الاثنين، 26 ديسمبر 2011

Arrivée de Juba à Khartoum ... Le besoin ou le consensus




Malgré la simplicité et le temps bref de (24 heures), la visite du Président de la République du Sud Soudan Salva Kiir, accompagné par un grand nombre de ses ministres à Khartoum récemment n'ayant pas été une affaire facile, qu'il s'agit les préparations pour la visite et les sujets en discussion et l'initiative par le côté sudiste lui-même pour l'ensemble de la visite, chose qui n'est pas facile.
Selon le Journal du SudanSafari, le côté sudiste ayant besoin de la visite, c'est pourquoi il doit, avant la visite, régler questions qui préoccupent le côté Soudanais qui se concentrent sur le dossier de sécurité et le rôle négatif par le Gouvernement de la République du Sud-Soudan à enflammer la situation au Soudan.
La République se trouvait dans un cas de grave dommage concernant l'arrêt du mouvement des biens et des marchandises venant du Soudan vers la république du sud soudan, chose qui a conduit à un manque de nourriture et les nécessités de la vie dans la République du Sud-Soudan.
Selon les mêmes sources, la République du Sud-Soudan, où il voulait aggraver la situation en matière de sécurité en lançant des actions armées au sud Kordofan et au Nil Bleu, chose qui affecte négativement le mouvement des marchandises et des vivres du Soudan en raison de l'insécurité sur les frontières.

La partie Soudanaise était conscient, en partant des expériences de l'Érythrée et du Tchad, que la sécurisation des frontières et à ne pas soutenir l'opposition armée d'un pays à celui de l'autre est le plus meilleur moyen d'une relation de bon voisinage et la stabilité , chose qui reflète dans la République du Sud-Soudan depuis près de trois mois depuis le lancement de l'Etat sudiste.

C'est pourquoi la visite du président susdite était en guise de mettre les derniers retouches concernant les questions annoncées, chose qui rend le côté soudanais ouvre immédiatement toutes les portes devant le côté du sud, y compris le Port du Soudan d'être sous la disposition de la République du Sud.
Evidemment, la République du Sud-Soudan a besoin de la mère patrie, pour la nourriture, les marchandises, de la sécurité du voisinage loin de la tension.

الأحد، 25 ديسمبر 2011

Analyse: Quelle est la signification de pas par le Sud-Soudan pour convoquer l'ambassadeur Soudanais?





Le Ministère des Affaires étrangères du Sud-Soudan a convoqué la semaine dernière le charge d'affaires Soudanais à Juba et lui a notifié que le gouvernement du Sud-Soudan considère comme la saisie des propriétés sudistes par le Soudan et l'harcèlement des citoyens du Sud Soudan par le gouvernement soudanais. Le chargé d'affaires a promis de transmettre la protestation au gouvernement Soudanais.
 Bien que ces choses sont normales dans les relations internationales et diplomatiques, mais ce cas particulier est différent en raison de nombreux facteurs:
D'abord, le timing de l'affaire que la convocation a eu lieu en coïncidence avec une nouvelle série des pourparlers entre les deux Etats en Ethiopie sur les questions en suspens. Le pas a également coïncidé avec la visite du Président Sud-Soudan Salva Kiir en Israël.
 La visite a aussi coïncidé avec l'assassinat de George Athor, le leader rebelle au Sud-Soudan. Il ya beaucoup d'histoires à cet égard, mais l'implication du Mossad israélien dans l'opération d'assassinat était la plus probable.
 Evidemment, la convocation n'a pas de sens du fait que les actes du Sud sur le Soudan sont innombrables.
Le Sud-Soudan, qui proteste de confiscation présumée de voitures, a saisi une importante compagnie pétrolière Soudanaise (Sudapet).
Le Soudan pourrait également protester contre les armes sudistes saisies au Sud-Kordofan.
 Quant à l'harcèlement à l'encontre des citoyens Sudistes au Soudan, le pas est venu après des heures de la tuerie des hommes d'affaires Soudanais dans le Sud par l'intelligence de la SPLA.

Examen de la consolidation de la coopération entre Khartoum et Addis-Abeba




Le comité Soudano – Ethiopien a tenu samedi à Khartoum une réunion dans laquelle il a discuté d'un certain nombre de questions conjointes et les moyens de consolider la coopération bilatérale
Le côté soudanais a été présidé par le ministre des Affaires étrangères, Ali Karti, tandis que du côté éthiopien a été présidé par le ministre éthiopien des Affaires étrangères, Ali Marwan .
La réunion, qui comprenait 17 ministres, a examiné un rapport des experts dans lequel les duex parties se sont accordées sur consolidation des relations bilatérales à travers des anciens accords ainsi que la signature de deux mémos d'entente dans les domaines de l'information et le droit.
A noter que les deux parties ont également convenu d'étudier les accords sur l'immigration et l'affaire juridique.

Annonce de six blocs au Nord et au Darfour pour l'investissement pétrolier




Le ministre soudanais du pétrole Awad Ahmed Al-Jaz a annoncé que  le Soudan a présenté six blocs pour la production de pétrole aux investisseurs, dont deux au Darfour et un autre dans l'extrême nord et trois dans l'Est.

C'était avant d'une journée de début de des pourparlers avec le Sud sur le partage des revenus pétroliers.

Al-Jaz  a déclaré aux journalistes "Nous annonçons le lancement de six blocs pour les investisseurs aux différentes régions du monde.

Nous saluons aux investisseurs de n'importe quel pays dans le monde et il n'ya pas de conditions sur la nationalité des investisseurs.

Il a ajouté que "ces blocs sont situées dans l'extrême nord, l'Est, l'Ouest et le Centre du pays et que le travail pourrait commencer  immédiatement."

Il a expliqué que deux des blocs sont situées dans la région de Darfour, ouest Soudan, un autre dans l'extrême du nord Soudan sur les frontières avec l'Egypte et trois blocs dans l'Est Soudan.

Il a  dit qu'il va  inviter  des investisseurs de diverses régions du monde à une conférence le 15 Janvier à Khartoum.

Pour sa part, le Directeur du Département de l'exploration au Ministère Soudanais du Pétrole Azhari Albdel Gadir Abdullah a dit aux journalistes: "Nous allons donner aux compagnies  d'investissent  de exemptions d'impôts et une exemption de droits de douane pour les équipements qui doivent utiliser dans les opérations de l'exploration et de production."

Il a ajouté "nous voulons former un consortium pour chacun des blocs et  que la Compagnie de Sudapet  fera partie de celui-ci parce qu'elle est notre compagnie nationale qui travail dans le domaine.

Il a expliqué que «deux de ces blocs sont présenté pour la première fois et l'autre a été opéré par des compagnies, mais elles ont quitté du fait que l'accord ne se conforme pas au gouvernement.

Le Directeur du département de l'exploration a parlé de ces bocs, en particulier du bloc 15, en disant qu'il est situé sur la côte de la Mer Rouge dont l'une des compagnies ayant foré deux puits, mais elles sont parties en raison de leur incapacité à travailler dans un tel environnement

Les FAS annoncent la tuée du rebelle Khalil Ibrahim dans une opération héroïque




Les Forces Armées Soudanaises (FAS) ont annoncé la tuée du rebelle Khalil Ibrahim dans les premières heures de la matinée, qui a été tué parmi un groupe de ses dirigeants, après un long suivi terminé par son entourage et ses forces dans la localité de Wad Banda au nord Kordofan à la suite des attaques répétées menées par ces rebelles contre les citoyens non armés au long de la frontière entre les deux Etats Nord-Darfour et Nord Kordofan .
D'autre part, dans le communiqué rendu public dimanche signé par son porte-parole, colonel Al-Sawarmi Khalid Saad, les forces armées ont salué les efforts des citoyens de la localité de Wad Banda qui ont joué un rôle significatif de patriotisme et de dévouement et endurer avec patience l'injustice, des actes par les restes de rebelle Khalil ,confirmant que l'opération courageuse de Wad Banda a été le produit d'une coopération, la plus significative entre le peuple et ses forces armées.

Analyse: Le renversement du gouvernement et les rêves d'Al-Hilo





Le leader rebelle Abdul-Aziz Al-Hilo a exhorté les citoyens de Khartoum à protester contre le gouvernement et le renverser.
Commentant sur l'appel d'Al-Hilo, l'Assistant du Président Soudanais, Dr Nafie Ali Nafie a attribué  la déclaration à ce qu'il a qualifié d'état de désespoir du fait que Al-Hilo souffre après l'échec de ses opérations militaires et la possibilité de perdre le soutien du Sud-Soudan .
 En fait, l'appelez par Al-Hilo, qui peut être décrit comme trop tard, rencontre à plusieurs obstacles.
L'appel est venu dans le temps où le gouvernement a réussi à attirer plus de 15 partis à rejoindre le nouveau gouvernement de base large. Le nouveau gouvernement comprenait les anciens membres de la SPLA.
 La plupart des observateurs croient que le nouveau gouvernement, avec ses programmes annoncés, est le premier gouvernement dans l'histoire du Soudan, qui a attiré beaucoup de partis. Ainsi, il n'a pas de sens pour voir des manifestations contre un gouvernement avec ce nombre de partis.
En ce qui concerne l' appel par Al-Hilo aux citoyens de Khartoum, nous pouvons dire que l'homme a envoyé le message à la mauvaise adresse du fait que tout le monde sait que l'homme n'a pas des partisans à Khartoum.
 Al-Hilo lui-même ne peut pas être l'expéditeur droit parce qu'il a choisi l'utilisation de forces militaires et la violence pour exprimer ses vues. Et il est évident que si opérations militaires menées par Al-Hilo ayant réussi, il n'aurait pas envoyé cet appel aux citoyens de Khartoum.
L' Appel par Al-Hilo a révèle l'état de la déception, de la misère et de faiblesse.
Ce sont des facteurs réels. L'homme est devenu opportuniste du fait que ses rêves et ses aspirations sont tout de renverser le gouvernement par tous les moyens.

Analyse: La CPI est sur le point de s'effondrer




Alors que la durée du mandat du procureur de la CPI vient de mettre fin en Juin 2012, le rejet des pays africains à la CPI s'agrandit.
Le Président Ougandais Museveni a été le dernier président à exprimer son rejet à la CPI.
Adressant à une conférence de presse à la session finale du 13 sommet de l'Etats des Lacs, M. Museveni a déclaré que non seulement les Africains qui commettent des crimes, ayant dénoncé la cour et a qualifié d' injuste ses mouvements.
 La position du Président Ougandais a été précédée par le rejet du Président Djiboutien Omer Gaili qui a déclaré à un magazine français à Paris il ya deux jours, bien que son pays soit un Etat membre à la CPI. Le Tchad a également rejeté les mouvements de la CPI quand il a accueilli le Président Al-Bashir et ayant eu des entretiens avec lui.
 Le Malawi a brisé cette barrière et a officiellement invité le président soudanais à visiter le Malawi.
Le Kenya a également accueilli le Président Al-Bashir. Et quand un juge kenyan a essayé de rendre une décision sur le président Al-Bashir, le gouvernement kenyan a envoyé un émissaire au Soudan à s'excuser pour ce pas, en promettant de délivrer l'objection contre la décision.
 Ce rejet africain pour aux décisions de la CPI est une réaction à la méthode du procureur sortant de la CPI Ocampo de se concentrer sur les leaders africains.
Malheureusement, après la fin de la puissance coloniale et la fin de la domination européenne, le commerce de l'esclavage et la discrimination raciale, la communauté internationale a retourné à utiliser les organes internationaux à mettre en œuvre les agendas mal intentionnés au nom de la justice.
L'homme a fermé les yeux devant les crimes commis dans de nombreuses régions du monde telles que les crimes américains en Irak et en Afghanistan, les crimes de guerre israéliens à Gaza et les crimes français au Rwanda.
En conséquence, l'Union africaine et le conseil Africain de paix peuvent penser à établir un tribunal spécialisé.
Le pas africains vers la CPI est un message clair que le tribunal est sur le point de s'effondrer.

الخميس، 22 ديسمبر 2011

Analyse: Le rapport de l'ONU sur l'Est Soudan ... La paille qui a brisé le dos de New York




Le lobby de l'ONU voit jeudi un combat légal entre le Soudan et l'ONU qui s'est soldé par des excuses de l'ONU concernant un rapport sur la situation à l'Est Soudan par un fonctionnaire de l'UNDP.
Le rapport, qui a été publié sur un site Web, appartient à l'ONU, a prédit L'escalade de la situation dans l'Est Soudan en raison des réclamations de l'absence des projets de développement et la présence d'une faction armée qui prépare à lancer des attaques dans l'Est Soudan  de ses bases en Erythrée.
Quelques heures après la publication du rapport, l'ONU se précipita à le nier en utilisant tous les moyens souples pour contenir l'affaire. Bien que l'incident ne soit pas si étrange du fait que nous avons remarqué les responsables de l'ONU écrit des rapports inexacts et falsifiés sur la situation au Soudan. La région de Darfour est devenue un point focal dû au pourcentage élevé du rapport inexact sur elle au cours des 9 dernières années.
La confusion entre les responsables de l'ONU a attiré l'attention à celle parmi les observateurs. Les officiels de l'ONU ne nient pas normalement leurs rapports avant qu'ils ne soient convoqués par le Ministère des Affaires Etrangères et ayant remis une protestation officielle.
Durant l'ère de Pronk, il a fallu jusqu'à ce jour pour l'ONU de faire des excuses. Assurément, cette question pose un scandale à l'ONU du fait que toute l'affaire ressemble à une tentative d'utiliser les responsables de l'ONU au service des questions liées aux agendas des puissances étrangères.
À cet égard, il est important de se référer aux déclarations faite par  l'ancien envoyé américain au Soudan qu'après la sécession du Sud-Soudan, l'Est Soudan et Darfour pourraient aussi demander des référendums d'autodétermination.
Cet incident pose la question, pourquoi devons-nous écarter l'existence de figures dans l'administration Obama qui œuvrent à aggraver la situation dans l'Est Soudan?
Le rapport, qui pourrait être considéré comme coup d'envoi de la campagne, a gêné l'ONU elle-même car elle aggrave la situation au lieu d'en pacifier. Probablement, les responsables de l'ONU à New York ont été en particulier, ont submergé par ce point.
Cet incident pave la voie à l'examen des positions de l'ONU envers le Soudan. Le conseiller présidentiel, Dr. Mustafa Osman Ismail, a déclaré auparavant que le Soudan pourrait expulser les organisations étrangères qui travaillent à déstabiliser le pays.

Les FAS affirment l'engagement à retirer d'Abyei après le déploiement des forces éthiopiennes



Les Forces Armées Soudanaises ont affirmé leurs engagement à se retirer d'Abyei dès que l'arrivée des forces éthiopiennes, qui sont composées de 4200 soldats, doivent compléter dans les prochains jours.
Dans une déclaration à la SUNA, le porte-parole des Forces armées, colonel Al-Sawarmi Khaled Saad, a nié toute partialité ou collusion entre les forces armées et les milices d'un groupe de citoyens, soulignant à nouveau la nationalité des forces armées et son devoir de base pour défendre la patrie, la souveraineté et les propriétés.
Il a nié les allégations circulées par un certain nombre d'organisations étrangères sur la participation des FAS à brûler des maisons, affirmant que les forces armées sont engagé dans la protection et la sécurisation des citoyens.

Analyse: La Chine va-t-elle réussir à résoudre la crise Khartoum-Juba?





Alors que la date de la reprise des pourparlers Soudan -Sud Soudan sur les questions en suspens dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba approche, l'envoyé chinois au Soudan a dit dans des déclarations à la presse suite à  une réunion avec le Premier vice-président Ali Osman Taha, dimanche dernier que le réalisation de la stabilité dans les deux pays est important pour la Chine et la scène régionale et internationale, ainsi, exhortant les deux parties à faire réussir les entretiens , et de s'engager strictement aux moyens pacifiques pour résoudre la dispute entre les deux pays.
 La chose remarquable dans la déclaration de l'envoyé chinois était  les signaux encourageants que le côté soudanais a montrés à l'égard de la question du pétrole.
L'envoyé chinois a appelé l'équipe africaine de médiation conduite par Thabo Mbeki à doubler les efforts pour résoudre la question.
 En fait, nous avons remarqué que l'envoyé chinois, qui a fait une navette diplomatique entre Khartoum et Juba dans les derniers jours, a atteint une conviction qu'il n'a pas révélée.
Toutefois, la partie importante de cette conviction est les signaux encourageants qu'il a reçu de Khartoum à l'égard de la question du pétrole du fait que les signaux encourageants en termes diplomatiques signifient beaucoup, et pourraient atteindre au point de qualifier de raisonnable les suggestions de Khartoum.
En retour, nous pouvons en déduire que Juba ne montre pas les mêmes signaux encourageants que  Khartoum a montré. Et en fait, ici, la crise des mensonges. Les mêmes propositions offertes par le médiateur de l'union Africain Mbeki à Addis-Abeba a été rejetée par Juba. Khartoum a accepté les propositions.
Inutile de dire que l'émissaire chinois a estimé que le côté sudiste ne donne pas le souci de la question du pétrole, et se concentre sur la résolution des questions des frontières et d'Abyei.





Le lobby de l'ONU voit jeudi un combat légal entre le Soudan et l'ONU qui s'est soldé par des excuses de l'ONU concernant un rapport sur la situation à l'Est Soudan par un fonctionnaire de l'UNDP.
Le rapport, qui a été publié sur un site Web, appartient à l'ONU, a prédit L'escalade de la situation dans l'Est Soudan en raison des réclamations de l'absence des projets de développement et la présence d'une faction armée qui prépare à lancer des attaques dans l'Est Soudan  de ses bases en Erythrée.
Quelques heures après la publication du rapport, l'ONU se précipita à le nier en utilisant tous les moyens souples pour contenir l'affaire. Bien que l'incident ne soit pas si étrange du fait que nous avons remarqué les responsables de l'ONU écrit des rapports inexacts et falsifiés sur la situation au Soudan. La région de Darfour est devenue un point focal dû au pourcentage élevé du rapport inexact sur elle au cours des 9 dernières années.
La confusion entre les responsables de l'ONU a attiré l'attention à celle parmi les observateurs. Les officiels de l'ONU ne nient pas normalement leurs rapports avant qu'ils ne soient convoqués par le Ministère des Affaires Etrangères et ayant remis une protestation officielle.
Durant l'ère de Pronk, il a fallu jusqu'à ce jour pour l'ONU de faire des excuses. Assurément, cette question pose un scandale à l'ONU du fait que toute l'affaire ressemble à une tentative d'utiliser les responsables de l'ONU au service des questions liées aux agendas des puissances étrangères.
À cet égard, il est important de se référer aux déclarations faite par  l'ancien envoyé américain au Soudan qu'après la sécession du Sud-Soudan, l'Est Soudan et Darfour pourraient aussi demander des référendums d'autodétermination.
Cet incident pose la question, pourquoi devons-nous écarter l'existence de figures dans l'administration Obama qui œuvrent à aggraver la situation dans l'Est Soudan?
Le rapport, qui pourrait être considéré comme coup d'envoi de la campagne, a gêné l'ONU elle-même car elle aggrave la situation au lieu d'en pacifier. Probablement, les responsables de l'ONU à New York ont été en particulier, ont submergé par ce point.
Cet incident pave la voie à l'examen des positions de l'ONU envers le Soudan. Le conseiller présidentiel, Dr. Mustafa Osman Ismail, a déclaré auparavant que le Soudan pourrait expulser les organisations étrangères qui travaillent à déstabiliser le pays.

الثلاثاء، 20 ديسمبر 2011

Analyse: Ocampo Souffre une isolation internationale





Jeudi dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a conclu les discussions sur le rapport numéro 14 du Procureur général de la CPI sur les crimes présumés au Darfour sans se solder par toute décision ou de sanction.
 Selon le Journal SudanSafari, le rapport n'a pas ajouté de nouvelle chose, ni d'ouvrir un nouvel horizon pour la justice internationale.
Le rêve de 119 pays de la justice internationale n e s'est pas réalisé du fait que la nomination d'Ocampo comme procureur de la CPI a été l'une des choses qui avortée l'idée de la justice internationale.
Depuis sa nomination, Ocampo a mis en doute la crédibilité de la cour et impliqué en politique dans cette institution judiciaire.
La première évidence de la politisation de la cour était le fait que la plupart des accusations étaient dirigées contre les leaders Africains, malgré les centaines de crimes commis par les non-Africains soit en Irak ou en Afghanistan.
Le tribunal a ignoré les crimes commis pendant la guerre israélienne sur Gaza il ya trois ans. Personne ne sait où le rapport  de Goldstone sur les crimes de Gaza est-il allé?
La concentration sur les dirigeants africains est la grosse évidence que cette cour a été politisée.
Ainsi, l'Union africaine a rendu en Juillet 2009 une décision interdisant aux États membres de coopérer avec la CPI.
Dans le même temps, le Président Djiboutien Ismail Omar Gaili a dit, dans une interview avec un magazine français à Paris récemment, que malgré l'adhésion de son pays à la CPI, son pays ne suivra pas les décisions des tribunaux, louant le courage du président soudanais, en particulier en donnant au Sud-Soudan le droit à l'autodétermination.
Le Tchad, le Malawi, le Kenya et d'autres pays africains ont également rejeté à coopérer avec la CPI.
L'accusation d'agression sexuelle qui a soulevé contre Ocampo au temps antérieur est une autre preuve qu'Ocampo n'est pas la bonne personne à la CPI.
Les mouvements d'Ocampo sont de nature politique du fait qu'ils sont normalement associés avec les désirs de certaines puissances internationales.
Nous avons remarqué cela suite au référendum au Sud-Soudan en Janvier 2011 et les élections générales au Soudan en 2010 et l'accord de paix de Doha en Juillet 2011.
La troisième indication a été des pas unilatéraux par Ocampo spécialement après la décision de ses adjoints, qui sont connus pour l'expertise juridique unique, pour arrêter l'aide à cause de ce qu'ils considèrent comme la voie destructrice du fait qu'il dirige la CPI.

Al-Bashir affirme le souci du Soudan à renforcer ses relations extérieures



Le Président Soudanais, Maréchal Omer Al-Bachir, a affirmé le souci du Soudan à consolider ses relations étrangères et la coopération sur les niveaux régional et international.
C'était lors qu'il a reçu lundi séparément les lettres de créance des ambassadeurs d'Italie, d'Irlande, de Suisse, de Djibouti, de la République populaire de Corée et le Royaume du Swaziland.
Le Président Al-Bashir a exprimé son appréciation sur le progrès des relations du Soudan avec ces pays et son souci de consolider la coopération avec eux dans tous les domaines.
Par ailleurs, les ambassadeurs ont affirmé leur plaisir de représenter leur pays au Soudan, en soulignant leur souci de renforcer les relations et la coopération entre le Soudan et leurs pays respectifs dans tous les domaines.

Est Soudan ... Une blague ou une propagande






L'ancien envoyé américain, Scott Gration, a souligné récemment, dans ses déclarations avant la séparation du Sud-Soudan, que chaque de Darfour et de l'Est Soudan ayant nominé pour la séparation.

A ce propos, la déclaration de Gration n'était pas une déclaration normale bien qu'il est venu dans le contexte d'une colère selon laquelle le responsable américain a œuvré sérieusement avec le gouvernement soudanais pour avoir de concessions en faveur du gouvernement du sud soudan.

Il ya quelques mois, tous étaient concernés par ce qui s'est passé dans le Sud Kordofan et au Nil bleu autant que plus que toute autre chose.

Dans ce  temps là,  Gration était conscient parfaitement que l'Est Soudan Est du Soudan n'est pas attendu voir toute activité armée ou une ambition séparatiste,

Mais il avait menacé le gouvernement soudanais dans le cadre de  la politique américaine de la carotte et du bâton.

A présent, après toutes les années ayant passé depuis la signature de l'accord de l'Est en 2007 dans la capitale érythréenne Asmara, une campagne a été commencé du fait qu' on ne peut la qualifier de " blague ou propagande" concernant des mouvements qui se déroulent dans l'Est Soudan à travers d'une action armée  dont sa préparation en s'écoule tranquillement.

Un responsable Onusien travaillant dans le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à l'État de Kassala, Est Soudan, a préparé un rapport qui s'est soldé par l'existence d'un état de rébellion en cours dans l'Est Soudan sur les frontières Erythréennes dans un  montage qu'on appelle (le montage de Hamid).

La chose la plus étrange dans le rapport du responsable de l'ONU est que le groupe armé lance ses attaques depuis trois mois et que les raisons derrière la rébellion –selon lui – étaient l'absence des projets de développement et de service.

Selon le journal SudanSafari sur ce qui se déroule dans l'Est, les rapports ayant présenté par l'officiel de l'ONU sont dénués de tout fondement et de même il a avoué clairement dans son rapport qu'il avait reçu ses informations de sources non officielles!

Selon une tournée faite par le Journal SudanSafari à l'Est Soudan, qui comprend chaque de la mer Rouge, de Kassala et de Gedaref, le Fonds pour reconstruction de l'Est a franchi de  grands pas pour implémenter les projets qui ont été planifiées tels que des écoles et des rues pavées ayant été commencé à Tokar et à Ageeg ainsi que l'établissement de la route continentale très importante entre l'Erythrée et le Soudan soutenu par le Qatar en plus d'un certain nombre de dispensaires et des hôpitaux.

Evidement, la situation dans l'Est Soudan n'est pas en tout cas une raison de se plaindre.

Sans doute, l'élément de la blague ici a commence à être à la tête de celui de la propagande !

السبت، 17 ديسمبر 2011

le Jeu de l'envoyé spécial du Président Américain





A l'ère de l'Administration du Président Bill Clinton, le Président Américain a rendu une décision en août 1993, incluant le nom du Soudan dans la liste des pays sponsorisant le terrorisme.

Cette décision a été faite sans aucune évidence. Mais cette décision est venue contre le rapport du Département d'Etat Américain sur le Soudan en 1993.

Jusqu'à présent, Washington n'a pas donné des évidences si le Soudan parraine le terrorisme sur la terre, la mer ou l'air.

Depuis la prise de cette décision,  il est devenu une habitude routinière que le nom du Soudan est renouvelé en Août dans la liste des pays parrainant le terrorisme. Ces dix-huit ans révolus.

A l'ère de l'Administration du Président Bill Clinton, une décision a été rendue par le Président Américain en Novembre 1998, sur l'embargo économique contre le Soudan.

Depuis la délivrance de cette décision, il est devenu une habitude routinière que le nom du Soudan est renouvelé en Novembre dans chaque année dans la liste des pays de l'embargo économique. Ces treize ans parfaits.

Entre les deux décisions, la décision de la liste du terrorisme et celle de l'embargo économique, la Maison Blanche demeurait jouer le jeu de l'envoyé spécial du Président Américain au Soudan, commençant par M. (Robert Zoellick) et en terminant par M. (Lehman).  Et entre eux était M. (Harry Johnston), M. (Danforth ), M. (Andrew Natsios), M. (Richard Williamson) et M. (Scott Gration).

Durant leur exercice le rôle de l'Envoyé Spécial du Président Américain au Soudan, tout envoyé demeurait répéter la phrase que les USA ne veulent pas renverser le régime au Soudan, à partir de (Zoellick) en  terminant par (Lehman).

Toutefois, M. (Natsios) après la fin de sa mission envoyé spécial, a déclaré devant un exposé à l'Université (Georgetown) à Washington, que l'Administration Américaine a échoué à renverser le régime au Soudan!.

Il est à noter que les rapports de l'envoyé spécial du président Américain au Soudan n'ont pas trouvé de réponse dans la Maison Blanche, mais M.  Robert Zoellick, premier un envoyé spécial du président Américain au Soudan a trouvé des pressions, puis le licenciement due à une proposition à donner un encouragement au Soudan.

Et puis l'envoyé spécial M. (Andrew Natsios) trouvé une pression et à le forcer à démissionner après avoir menti les rapports des Nations Unies sur le nombre de morts au Darfour en 2007, et aussi (Zoellick) a appelé à  lever les sanctions sur le Soudan.

Et puis l'Envoyé spécial (Richard Williamson) a été destitué de son poste après avoir demandé à promouvoir la représentation diplomatique entre les deux pays et la normalisation des relations.

Williamson était sur ​​le point de signer un accord au Club Diplomatique à Khartoum entre les Etats-Unis et le Soudan, dans lequel le nom du Soudan doit lever de la liste du terrorisme, et il a reçu un appel téléphonique avant de signer pour quitter irréversiblement le club diplomatique et le Soudan.

A rappeler que l'envoyé spécial M. Danforth a appelé le Président Américain, dans son rapport final, à préserver l'unité du Soudan. Mais la politique américaine est allé dans la direction opposée à ce rapport, et a œuvré efficacement pour la séparation du Soudan en deux Etats.

Puis l'Envoyé spécial du Président Américain au Soudan Général (Scott Gration) a annoncé devant le comité des affaires étrangères au Congrès, à annuler le nom du Soudan de la liste des pays parrainant le terrorisme, et lever l'embargo économique sur le Soudan.

Le chef du comité des affaires extérieures,  sénateur John Kerry (démocrate) a soutenu la proposition de l'Envoyé spécial Gration, et ayant également soutenu par les membres du Comité du Parti Républicain.

Ce fut un nouveau moment de naissance politique Américain tournant une page politique, mais la demande par (Gration) pour annuler le nom du Soudan de la liste du terrorisme et de lever l'embargo économique sur le Soudan a trouvé sa place dans la poubelle et puis M. (Gration) émissaire spécial du président Américain a été limogé de son poste envoyé spécial du président américain au Soudan.

Les rapports  par chacun de (Zoellick), (Danforth), (Natsios), (Williamson) et (Gration) ont montre que la nomination d'un envoyé spécial du président américain au Soudan, n'est pas qu'un jeu politique pratiqué par l'administration américaine contre le Soudan, dans le contexte de la mise en œuvre de sa politique d'agression de rendre le Soudan dans la liste du terrorisme (Guantanamo politique) et de garder  l'embargo économique (Guantanamo économique).

A savoir que le nombre des envoyés du Président américain au Soudan a atteint sept envoyés spéciaux, tous étaient destitué et expulsé.

Tous ces envoyés spéciaux au soudan étaient des personnalités distinguées et jouissent de poids, pourquoi leur mot  sur le soudan à Washington était faux et celui autre était juste.

Pourquoi l'administration Américaine a rejeté leurs rapports, leurs recommandations et leurs suggestions positives et que leur sort a été le limogeage, l'exclusion et la démission.

Ce qui était absente à Washington était la sagesse de ces envoyés?

Les faits ont prouvé que la voie  de l'Envoyé spécial du Président Américain au Soudan était sans fin et (Marathon) sans objectif.

Evidemment, d'autres voies non déclarées façonnent les vraies  relations  Américaines  au Soudan.

C'est pourquoi le  soudan n'a rien à faire que d'arrêter la coopération  sécuritaire du Soudan avec Washington et à ne pas agir avec l'envoyé spécial du président américain au soudan.

Le Soudan devrait être limité concernant son agissement avec Washington sur les canaux diplomatiques traditionnels, et jusqu'à nouvel ordre et  jusqu'à ce que Washington affirme son sérieux pour établir de bonnes relations bilatérales

الخميس، 8 ديسمبر 2011

La défaite d'Aggar: une leçon sur la politique et l'arme

L'armée Soudanaise a défait les forces de rebelle Malik Aggar et a reconquis  la ville frontalière Al-Kurmuk  dont les forces d'Aggar y se trouvent où il a créé une légende de ses forces avec le rêve que ces forces lui faudrait au Palais Républicain qui est sur ​​le Nil dans la capitale nationale, Khartoum.
l'histoire  connaissait beaucoup des défaites militaires sans tenir compte de Justifications et des erreurs, mais la question concernant la défaite d' Aggar est complètement différent du fait que cet homme qui appartient au gouvernement Soudanais  Politiquement et  constitutionnellement ,  a adressé ses partisans il y avait des semaines, en les disant qu'il a " une armée et Khartoum a sa propre armée"  et il était en rêve de franchir la distance entre Khartoum et Kurmuk en quelques heures  pour assumer la présidence à Khartoum.

Il y avait une année,  Aggar a été menace qu'il a  plus de (40) mille des combattants et que le gouvernement Soudanais doit lui permettre de gagner les élections générales qui ayant eu lieu en avril (2010) en répétant le slogan embarrassant "l'étoile ou l'attaque".
Evidemment, le calcul a été exactement raté dans l'esprit d'Aggar du fait que l'homme menace tous les Soudanais du fait qu'il doit gagner forcement  ou ils doivent payer le prix pour ne pas gagner quelles que soient les raisons.
Depuis ce moment là, le gouvernement Soudanais était conscient complètement que cet homme n'est pas mature politiquement et n'est pas digne d'un processus démocratique et pacifique.
C'est pourquoi, Aggar a perdu depuis ce temps là ses partisans et a abandonné ceux qui comptaient sur lui, mais tout celà était digne d'être réglé et reformé, mais l'homme a malheureusement a cru de façon fausse que (l'attaque) est devenu une arme efficace.
Maintenant, le terrain est la place réelle d'essai de l'attaque et malheursement les Quarante mille soldats présumés ont dispersé soient des morts et de fugitif.
Quant au rebelle Aggar, lui-même, a préféré (l'option Ethiopienne) et a été enregistrée dans le registre des réfugiés politiques. La scène entière était malheureuse regrettable.
Il savait qu'il était trop faible pour faire face à l'armée régulière  professionnelle, Aggar a évidemment été un exemple de la défaite comme  pire exemple de la défaite et aventuré par sa position politique et exécutive du fait qu'il était en mesure pour en réaliser à travers les prochaines élections.
Il pourrait précipiter au dialogue même après l'éclatement de la guerre, mais l'homme a décidé pour lui et ses soldats un destin mauvais.

الأربعاء، 7 ديسمبر 2011

Le Gouvernement Soudanais presénte trois options pour résoudre la question d'Halaib

Des leaders parlementaires au parlement Soudanais ont révélé de l'Etat de la Mer Rouge pour la première fois les options du Gouvernement Soudanais pour résoudre la question de la region d'Halaib après les développements politiques qui ont eu lieu récemment en Egypte après la fin du régime précédent  Egyptien.
Le MP de la région d'Halaib au Parlément Soudanais Ahmed Issa Omar a dit dans une déclaration à la presse que la réunion des deputés de l'Etat au sein de la Legislature Soudanaise avec le Gouvernement de l'Etat de la Mer Rouge dirigée par le Gouverneur de l'Etat Mohamed Tahir Eila  a evoqué les options du Gouvernement Soudanais pour résoudre la question de d'Halaib.

Il a indiqué que le Gouvernement Soudanais a reporté le réglement du dossier après les élections Egyptiennes et la formation du nouveau Gouvernement Soudanais â travers une vision ayant informé par le Ministre Soudanais des Affaires Etrangères au sein du Parlement Soudanais.

M. Issa a expliqué que les options du Gouvernement Soudanais representent dans trois solutions dont la première est l'accord pour faire la région d'Halaib en celle d'intégration à condition que le Gouvernement Egyptien reconnait qu'elle une terrre Soudanaise qui doit gérer par une administration conjointe Soudano-Egyptienne et que les deux armées Soudanaises et Egyptiennes doivent y retirer pour être remplacé par une police des deux pays.

Il a ajouté que la deuxième solution est du fait que le Soudan doit  recourir vers l'arbitrage international en (La Haye) en choisissant la méthode judiciaire.

La troisième option est d'organiser un référendum pour le peuple existant dans la région d'Halaib pour choisir de rejoindre au soudan ou en Egypte volontairement.

M. Omer a souligné que tous les dirigeants officiel, populaire et native à la region d'Halaib doivent faire particper aux options annoncées pour résoudre la question d'Halaib .

M. Omer a souligné qu'il exisite une coordination globale entre le Parlement et l'organe executive représenté dans le Ministère Soudanais des Affaires Étrangères au côté du Comité des Relations Exterieures au Parlement qui à son tour  doit assumer la communication et la coordination avec le Ministère des AE.

Le MP a affirmé l'amélioration de la situation des citoyens Soudanais dans la région d'Halaib après la Révolution Egyptienne et la libération de tous les déténus politiques, en reconnaisant une amélioration considérable ayant survenue dans l'agissement des autorités Egyptiennes avec les Soudanais surtout après avoir l'armée Egyptienne assumé le pouvoir  dans la région d'Halaib après la révolution au lieu des renseignements Egyptiens

الأحد، 4 ديسمبر 2011

Abdel –Jalil: le Soudan est un partenaire authentique derrière la réussite de la révolution Libyenne




Le Président de l'Assemblée Nationale Transitoire en Libye, Mustafa Abdel -Jalil a déclaré que le Soudan a envoyé des armes et des munitions pour les combattants révolutionnaires Libyens durant  leur bataille contre le  régime du défunt Mouammar Al-Kadhafi à travers les territoires Egyptiens.

Abdel -Jalil a dit dans un discours qu'il a prononcé dans la capitale soudanaise,  Khartoum,  que les armes et les munitions ayant fourni par le Soudan pour les combattants Libyens sont arrivées à la région de   montagne occidentale (Ouest de Tripoli) à  travers l'Égypte frère, en soulignant que sans l'aide du soudan, la région de  Koufra dans le sud-est de la Libye ne peut pas être libéré , qualifiant le Soudan de partenaire authentique derrière le succès de la révolution Libyenne.

Abdel –Jalil  a affirmé  que la sécurité du Soudan est celle de la Libye et l'inverse et que L'avenir des relations entre les deux pays sera le plus développé autant que plus jamais tout en les qualifiant de positions fermes pour le soudan dans la révolution Libyenne.

ِAbdel -Jalil   a appelé, lors de sa rencontre avec le bureau exécutif de l'Union Nationale des Jeunesse Soudanais à sa résidence à hôtel  Corinthia, les jeunes du Soudan à jouer un rôle important pour la reconstruction de la Libye.

A savoir que le Président Soudanais Omar Al-Bashir a annoncé le mois dernier que les armes qui sont entrées à Tripoli par les combattants révolutionnaires sont purement Soudanaises 100%

Le gouvernement soudanais a accusé Al-Kadhafi d'avoir soutenu les mouvements rebelles  dans la région de Darfour dans l'ouest Soudan et qui est située directement le long du territoire Libyen.

Le Président Soudanais a indiqué que Le peuple libyen a présenté au peuple Soudanais le meilleur cadeau de la libération de la Libye de Kadhafi et son régime parce que aucun dommage qui s'était passé sur le Soudan même des pays tels que le colonialisme comme le dommage qui a apporté par Al-Kadhafi et ses  groupes au Soudan.

Commentant sur cette question, Abdel -Jalil a dit: ' le peuple soudanais est tellement affecté du regime précédent'.

A noter que le président de l'Assemblée nationale transitoire de libye est arrivé à Khartoum  vendredi, dans une première visite au Soudan par un responsable libyen de haut niveau depuis la fin du régime de Kadhafi pour participer aux travaux de la conférence du parti du congrès national.

Il est à noter que le Soudan et la Libye se sont convenus, durant  des négociations entre le Président Al-Bashir et Abdel –Jalil pour former des comités pour développer leurs relations dans les différents domaines.

Analyse: Gouvernement du Sud Soudan …Examen du soutien à la rébellion de la République du Soudan

Des rapports ont circulé des sources  bien informées au sud Soudan qu'il existe un rapport ayant été présenté au Comité des Cinq membres de la Sécurité et de la Défense du gouvernement du Sud.
Le général de brigade Akol, chef du renseignements de la SPLA, qui a lu le rapport,  a i indiqué que les combattants du Secteur du Nord ne retourneront jamais à nouveau à la guerre et il existe des différences majeures entre les forces de la SPLA du Sud-Soudan et les combattants du secteur du nord en raison de la politique de ' deux poids, deux mesures'  du général Malik Agar entre Juba et Khartoum, spécialement ses combattants locaux dans le Nil Bleu ne veulent pas la guerre et ont soutenu le retrait du Malik Agar du Nil Bleu.
Dans le même contexte, le rapport indique que 90% des soldats dans le champ de bataille étaient du Sud-Soudan et maintenant, après le retrait sont plus de 700 combattants dans le sud du Nil bleu sont des soldats du Sud.
On constate que le nouveau  gouvernement de l'Etat n'hésitera pas à soutenir la rébellion dans le Nil Bleu et que l'Etat et son gouvernement et son armée avaient mobilisé tous leurs efforts pour soutenir et allumer le feu de la guerre dans la mère Etat.
A Grâce à tous cela, le gouvernement du Sud Soudan a reconnu l'échec les rebelles du Secteur du Nord dans la réalisation des victoires sur les Forces Armées Soudanaises au Sud Kordofan et au Nil Bleu, malgré le soutien considérable pour ces forces par le gouvernement du sud, chose qui indique que les forces de l'armée populaire et le principal facteur et derrière la guerre.
Dans le même contexte, il semble que le secteur du Nord du SPLM a tenu une réunion à huis clos, où des sources du Journal SudanSafari, ont confirmé que la réunion a eu lieu dues aux tensions au sein du secteur des fils des Nuba et que la réunion a également examiné le rapport du Comité des Cinq membres.
La même source a dit que la réunion était à l'intérieur de la salle (John Garang) à Juba pour évaluer le travail de terrain.
Aussi la réunion a discuté de la possibilité de tenter d'attaquer Talodi à tout prix pour assurer le soutien continu du gouvernement du Sud-Soudan pour le secteur et de restaurer la confiance au sein des dirigeants qui ont perdu la confiance du gouvernement du Sud, spécialement suite à l'échec de Malik Agar à rencontrer  Salva Kiir depuis plus d'un mois.
D'autre part, il ya des informations, qui ne sont pas très fiable, confirment qu'il existe un complot visant les fils des Dinka Ngok au sein de l'armée populaire et le Gouvernement du Sud Soudan afin de former une brigade des fils de la région pour mener un nouveau conflit avec la République du Soudan (nord), sous le nom de l'Armée Populaire de Libération de la région d'Abyei, sous la direction du chef d'état-major de l'Armée populaire Evian Deng, qui appartient à la région d'Abyei.
Selon des sources, il ya, aussi, plus de 3 milliers des fils et des filles des Dinka Ngok ont été assemblés dans une brigade qu'on appelle (la Brigade pour la libération d'Abyei).
En conclusion, Selon les récentes informations , le gouvernement du Sud-Soudan est trébuché militairement et politiquement de trouver un moyen et imposer de pression pour faire revenir le gouvernement soudanais à reprendre les négociations sur les questions en suspens