’hui clair que le Soudan du Sud et le général rebelle libyen, maréchal Khalifa Haftar sont les plus grands fournisseurs en armes et munitions ainsi que des véhicules blindés, comme l’a prouvé la récupération, au mois de mai dernier par les Forces armées soudanaises (FAS) aux mains des groupes armés au Darfour, des six chars de combats de fabrication égyptienne, lors de la récente agression contre le Darfour.
Aussi, notent ces sources, la plupart des blessés dans les rangs des rebelles soudanais sont-ils habituellement soignés dans des hôpitaux militaires sud-soudanais, respectivement à Juba et dans certaines villes du sud-soudan, dont Waw et Raja, ainsi qu’au Caire, en Égypte. Ces derniers auraient participé soit aux attaques des rebelles contre le territoire soudanais en Kordofan du Sud et au Nil Bleu, soit aux cotés des forces gouvernementales de Juba, dans la guerre civile qui se pérennise dans ce nouvel État d’Afrique depuis décembre 2013

Il est également indiqué que, dans le cadre du soutien aux mouvements rebelles soudanais, le Service général de renseignements égyptiens (EGIS) facilite souvent des rencontres entre les officiels égyptiens dont l’actuel président égyptien Abdel Fattah Al Sissi et des leaders de ces groupes armés soudanais. L’EGIS, note-t-on, prépare parfois des réunions secrètes entre les chefs rebelles soudanais et le général libyen Khalifa Haftar au Caire et encourage ces deux parties à coopérer et coordonner les efforts visant à déstabiliser le régime de Khartoum 
Un pays d’accueil aux opposants soudanais

La République arabe d’Égypte est accusée de devenir, ces dernières années, un pays d’accueil des opposants au régime de Khartoum. Cette accusation est motivée par le cas de l’opposant soudanais Sadik Al-Mahdi, qui a passé plus de deux ans en Égypte et bénéficié du soutien des autorités égyptiennes qui lui ont facilité ses différentes rencontres avec des rebelles soudanais de tout bord et les ambassades occidentales accréditées dans la capitale égyptienne. Alors qu’un rapport de l’ONU du lundi 16 janvier a noté que le sud de la Libye servait de base arrière aux mouvements d’opposition du Darfour au Soudan.
Des exactions commises par les rebelles

Dans leur retrait vers la Libye mais aussi vers le Soudan du Sud, deux mouvements rebelles soudanais, poussés par l’avancée de l’armée loyaliste au Darfour, sont accusés de commettre toutes sortes d’exaction alors qu’ils déclarent vouloir se réorganiser. Cette arrivée en masse des milices soudanaise du Darfour, après le revers qu’ils ont subi ces derniers mois, a accentué les trafics de tout genre auquel ils se livrent dans sud de la Libye. Un récent rapport de l’ONU a même indiqué que c’était une région qui échappait à toute autorité et qui constituait un paradis pour les trafiquants
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Ce rapport a mis en cause précisément deux mouvements armés en provenance du Darfour dont l’Armée de libération du Soudan, dirigée par Minni Minawi (ALS-MM) et le mouvement Justice et égalité (JEM). Pour cette étude, ces milices se sont livrées à des activités criminelles, notamment dans toutes sortes de trafic et dans la contrebande et servent de mercenaires. Certaines autres sources ont indiqué que les forces de Minawi s’activaient à côté des milices libyennes de Misrata. Alors que le mouvement JEM servirait aux côtés des forces du maréchal Khalifa Haftar. Il est rappelé que si le sud libyen est devenu aujourd’hui une base arrière pour ces milices de Darfour, leur présence dans ce pays, qui participe au chaos libyen, remonte, elle, au moins à 2008. À l’époque, soulignent des sources, ils avaient trouvé un soutien financier et logistique chez le guide libyen Mouammar Kadhafi dont ils étaient privés en 2011, les poussant ainsi à se chercher d’autres ressources.

Atelier sur l'impact des sanctions économiques sur l'industrie au Soudan

L'Association Soudanaise des Jeunes savants organisera le mercredi prochain un atelier sur "l'impact des sanctions économiques sur l'industrie au Soudan" à la salle du conseil de recherches et de conseils industriels à Bahri
L'atelier examinera un certain nombre de documents scientifiques sur l'industrie au Soudan, l'impact de la levée des sanctions sur l'économie soudanaise et l'impact des sanctions sur l'industrie

Dinka Ngok: Juba doit s’engager pour mettre en œuvre les Accords d’Abyei

Le Conseil suprême de Dinka Ngok,  a appelé l’Union africaine que le nouvel comité de supervision d’Abyei à Juba à poursuivre les réunions et à faire respecter l’accord du 20 juin 2011 qui a été bloqué pendant six ans
Dans une déclaration à SMC, Shoul Moyen, le président du conseil, a souligné que le Gouvernement du Sud doit s’engager sérieusement pour mettre en œuvre les Accords d’Abyei

Ghandour discute avec l’envoyé de l’ONU le règlement du conflit au Soudan du Sud

Le ministre des Affaires étrangères Ibrahim Ghandour a discuté avec l’envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour le Soudan et le Soudan du Sud Nicholas Haithum les relations entre Khartoum et Juba et les efforts pour résoudre la crise dans le sud du Soudan et les développements de la situation dans la Corne de l’Afrique
 La réunion, qui a eu lieu en marge de la 72e session de l’Assemblée générale des Nations Unies, a eu des répercussions des affrontements entre les deux groupes du SPLM Secteur Nordو Malik Aqar et Abdul Aziz al-Helu

Wali du Nil Bleu affirme l'intérêt de son gouvernement à mettre en œuvre les résultats du document national

Le Wali de l'Etat du Nil Bleu Hussein Yassin Hamad a affirmé le souci de son gouvernement de mettre en œuvre les résultats du document national pour réussir les résultats du dialogue national
Cela est arrivé quand il a rencontré Lundi à son bureau le membre de l'Assemblée générale du dialogue national Mohammed Younes Babikir, où la réunion a discuté les arrangements et un certain nombre des questions relatives aux résultats du dialogue national afin d'assurer le succès du programme de dialogue national dans ses divers axes
Le général Mohamed Younes a affirmé son engagement à mettre en œuvre les résultats du dialogue national en passant en revue les arrangements nécessaires pour réussir les programmes et les projets du gouvernement de l'Accord national

Comité technique examine les directives de l'an fiscal 2018

-Le Comité technique du Secteur du développement économique du Conseil des ministres, dirigé par le Sous-secrétaire du Ministère de l'industrie Bilal Al-Mubarak, a examiné les lignes les directives de l'an fiscal 2018
Les directives visent à réalisation de la stabilité économique en réduisant les taux d'inflation, en stabilisant le taux de change de la monnaie nationale et en réalisant des priorités de développement équilibrées
Les directives visent également à parvenir à un consensus national sur les principes de la réforme économique et du développement global et d'assurer les éléments d'amélioration du niveau de vie en concentrant sur la fourniture des services essentiels et nécessaires, ainsi que la rationalisation de la demande globale dans l'économie nationale
Le comité technique a assuré l'importance du budget de l'an fidcal 2018 en tant que premier à la lumière du gouvernement de l'accord national, en considération l'outil efficace pour mettre en œuvre ses programmes

الأحد، 24 سبتمبر 2017

Nous ne sommes pas au courant d’un projet de résolution américain sur le Soudan

D. Mustafa Osman Ismail, Représentant permanent du Soudan à Genève, a nié sa connaissance de ce qui a été signalé dans certains médias par un projet de résolution américain condamnant la situation des droits de l’homme au Soudan.
D. Mustafa a déclaré (smc) que le projet de résolution distribué jusqu’à présent était le projet examiné par le Soudan lors de la séance de consultations informelles le mercredi 20 septembre , Il s’agit d’un projet de consensus adopté par les groupes arabes et africains. Il a été discuté avec le côté américain et distribué aux médias.

Les banques européennes montrent sa volonté de de traiter avec les banques soudanaises

Le ministère de l’investissement a annoncé la signature d’un mémorandum  avec certaines entreprises européennes pour augmenter leurs investissements au Soudan, indiquant que certaines banques européennes ont exprimé leur désir de faire face aux opérations financières et bancaires avec le Soudan, en particulier dans le domaine des envois de fonds par les voies officielles.
Osama Faysal, ministre d’État pour l’investissement après sa visite dans certains pays de l’Union européenne a déclaré a (smc) que le ministère a convenu avec des entreprises et des hommes d’affaires européens d’élaborer une feuille de route pour attirer l’investissement dans le pays.

Sous-secrétaire aux AE appelle les Nations Unies à soutenir les efforts du Soudan pour reconstruire et développer les zones touchées par les conflits

Au cours de la rencontre du Sous-secrétaire du Ministère des Affaires Etrangères, l'Ambassadeur Abdul-Ghani Naeem avec Marc Lecoq, Secrétaire Général de l'Organisation des Nations Unies pour les Affaires Humanitaires et Coordonnateur des Secours d'Urgence dans son bureau au siège de l'ONU à New York, dans le cadre de sa participation aux réunions de la 72ème Session de l'Assemblée Générale des Nations Unies, le Sous-secrétaire a transmis l'intérêt de la direction de l'Etat à promouvoir la paix et la stabilité au Darfour sous les auspices personnels du Président de la République Il a indiqué que le travail se déroule en plusieurs axes pour assurer la sécurité, le développement et la paix, y compris le désarmement et que ce qui se passe avec succès à la suite de la décision de la Présidence à cet égard, et a déclaré que l'Etat fait de grands efforts pour que l'Arme soit entre les mains des Forces Régulières et en ce qui concerne la présence d'Armes dans certains Camps et le danger pour les Personnes Déplacées, il a ajouté que dans ce contexte a été la visite du Président de la République à l'Etat du Sud-Darfour pour rassurer les Personnes Déplacées et les encourager à trois options disponibles, qui incluent le Rapatriement Volontaire ou la Réinstallation ou l'Intégration dans les Sociétés dans lesquelles ils souhaitent vivre, en expliquant que la priorité est maintenant de fournir des services sociaux et la création d'efforts de développement et d'intégration et la création de lieux de retour pour leur intégration dans les sociétés, ainsi que l'attention portée au processus politique fondé sur le document de Doha, notant que le travail est mené pour attirer les non-signataires Il a affirmé l'engagement du Soudan envers l'initiative américaine d'aide humanitaire dans les régions du Nil Bleu et du Sud-Kordofan.
Le Sous-secrétaire du Ministère des Affaires Etrangères a également discuté de l'assistance fournie par le Soudan à l'Etat du Sud Soudan pour faire face à la crise humanitaire et à la réception par le Soudan d'un grand nombre de Réfugiés du Sud Soudan et de la pression sur les services. Il a souligné que la Communauté Internationale ne fournit que 20% des besoins A la fin de la réunion, le Sous-secrétaire du Ministère des Affaires Etrangères, a appelé le Sous-Secrétaire de l'Organisation Internationale pour les Affaires Humanitaires à se rendre au Soudan bientôt voir les réalités de la situation et de fournir un soutien au Soudan, a également appelé les Nations Unies à appuyer les efforts du Gouvernement du Soudan pour la reconstruction et le développement des zones touchées par le conflit au Soudan

Le Ministère des AE nie les rapports dans les médias sociaux sur le gel des relations avec l'Egypte

Le Ministère des Affaires Etrangères a nié Dimanche des rapports circulés dans des médias sociaux selon lesquels les relations diplomatiques avec l'Egypte ont été gelées.
Le ministère, dans un communiqué qu'il publié à Khartoum, a également rejeté un rapport non fondé et faux, diffusé dans certains médias sociaux, selon lequel le Ministère a demandé la démission du gouverneur du Sud Darfour dans le contexte des événements dans les camps des personnes déplacées de l'Etat.
Le Ministère a dit que certains médias sociaux ont circulé des rapports attribués au Ministre des Affaires Etrangères et dans lesquels ils ont affirmé que le Ministère a exigé la démission du Gouverneur de l'Etat du Sud Darfour dans le contexte des développements dans le camp de Kalema et le second était affirmant que le Soudan a gelé ses relations diplomatiques avec l'Egypte sur ce qu'ils ont déclaré l'Egypte vote au sein de l'ONU contre la révocation des sanctions économiques imposées sur le Soudan.
Le Ministère a souligné que les deux rapports de nouvelles étaient sans fondement et dénonçaient toute vérité.
Le Ministère a appelé aux personnes actives dans les médias sociaux à vérifier la crédibilité de tout rapport avant de les circuler le moins, ils nuisent aux intérêts nationaux plus élevés du pays.

السبت، 23 سبتمبر 2017

Le Soudan et le Sud-Soudan examinant le renforcement de la coopération commerciale entre eux

Le ministre du Commerce, Hatim Al-Sir a reçu ce mercredi son homologue sus-soudanais et la délégation qui l'accompagne en présence du sous-secrétaire et des responsables du ministère
Les deux parties ont discuté d'un certain nombre de questions sur le commerce et l'économie pour revitaliser le mouvement commercial entre les deux pays dans l'intérêt des deux peuples, soulignant l'importante de la facilité de tous les obstacles et des problèmes rencontrés par le commerce entre les deux pays
Le ministre du commerce a affirmé l'importance de renforcer les moyens de coopération mutuelle entre les deux pays, soulignant que les deux parties ont convenu sur les moyens d'activation du dossier du commerce entre les deux pays

Le Soudan et l'Amérique discutent de l'importance du transfert de l'aide américaine à une "aide de développement"

Soudan et les Etats-Unis ont convenus sur la communication et le dialogue constructif pour les questions de reconstruction et de développement au Soudan et de pousser la coopération entre les deux pays dans le domaine de l'aide fournie au Soudan.
Le ministre de la Coopération internationale Idris Suleiman a reçu Jeudi à son bureau le directeur de la Mission de l'USAID au Soudan Marcia Mosisa, et a discuté avec lui les programmes et projets mis en œuvre par l'USAID au Soudan , les zones et les projets dans les domaines des services sociaux, en plus de l'aide humanitaire et le soutien à la paix dans le pays, le renforcement des capacités , les programmes de formation professionnelle dans les différents Etats du Soudan.
Le ministre d'Etat au ministère de la coopération internationale Hussain Sharif Al-Hindi a affirmé dans une déclaration à la SUNA que la réunion a focalisé sur l'importance de la transmission de l'aide américaine à " un aide de développement " au cours des trois prochaines années en soulignant que la prochaine phase témoignera davantage de réunions et de coordination avec les donateurs.
Il a expliqué que les deux côtés ont convenu de poursuivre les réunions et le dialogue constructif pour la reconstruction et le développement au Soudan et de pousser en avant la coopération entre les deux pays dans le domaine de l'aide.

Le ministre biélorusse de l'Agriculture annonce leur volonté d'investir au Soudan

Le Ministre d'?tat au ministère de l'Agriculture et des forêts l'ingénieur Al-Sadiq Fadlallah Sabah-Al-Khair a affirmé la profondeur et la solidarité des relations Soudano-biélorusses
Cela est arrivé quand il a rencontré Jeudi à son bureau une délégation biélorusse dirigée le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation du Bélarus Leonid Zayats ,en présence du ministre d'Etat au ministère de l'agriculture Sabri Al-Daw Bakheit , le sous-secrétaire du ministère et les autorités compétentes
La réunion a discuté les moyens de coopération conjointe entre les deux pays et l'activation de ce qui a été convenu dans le domaine agricole
Pour sa part, le ministre biélorusse de l'Agriculture a annoncé la disponibilité de son pays à investir dans le secteur agricole au Soudan, en affirmant qu'ils ont prêt à commencer la mise en œuvre effective des projets qui sont atteints et convenus, en particulier dans le domaine de la production de viande et de lait et la mise en place des abattoirs

Al-Bashir promet de résoudre les problèmes des déplacés

 Le président de la république maréchal Omer Al-Bashir a promis de résoudre les problèmes des déplacées et de fournir la sécurité et les services pour les villages du retour volontaire et de les permettre de restaurer leurs terres et leurs fermes
S'adressant aux déplacés dans le camp de Kalma , dans la localité de Bilail , Etat du Sud Darfour, le président de la république a affirmé que l'Etat continuera à collecter d'arme, l'extension de la justice et la primauté de la loi.
Il a dit que sa visite au camp de Kalma vient dans le cadre de son désir de rencontrer les déplacés d'écouter leur demandes en dirigeant les Walis des Etats du Darfour et les commissaires d'appliquer les demandes des déplacés en appelant les femmes et les jaune dans les camps de jouer leur rôle dans la stabilité et la sécurité pour aider à lancer les processus de développement, de reconstruction, de la réparation du tissu social et la coexistence pacifique
Pour sa part, le commissaire de la localité de Bilail a affirmé que la localité a accueilli plus de 300 000 personnes déplacées, louant le rôle du sultan du Dajo dans la cohésion du tissu social
Le représentant des déplacées Abu-Bakr Abu Abdullah a déclaré que la visite vient à la lumière de la sécurité que témoigne le Darfour suite à la décision de collecter des armes exprimant le bonheur des déplacés par la décision de collecter des armes en affirmant le soutien des déplacés du camp de Kalma aux tendances de la présidence en appelant à la fourniture de services de base aux citoyens qui veulent retourner

L'Assistant Présidentiel part pour le Tchad

L'Assistant du Président de la République, Ingénieur Ibrahim Mahmoud, a quitté Khartoum soir vendredi pour le Tchad
Mahmoud est accompagné d'une délégation de haut niveau du parti au pouvoir du Congrès National et d'un certain nombre d'hommes d'affaires
L'Assistant du Président, qui est Vice-Président du parti du Congrès National, visite le Tchad dans le cadre des efforts déployés pour développer davantage les relations entre les deux pays dans les différents domaines, en particulier les domaines économique et politique, a précisé le Ministre de l'Etat pour le commerce, Vice-Président pour les relations Extérieures au Parti du Congrès, Sadiq Mohamed Ali
Il a déclaré que la délégation conduite par Mahmoud comprend des représentants de la Banque Centrale du Soudan, du Ministère du Commerce et de la Corporation des ports maritimes du Soudan
Le Ministre de l'Etat a indiqué que la partie Soudanaise discuterait avec ses homologues Tchadiens les moyens pour développer la coopération dans le domaine du commerce, alors que le Tchad utiliserait le port maritime du port Soudan au Soudan

Qui a peur d’avouer que les pharaons étaient noirs ?

En dépit des conflits religieux et ethniques, le nord du Soudan n’a pas fini de dévoiler ses secrets. Cette région rappelle l’Egypte d’il y a un siècle.
La découverte, le 11 janvier 2003, de sept statues monumentales de rois de la XXVe dynastie par la mission archéologique suisse de Kerma dirigée par Charles Bonnet a révélé au monde les pharaons africains du Soudan. Née à Kerma, avec les premiers royaumes du Sud saharien (3000 avant Jésus-Christ), elle connut l’invasion et la colonisation égyptienne à l’époque de la XVIIIe dynastie (vers 1400 avant Jésus-Christ). L’empreinte de ces grands bâtisseurs nous fascine aujourd’hui. Peu de routes permettent de suivre le Nil en direction du nord, à partir de Khartoum. Un 4 x 4 et un chauffeur-guide sont obligatoires (ainsi qu’un bon équipement).
Le voyage commence par la fin de l’histoire, c’est-à-dire Méroé, situé à trois heures de route (goudronnée) de Khartoum. C’est vers 591 avant Jésus-Christ que les Koushites transfèrent leur capitale plus au sud, où s’élèvent aujourd’hui la nécropole méroïtique, et plus de 40 pyramides royales et princières. Un site d’une étourdissante beauté, planté au milieu d’un désert ocre, sans rien autour que le silence sauvage qui confère au lieu toute sa magie et sa grandeur. L’archéologue allemand Friedrich Hinkel, un géant de 83 ans, l’une des figures emblématiques de l’archéologie soudanaise, a étudié l’ensemble des pyramides du pays, constatant que celles de Nuri, plus au nord, sont les plus parfaites. L’un des problèmes rencontrés par tous les archéologues est celui de la langue méroïtique. Apparue en 170 avant Jésus-Christ – jusqu’alors, les Koushites utilisaient l’écriture hiéroglyphique -, elle est considérée comme « l’étrusque de l’Afrique », une des énigmes les plus difficiles qu’aient léguées les civilisations antiques.
Rejoindre le djebel Barkal, de l’autre côté de la grande boucle du Nil, impose la traversée du désert de Bayuda. Etendues arides et caillouteuses avant de parvenir, aux abords du fleuve, dans un chaos de roches noires, au petit village qui domine la quatrième cataracte, la plus spectaculaire des six, celle qui va disparaître lors de la mise en eau du barrage que les Soudanais construisent plus en aval du fleuve. Les villageois acceptent avec un certain stoïcisme d’abandonner les berges magiques du Nil, conv

Le premier député se réunit avec le président du Comité du renseignement du “Congrès”

Le premier vice-président de la République, le Premier lieutenant Bakri Hassan Saleh, a discuté avec la délégation du Congrès américain dirigée par le Président du Comité du renseignement, Devin Nuwens, les efforts conjoints entre le Soudan et les États-Unis
“Les États-Unis cherchent à coopérer avec le Soudan dans la lutte contre le terrorisme”, at-il dit Devin Nuwens, ajoutant que leur visite au Soudan vise à vérifier les cinq pistes et l’ampleur du succès du Soudan

Al-Bashir appelle le peuple de Darfour à réconcilier et à resserrer les rangs

Le Président de la République, Marechal Omar Al-Bashir, a exhorté vendredi la population de la région de Darfour d'unifier leurs rangs, de concilier et de coopérer pour la prévalence de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans la région.
Le Président qui a adressé à une réunion qui a réuni des leaders de l'administration native, politiques, sociaux et religieux dans l'Etat, a souligné que la collecte des armes non autorisées continuerait et que la possession illégale d'armes est punissable par la loi.
Le Président a également indiqué que le service serait fourni aux personnes déplacées à l'intérieur du pays et que beaucoup de soins seraient accordés aux femmes et aux jeunes.

Al-Bashir au camp de déplacés de Kalema, promet de résoudre les défis rencontrant les déplacées

Le Président de la République, Marechal Omar Al-Bashir a visité vendredi le camp des personnes déplacées de Kalema, le plus grand au Darfour, s'engageant à résoudre tous les défis rencontrant les personnes déplacées , fournir les services et aider ceux qui souhaitent retourner à leur zones d'origine.
Le Président qui a adressé le rassemblement des personnes déplacées à l'intérieur du camp de Kalema, avec plus de 250 milliers de personnes déplacées, a souligné que sa visite est venue parce qu'il voulait écouter ce que les déplacés voulaient dire et obtenir une information directe sur leurs demandes.
Le Président a déclaré aux gouverneurs et aux commissaires de Darfour de mettre en œuvre toutes les demandes présentées par les personnes déplacées, y compris la fourniture de parcelles de logement pour ceux qui ne souhaitent pas retourner dans leur région d'origine.
Le Président Al-Bashir, accompagné du gouverneur de la région du sud Darfour, a exhorté les jeunes et les femmes dans les camps à jouer leur rôle dans la stabilité et la sécurité et créer un climat propice au développement, à la réhabilitation et au rétablissement de la fibre sociale et à la coexistence pacifique.
Le gouverneur Adam Al Faki, de l'Etat du sud Darfour, a dit que la visite du Président au camp Kalema se fait dans le cadre de ses responsabilités du chef de l'Etat pour rencontrer les citoyens sur le terrain, annonçant que cette visite au camp de Kalema n'était pas possible.
Le commissaire de la localité, Adam Abdul Banat, a déclaré que sa localité hébergeait plus de 300 000 de personnes déplacées à l'intérieur du pays et que c'était grâce au rôle du chef tribal du groupe ethnique Dajo pour la cohésion du tissu social des régions.
Un représentant des personnes déplacées, Abu Bakar Abu Abdallah, a déclaré que la visite du Président au camp était en fait un reflet de la prévalence de la sécurité et de la stabilité dans l'ensemble de l'Etat.
Il a indiqué que les personnes déplacées sont les personnes les plus heureuses avec la décision du Président de collecter toutes les armes à feu et des armes non autorisées et que les personnes déplacées ont soutenu complètement la décision.
Il a dit qu'il était impératif de fournir tous les services de base pour ceux qui souhaitent retourner dans leurs régions d'origine, y compris la sécurité, la santé, l'éducation, d'eau.
Il a dit que les personnes déplacées aimeraient aussi voir les diplômés dans ces zones étant employés.
Représentant de l'administration indigène, Abdul Rahaman Adam Abou, Sultan du groupe ethnique Dajo dans le camp, a accueilli la visite du Président exprimant l'espoir que les efforts déployés pour collecter des armes réussiraient.

Deux groupes ethniques de Darfour appellent à garantir au Président Al-Bashir un nouveau mandat

Les leaders de deux groupes ethniques Darfuri proéminents, les Dajo et les Fur, dans la région de Shataya ont appelé à garantir le Président Omar Al-Bashir, un nouveau mandat pour préserver la stabilité de la paix et la réalisation du développement
Le chef Omar Adam Ahmed Ghadouli, qui a parlé au nom des leaders tribaux de la région, a dit que le Président Omar Al-Bashir est capable de servir sa patrie et que la tournée actuelle d'Al-Bashir dans les Etats de l'ouest et du sud Darfour a montré la publicité dont il jouit et que il se distingue comme soupape de sécurité pour la sécurité et la stabilité de la région
Le chef tribal a ajouté que, après avoir atteint la paix dans la région, le peuple de Darfour est confiant que le Président s'acquittera de ses promesses pour réaliser le développement

Le Ministre des Affaires Etrangères, Professeur Ibrahim Ghandour, a rencontré vendredi le premier vice-président du Sud Soudan, Taban Deng Gai, en marge de l'Assemblée Générale des Nations Unies. Les deux hommes ont discuté les relations bilatérales et les moyens de les renforcer dans les différents domaines économiques, politiques et de sécurité. Les deux parties ont également examiné de la situation à Abyei et le besoin de maintenir la sécurité et la stabilité là-bas, tout en évitant de porter atteinte aux gains qui y ont été réalisés là-bas. Ils ont également discuté la prochaine visite au Soudan par le Président du Sud Soudan, Salva Kiir Mayardit.

Le Ministre des Affaires Etrangères, Professeur Ibrahim Ghandour, a rencontré vendredi le premier vice-président du Sud Soudan, Taban Deng Gai, en marge de l'Assemblée Générale des Nations Unies Les deux hommes ont discuté les relations bilatérales et les moyens de les renforcer dans les différents domaines économiques, politiques et de sécurité Les deux parties ont également examiné de la situation à Abyei et le besoin de maintenir la sécurité et la stabilité là-bas, tout en évitant de porter atteinte aux gains qui y ont été réalisés là-bas Ils ont également discuté la prochaine visite au Soudan par le Président du Sud Soudan, Salva Kiir Mayardit

الثلاثاء، 19 سبتمبر 2017

les efforts du Soudan pour lutter contre le terrorisme

L’Arabie saoudite a exprimé sa gratitude pour la participation du Soudan, l’alliance islamique contre le terrorisme menée par l’Arabie saoudite, qui vise à lutter contre les organisations terroristes qui cherchent à briser le monde musulman, et d’affaiblir les Sunnites, louant les positions du Soudan à l’appui de la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme
Le président soudanais Omar el-Béchir a reçu lundi la maison d’hôtes et le ministre des Affaires islamiques, appel et orientation Arabie d. Saleh bin Abdul Aziz Al-Cheikh, en présence de l’Ambassadeur d’Arabie Saoudite au Soudan.
A déclaré le ministre saoudien des Affaires islamiques dans un communiqué de presse qu’il a Bachir informé des résultats de sa visite au pays et des entrevues menées auprès des scientifiques, des prédicateurs et ses visites aux institutions scientifiques et la légitimité au Soudan, en insistant sur la profondeur des relations soudano-saoudiennesIl a expliqué que sous la direction du Serviteur des Deux Saintes Mosquées le Roi Salman bin Abdulaziz, l’Arabie saoudite apprécie les positions courageuses du Soudan à l’appui de la coalition arabe dans le cadre des paquets de tempête, en soulignant que le Soudan joue un rôle important dans cette alliance dirigée par le RoyaumeIl a le niveau avancé atteint par les relations entre Khartoum et Riyad dans tous les domaines politiques, économiques et militaires

الاثنين، 18 سبتمبر 2017

Le Soudan condamne l’attentat terroriste perpétré dans le métro de Londres

le Soudan a condamné l’attentat terroriste qui a été perpétré vendredi dans une station de métro de Londres et qui a fait au moins 29 blessés.
“Le ministère soudanais des Affaires étrangères condamne fermement l’attentat à la bombe qui a été perpétré vendredi dans une station du métro de Londres et qui a fait de nombreux blessés,” a écrit le ministère dans un communiqué.
Le ministère a décrit l’incident comme ”un crime contredisant tous les principes et valeurs humanitaires.”
Il a exprimé son rejet de tous les actes terroristes, insistant sur le fait que terroriser des personnes innocentes est en contradiction avec toutes les lois célestes et l’ensemble des règles du droit international.
Il a par ailleurs souligné que le Soudan est totalement solidaire avec le gouvernement britannique qui est confronté à ces actes criminels, et a exhorté la communauté internationale à intensifier ses efforts ainsi que la coopération pour faire face à toutes les formes d’activités terroristes et criminelles.
Au moins 29 personnes ont été blessées vendredi matin lorsqu’une bombe a explosé à une heure de pointe dans une rame du métro, au sud-ouest de Londres.

L’Institut américain de la paix accueille le ministre des Affaires étrangères soudanais

Institut américain pour la paix pour les affaires africaines a accueilli Ibrahim Ghandour, a Dans un débat spécial sur le Soudan. Avec la participation d’un certain nombre de centres de recherche et d’études, des organisations de la société civile, des représentants des organes exécutifs et législatifs des États-Unis, Human Rights Watch, Oxfam, La Fondation pour la défense des démocraties et de l’humanité, United.

Réunions du Comité de consultation politique entre le Soudan et la France

Les réunions du Comité de consultation politique entre le Soudan et la France (la troisième session) ont eu lieu au Ministère français des Affaires étrangères ,Le côté soudanais était dirigé par l’Ambassadeur Mohamed Issa Idam, le Directeur général des Affaires européennes, l’Ambassadeur Dafallah Al Haj Ali, l’Ambassadeur du Soudan en France, l’Ambassadeur Khaled Moussa, Le côté français était dirigé par Eric Danon, directeur général adjoint des relations politiques et stratégiques.
Les entretiens portaient sur le renforcement des relations bilatérales dans divers aspects: politique, culturel et économique.

Une conférence économique soudanaise-chinoise à Beijing

D. Kamal Ismail, chef du secteur des relations extérieures du Congrès national a révélé le départ d’une délégation Congrès national pour  la Chine ,le mardi matin pour répondre à l’invitation du Parti communiste chinois, à un moment où il a annoncé le tenu d’une conférence économique soudanaise-chinoise dans les prochaines semaines, avec la participation du Secteur gouvernemental et  privé dans la capitale chinoise de Beijing

الخميس، 14 سبتمبر 2017

Le Soudan a été élu membre du Bureau exécutif de l’Organisation mondiale du tourisme

Soudan a été élu un membre du Bureau exécutif de l’Organisation mondiale du tourisme pour la première fois dans l’histoire de l’organisation, Lorsque la délégation du Soudan participant aux réunions de l’Assemblée générale de l’OMT tenue à Chengdu, en Chine, a remporté une victoire majeure dans la sélection du Soudan pour ce poste.

Un rejet de la présence des membres du mouvement Nour par les habitants de Tel-Aviv

Des affrontements ont commencé entre les habitants du sud de Tel Aviv et les réfugiés soudanais appartenant au mouvement d’Abdel Wahid Mohamed Nur, après avoir accusé les réfugiés de transformer la région en un état propre et ils ont fait un taux de criminalité élevé.
Les résidents ont également exprimé- aux médias locaux – leur désapprobation de la relation entre  le Gouvernement de leur pays des réfugiés, pour dénoncer les relations entre le gouvernement de leur pays et les réfugiés, Ils ont dit qu’ils vivent sous l’atmosphère du terrorisme, car ce groupe a pris le contrôle de la communauté après l’expulsion de la plupart de la population juive à partir de là qu’ils ont déclaré -sans honte- que le sud de Tel-Aviv est leur propre État (leurs propres mots).
Les résidents ont déclaré que toutes les colonies ont refusé d’autoriser ces réfugiés à vivre à l’intérieur de leurs frontières et ils ont également souligné que les réfugiés, en particulier ceux qui suivent les mouvements du Darfour dans plusieurs villes israéliennes, ne sont pas les bienvenus.

Le PVP préside une réunion concernant les citoyens affectés par le barrage de Merowe

Le Premier Vice-Président et Premier Ministre National, Général Bakri Hassan Saleh, a présidé mercredi au Palais Présidentiel, la réunion concernant les citoyens affectés par le barrage de Merowe dans les Etats de Shumaliya et de Nahr El-Neil.
Le Wali (gouverneur) de l'Etat de Nahr El-Neil Général Hatim Al-Wassila, a dit dans une déclaration à la presse que la réunion a discuté les projets de développement liés à l'option locale et l'importance de la réhabilitation des projets de développement et de services dans la région, y compris les projets de l'agriculture et de logement.

Soudan: retrait de Juba des réunions d’Abyei visant à bloquer la levée des sanctions

Le Comité de surveillance d’Abyei a accusé  Juba d’esquiver et de retarder la mise en œuvre des protocoles signés entre les deux parties sur la région d’Abyei, soulignant que Juba visait à échapper les réunions de la région pour créer une déstabilisation afin de bloquer la levée des sanctions entièrement du Soudan.
Hassan Ali Nimr, le chef du comité a déclaré a (SMC) qu’ils attendent toujours une nouvelle date pour le début des réunions et le consentement de l’État du Sud-Soudan à reprendre.

Les ministres des Affaires étrangères arabes appellent à accélérer les arrangements de la Conférence de reconstruction du Soudan

Le Conseil des ministres arabes des Affaires étrangères a appelé à accélérer les préparatifs de la Conférence arabe pour la reconstruction et le développement du Soudan. Il a également appelé à l’activation du mécanisme adopté pour mettre en œuvre l’initiative du président Omar al-Bashir pour la sécurité alimentaire arabe et la promotion des investissements arabes au Soudan.
L’ambassadeur du Soudan en Egypte, et son représentant permanent à la Ligue des États arabes Abdelmahmood Abdel Halim, a déclaré que la réunion des ministres arabes des Affaires étrangères, qui a pris fin mercredi, a reconnu la nécessité d’une action concertée entre le gouvernement soudanais et le secrétariat de la Ligue arabe pour assurer la tenue de la conférence avant la fin de l’année.

Un million de réfugiés sud-soudanais en Ouganda, une crise humanitaire oubliée

L’Ouganda, un pays d’Afrique de l’est grand comme huit fois la Belgique, abrite sur son sol 1,3 million de réfugiés – dont plus d’un million de Soudanais du Sud fuyant la guerre dans leur pays -, en leur réservant un accueil généreux, mais ce modèle unique se retrouve sous pression face à l’ampleur de la crise humanitaire qui touche le nord-ouest de son territoire.
Au Soudan du Sud, des dizaines de milliers de civils ont été tués et des millions de personnes déplacées à cause d’une guerre civile qui a débuté décembre 2013, moins de trois ans après l’indépendance du pays, opposant le président Salvaa Kir à son ancien vice-président Riek Mashaar.
Si le conflit opposait au départ principalement les Dinka de M. Kiir aux Nuer de Riek Machar, d’autres groupes ethniques ont ensuite rejoint l’un ou l’autre camp, souvent dans l’espoir de tirer profit d’alliances dans des conflits locaux, notamment territoriaux.
Cette guerre civile restée quasi-inaperçue en Occident a entraîné la fuite de plus de deux millions de Soudanais du Sud dans les pays voisins et deux autres millions ont été déplacés à l’intérieur du plus jeune Etat au monde, causant l’une des pires crises humanitaires du moment.
Le Haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a annoncé à la mi-août que le nombre de Sud-Soudanais réfugiés en Ouganda avait dépassé le million et lancé un nouvel appel à l’aide à la communauté internationale pour financer la réponse à cette crise.

85% sont des femmes et des enfants

Si le flot des réfugiés s’est quelque peu tari – quelques centaines par jour, contre 1800 en moyenne au cours des douze derniers mois – avec l’arrivée de la saison des pluies, les responsables ougandais et internationaux craignent un nouvel afflux lors du retour de la saison sèche. 85% sont des femmes et des enfants, dont beaucoup ont été victimes ou témoins d’actes de violences souvent d’une extrême brutalité – comme des hommes abattus sous les yeux de leur épouse et de leurs enfants.
Nombre de réfugiés accusent l’armée gouvernementale d’être responsable de ces exactions, selon des témoignages recueillis sur place par un journaliste de l’agence Belga.
L’Ouganda est, avec ses 41 millions d’habitants, internationalement reconnu comme terre d’accueil pour tous ceux qui fuient les nombreuses crises que connaît la région, en hébergeant aussi 223 000 réfugiés venus de République démocratique du Congo (RDC), 37.000 Burundais et presque autant de Somaliens.
Depuis 2006, une loi sur les réfugiés accorde à chaque famille réfugiée un lopin de terre pour habiter (30 mètres sur 30) et un autre pour cultiver (50 m sur 50), dans l’attente d’un retour de la paix dans leur pays. Les terres sont “prêtées” par les communautés et des propriétaires individuels en contrepartie de la mise en place d’infrastructures (routes, écoles, centres de santé, distribution d’eau potable, services bancaires, etc.) par les ONG et les institutions internationales, sous la houlette du puissant Bureau du Premier ministre (OMP).
Les réfugiés sud-soudanais se disent globalement satisfaits de l’accueil qui leur est réservé en Ouganda. Ils ont en général franchi la frontière après plusieurs jours de marche sur des routes dangereuses, théâtre de combats entre les soldats gouvernementaux et les groupes armés, sous la menace constante d’exactions, allant de l’exécution de proches au viol, en passant par la confiscation de leurs biens. Pour certains qui avaient fui le vaste Soudan dans les années 1990, lors d’une précédente vague de violences, il s’agit du second exil loin de leur foyer. Des familles ont été séparées par les combats ou lors de l’exode.

La taille des parcelles à cultiver attribuées par l’OPM a été considérablement réduite

Mais nombre de réfugiés se plaignent néanmoins de difficultés récurrentes, comme le difficile accès à l’eau (vitale dans cette région équatoriale), à l’enseignement pour les enfants, à l’emploi, en regrettant aussi l’absence d’électricité dans les camps – que les autorités ougandaises préfèrent appeler des “settlements” (implantations) car les réfugiés sont libres de se déplacer sans entrave dans tout le pays, même s’ils préfèrent rester à proximité de la frontière dans l’attente d’un hypothétique retour.
En théorie, l’installation des réfugiés représente aussi une opportunité de développer le marché du travail pour les populations locales. Mais face à l’afflux, dans le nord du pays, ce modèle donnant-donnant montre ses limites. La taille des parcelles à cultiver attribuées par l’OPM a été considérablement réduite, quand le principe n’a pas été annulé pour les derniers arrivants.
La réponse à cette crise humanitaire apparemment sans fin prévisible est aussi largement sous-financée. Un “sommet de la solidarité” organisé en juin dernier à Kampala par le gouvernement ougandais pour recueillir deux milliards de dollars n’a engendré que 358 millions de dollars de promesse des donateurs.
Les crises sud-soudanaise, congolaise et burundaise exigent, en Ouganda, des besoins chiffrés à 900 millions de dollars par an, a affirmé la responsable de l’Office humanitaire de la Commission européenne (Echo) à Kampala, Isabelle d’Haudt. “Fin août, le financement atteignait 24%” des besoins, a-t-elle expliqué à un groupe de journalistes européens, tout en assurant que ces moyens étaient utilisés au mieux.

الأحد، 10 سبتمبر 2017

une délégation biélorussienne visite le Soudan le 20 septembre

Le ministre de l'Agriculture et des Forets, Dr Abdul Latif Ojaimi a déclaré qu'une délégation technique biélorussienne est prévue de visiter le Soudan le 20 septembre.
Dans une déclaration à la press, le ministre a indiqué que la délégation rencontra un certain nombre de responsables et experts et techniciens du ministère de l'Agriculture et des Forets et du ministère de la Richesse animale et de Pêche.
Le ministre a indiqué que la délégation biélorussienne s'entretiendra avec les responsables soudanais sur un certain nombre d'enjeux dans les domaines agricole et de la richesse animale, soulignant que le côté biélorussien est intéressé de l'investissement dans certains domaines au Soudan en particulier les équipements agricoles, les projets de la production laitière et de la viande.
Il a ajouté que les accords signés entre les deux pays seront réactivés, notant qu'après les entretiens entre les deux parties sa visite en Biélorussie serait déterminée.

Délégation du gouvernement et du secteur privé entame une visite à Bruxelles

Le ministre d'Etat à l'Investissement, Osama Faysal conduit une délégation conjointe du gouvernement et du secteur privé pour la capitale de Belgique, Bruxelles pour une visite qui est la première depuis vingt ans.
Le ministre d'Etat a déclaré à la press que la visite a pour but d'ouvrir de nouveaux horizons de coopération entre les secteurs privés au Soudan et en Europe ainsi que de trouver de nouveaux partenariats du secteur privé soudanais.
Il a ajouté que la délégation s'entretiendra, su cours de la visite, avec les institutions de l'UE concernées par le financement comme la Banque européenne d'investissement, les agences des pays membres de l'UE et les institutions européennes du développement économiques et des relations étrangères.
La délégation rencontrera également les fonctionnaires de certaines banques commerciales européennes, des chambres de commerce et des associations des hommes d'affaires et des femmes d'affaires européennes, selon le ministre Faysal.

Bonns résultats des entretiens entre le Soudan et le Tchad sur l'ouverture de la frontière et des passages

Les entretiens entre le Soudan (représenté par l'Etat de l'Ouest-Darfour) et le Tchad (représenté par la région d'Ouaddaï) et qui ont eu lieu dans la ville tchadienne Adré ont parvenu à de bons résultats sur l'ouverture de la frontière et des points de passage aux convois commerciaux et aux citoyens Le Wali de l'Etat de l'Ouest-Darfour, Fadul Mawala Al Haja a présidé la partie soudanaise alors que la partie tchadienne a été présidée par le gouverneur de la région Ouaddaï avec la participation des membres des gouvernements et des comités de sécurité ainsi que des leaders des forces conjointes entre les deux pays.
Les deux parties ont souligné la solidité des relations entre les deux pays frères et que les deux pays sont lies par des relations fortes et que les politiques ne peuvent séparer les relations sociales qui ont fait des familles élargies dans les deux pays La séance de discussions conjointes a porté sur la façon d'activer les convois culturels, les échanges commerciaux, et la lutte contre la contrebande et de contrôler les frontières en coordination conjointe avec les forces conjointes soudanaises-tchadiennes, qui jouent des rôles vitaux et croissants dans la bande de frontière depuis sa création en janvier 2010

Le chef de la coopération américaine au Soudan avant une décision sur des sanctions

Le chef de l’agence de coopération américaine Mark Green a dit espérer une amélioration dans l’accès à l’aide humanitaire dans la région du Darfour au Soudan, lors d’une visite lundi dans un camp de déplacés.
“Nous espérons en particulier voir des progrès sur l’accès à l’aide humanitaire ici au Darfour Nord”, a déclaré M. Green dans le camp de Zam Zam qui accueille des dizaines de milliers de déplacés.
Il faisait référence à l’un des cinq points sur lesquels Washington basera sa décision pour lever ou non complètement les sanctions prises contre Khartoum.
Les Etats-Unis ont imposé des sanctions au Soudan en 1997 pour son soutien présumé à des groupes islamistes. Le fondateur d’Al-Qaïda Oussama Ben Laden a vécu à Khartoum entre 1992 et 1996.
Au fil des ans, les administrations américaines successives ont renforcé ces restrictions, accusant Khartoum de violations des droits de l’Homme, notamment dans le conflit meurtrier contre des rebelles au Darfour (ouest) qui a fait 330.000 depuis 2003, selon l’ONU.
Les violences se poursuivent au Darfour mais à une moindre échelle.
M. Green a récemment été nommé à la tête de l’Agence américaine pour le développement et la coopération (USAID).
Son voyage a également lieu au moment où Washington envisage de réduire de plus de 30% l’aide américaine à l’international. Mais il a pour objectif de montrer que l’administration de M. Trump “veut s’engager et non pas se désengager”, a affirmé un responsable américain à l’AFP.
Il a assuré qu’il s’agissait de “la première visite d’un haut responsable de l’administration Trump en Afrique”.
M. Green doit ensuite se rendre au Soudan du Sud et en Ethiopie.

السبت، 9 سبتمبر 2017

la délégation du Soudan au Sommet de l'OCI au Kazakhstan

Le ministre des Communications et de la Technologie de l'information le représentant le Président de la République du Dr Tahani Abdalla Attiya dirigera la délégation du Soudan pour le Sommet de l'Organisation de coopération islamique (OCI) sur les sciences et les technologies de l'information, prévu du 10 au 11 septembre à Astana, Capitale du KazakhstanLe sommet vise à atteindre une position commune et collective au niveau spécialisé au sein de l'OCI sur la promotion des sciences, de la technologie et de l'innovation et pour faire valoir le désir du monde islamique d'encourager le progrès scientifique et technologique La convocation du Sommet d'Astana est en conformité avec les plans stratégiques de premier et deuxième ans de l'OCI qui visent à renforcer l'innovation et la recherche scientifique Le sommet examinera également les moyens d'améliorer l'énergie renouvelée dans les pays du monde islamique et de promouvoir les secteurs économiques grâce à l'industrie technologique avancée Le sommet devrait sortir avec la Déclaration d'Astana, le Document de conclusion et l'ordre du jour de la science, de la technologie et de l'innovation de l'Organisation de coopération islamique

les frontières du Soudan avec les pays voisins n’ont pas été fermées

Le ministre des Affaires étrangères, Prof. Ibrahim Ghandour a affirmé que les frontières du Soudan avec les pays voisins n’ont pas été fermées.
Cela est arrivé dans son comment à la suite de ce qui a été signalé ce jeudi par certains medias sur la fermeture du Soudan de ses frontières avec certains pays voisins.
Dans une déclaration à la press , le ministre des Affaires étrangères a indiqué que ce qui s’est passé était que les autorités concernées ont fermé les passages frontaliers afin d’empêcher la contrebande d’armes et de drogues.
Le ministre a affirmé que le Soudan a des forces conjointes avec la sœur Tchad et que ces forces jouent leur rôle avec grandes capacités ainsi et que le Soudan respecte les accords de coopération dans le domaine de sécurité et militaire avec d’autres pays voisins.

Commissaire d'Al-Fasher félicite la commission du retour volontaire

Le Commissaire d'Al-Fasher Al-Tijani Abdullah Saleh a examiné, lors d'une réunion avec le commissaire de retour volontaire -Taj-Addin Ibrahim Attahir, la meilleure façon d'annoncer le lancement du dialogue communautaire pour le retour volontaire des personnes déplacées dans la localité dans le cadre du plan de la commission, qui cible tous les Etats du Darfour La réunion a examiné de manière approfondie les options du retour durable, ainsi que la fourniture des bases de ce retour sur la base du plan de travail préparé par la Commission à cet égard Le Commissaire d'Al-Fasher a loué les efforts et le travail de la commission de retour volontaire et la réinstallation dans les Etats du Darfour d'encourager le retour volontaire des personnes déplacées et réparer le tissu social entre les différentes composantes de la localité, en passant en revue la situation dans la localité et les efforts pour encourager le retour volontaire