Commencement de l'opération d'évacuation des citoyens soudanais de l'Etat du Soudan du Sud

Le processus de l'évacuation des citoyens soudanais et d'autres de l'IGAD de la ville Bantio dans l'?tat du Sud-Soudan vers la ville de Heglig par les avions de la Force intérimaire des Nations Unies de sécurité pour Abyei (FISNUA) où cinq vols ont été organisés au cours de la journée et reçu par le Comité de la sécurité à l'arrivée dans la région

Le Directeur du Département des consulats et des expatriés au ministère des Affaires étrangères l'ambassadeur Abdel-Aziz Hassan Salih a dit dans une déclaration à la SUNA que les opérations d'évacuation se poursuivront jusqu'à ce départ tous les citoyens soudanais et les citoyens des Etats membres de l'IGAD

Il a ajouté qu'une assistance nécessaire a été livrée aux rapatriés, en soulignant que le Comité de la sécurité entrepris de prendre les mesures nécessaires avant le départ à Obied ville et de leur région. Il a ajouté qu'il y aurait une coordination avec les Etats des citoyens de l'IGAD pour leur départ dans leur pays

 

L'Ambassadeur Salih a expliqué à la SUNA que les efforts se poursuivront pour évacuer le soudanais de Juba dès que possible, en soulignant que cette opération s'inscrit dans la responsabilité du gouvernement et son souci de la sécurité de ses citoyens et les citoyens de l'IGAD pour renforcer la coopération avec ces pays, afin de contribuer à la communauté internationale de protéger et de fournir des recours sécurité des citoyens innocents

troubles au Sud-Soudan

La tentative de coup d'Etat contre le président du sud Soudan, Salva Kiir, n'est pas venu comme une surprise. De telle éventualité était toujours à l'horizon, avec le limogeage de Juillet de vice-président Riek Machar et plusieurs ministres étant le véritable tournant

Le Président Kiir a accusé Dr. Machar de la tentative de le renverser, mais ce dernier a nié toute implication, tandis que dans le même temps appelant à l'armée à renverser le Président

La présidence de Kiir a été poursuivie par des accusations d'innombrables maux, le tribalisme et la corruption, qui lui ont coûté beaucoup de soutien

Mais quelles que soient les défauts du président Kir, Dr Machar devrait savoir mieux que de tenter l'ascension au pouvoir par le canon de l'arme

Une telle démarche n'est certainement pas tenable actuellement, et pas dans un avenir prévisible. Il ne peut engendrer un incendie ethnique sanglant de longue haleine

Comme au Kenya, où le pouvoir politique est essentiellement une lutte entre les Kikuyus et les Luo , avec les autres tribus simplement s'allier soit avec , au sud Soudan , c'est un jeu entre les Dinka et les Nuer

Le Président Kiir appartient au groupe Dinka de la majorité , tandis que Dr Machar est un Nuer , le numéro deux de groupe ethnique

Autres groupes ethniques du Sud-Soudan comprennent le nilotique Shilluk , Madi , Bari , Lotuko et Toposas

Dans le mélange sont également la minorité des Azande et des Balanda , les habitants de la région d'Equatoria occidental
Les Dinka dominent l'armée et le gouvernement et a formé le noyau du mouvement de la libération du Soudan / Armée

Il est au-dessus de la réalité qui rend l'ascendance du Dr Machar au pouvoir par la force une quasi-impossibilité . Les Dinka ne peuvent tout simplement pas comprendre l'un des leurs d'être renversé par un Nuer

En outre, alors que les autres communautés peuvent avoir des questions avec l'hégémonie des Dinka, face à une des options des Dinka contre les Nuer , ils étaient plus susceptibles d'exprimer leur sort avec l'ancien

La prise de positions dans la région du Haut-Nil par les forces de Dr. Machar ne doit pas être considérée comme une déclaration de sa force militaire . Ce sont des victoires à domicile

Le jour nous nous réveillons à la proclamation d'une victoire de Dr Machar dans le cœur des Dinka du Bahr al Ghazal , alors le monde devrait savoir que l'ingénieur devenu guérillero va endroits . ( Africa Review

Quand Washington présente une médiation pour l'intérêt de lui-même dans la première place

Il est étrange pour une superpuissance comme les Etats-Unis à appeler le gouvernement soudanais juste de recevoir son nouvel envoyé, Donald Booth. Le gouvernement soudanais a exclu recevoir l'envoyé spécial Américain Donald Booth sans d'abord établir des agendas clairs de sa visite

Accueillant le nouvel envoyé nécessite une vision claire et la compréhension entre les deux pays sur les perspectives d'avenir des relations et de la levée des sanctions économiques contre le Soudan

Le ministère soudanais des Affaires Etrangères a exhorté le nouvel envoyé à dévoiler ses agendas d'abord pour s'assurer si il a une nouvelle vision de normaliser les relations bilatérales

Selon les lois internationales, les officiels visiteurs doivent informer le pays hôte de son ordre du jour et le but de sa visite. C'est la diplomatie, mais les États-Unis, la superpuissance voit ce qui est inutile, car il a le droit de débattre de ce qu'il veut

Tous les anciens envoyés n'ont pas eu de contribution à l'amélioration des relations soudano-américaines. L'administration américaine n'a pas réussi à tenir ses promesses.

Khartoum a marre de cette politique arrogante et mensonges répétés, parce qu'il a rempli tous les engagements, y compris le référendum et la reconnaissance du Sud-Soudan et l'amélioration de la situation de sécurité au Darfour

En 2008, l'ancien envoyé américain a ouvert des pourparlers officiels vers la normalisation des relations avec Khartoum en retour de la coopération du Président Soudanais Omer Al-Bashir pour la résolution de la crise au Darfour. Mais ni les efforts sont devenus véritables.

Une autre demande choquant est venue de l'ancien envoyé spécial américain au Soudan Princeton Lyman qui a demandé au gouvernement soudanais de retarder les élections 2015 à donner la chance à tout dialogue inclusif avec toutes les parties au conflit sous les auspices de l'Union Africaine

"Les élections en 2015 ne devraient pas être considérées comme point final dans le processus", a-t-il dit

Comment les États-Unis peuvent-t-ils demander l'annulation des élections! La demande est une intervention flagrante dans les affaires du Soudan et elle permettra aux rebelles qui ont perdu le soutien du Sud-Soudan pour lutter contre le gouvernement

Le gouvernement soudanais est certain que tous les émissaires américains n'ont pas de visions claires, c'est pourquoi ils ne seront jamais contribuer à améliorer les relations entre les deux pays. Ils perdent seulement leur temps

Mort à l'Amérique!

L'Amérique a émergé dans l'existence comme un résultat d'un processus plus large de vol armée dans l'histoire. L'opération a abouti à l'extermination de l'Indien rouge où la race blanche a exterminé la race rouge, dans ce contexte, la culture de sang et de violence s'est épanouie et enracinée dans le caractère américain, chose qui a conduit à l'assassinat et aux tentatives d'assassinat de plusieurs présidents américains

Le Président Américain Abraham Lincoln a été abattu  le 14 Avril 1865 à Washington DC, il est mort le lendemain matin, et l'assassinat de Lincoln a été réalisé par John Wilkes Booth. Le Président Américain James A. Garfield a été abattu par Charles J Guinée à Washington DC le 2 Juillet 1881, Garfield est décédé le 19 Septembre 1881

Le Président Américain William McKinley a été tué et mortellement blessé par des balles le 6 septembre 1901 à Buffalo, New York, il a été abattu par Leon Czolgoz, et McKinley est mort le 14 septembre de la gangrène causée par les blessures par balle

John Fitzgerald Kennedy le président des États-Unis a été assassiné le 22 Novembre 1963 à Dallas au Texas, le gouverneur de Texas John Cannaly qui était également présent a reçu une blessure à l'attaque

 

Un certain nombre de présidents américains ayant survécu des tentatives d'assassinat. Le Président Américain Theodore Roosevelt a blessé dans la tentative d'assassinat le 14 Octobre 1912 à Milwaukee.

Le Président Américain Franklin Delano Roosevelt a survécu à la tentative d'assassinat à Miami Florida, le 15 Février 1933. Le Président Américain Harry Truman a survécu à la tentative d'assassinat à Washington DC le 1er Novembre 1950, la tentative menée par deux nationalistes portoricains

En 1975, le président Gerald Ford a survécu à deux tentatives séparées, la première a eu lieu le 5 Septembre à Sacramento Californie menée par Lenane Alice, et le second le 22 Septembre, à San Francisco réalisée par Sara Jane Moore

Le 30 Mars 1981 le Président Ronald Reagan a été abattu dans la poitrine par John Hinckley à Washington. Le 29 Mai 1980, un activiste des droits civils Vérone Jordanie a survécu une tentative d'assassinat.

Le Gouverneur d'Alabama, George Wallace avait été abattu dans le laurier, le 15 mai 1972, la tentative menée par Arthur Bremer, il a survécu à la tentative d'assassinat, mais la tentative a laissé Wallace paralysé

Il était l'assassinat du leader du parti démocratique de Chicago Anton J. Cermak à Miami Florida le 15 Février 1933 par Giuseppe Zangara, la même personne qui a effectué la tentative de l'assassinat du président Roosevelt, cermak est mort le 6 Mars 1933 

Le 8 septembre 1935 Huey P. long de sénateur américain a été abattu à Baton Rouge en Louisiane par Carl wises, long  a été mort le 10 septembre 1935

Malcolm X leader d'un mouvement nationaliste noir a été abattu le 21 février 1965.

Martin Luther King activiste et leader éminent du Mouvement des droits civiques afro-américain a été assassiné par James Earl Ray à petit hôtel à Memphis, Tennessee, le 4 Avril 1968  Le sénateur Robert Kennedy, ministre de la justice, et candidat la présidentiel a été abattu le 5 Juin 1965 à Los Angeles, il est décédé le 6 Juin 1968

Tous ces assassinats et les tentatives d'assassinat n'ont pas été réalisées par des étrangers, ils étaient seulement l'Amérique tue Amérique (Mort à l'Amérique)

Un logo est mis en œuvre par l'Amérique lui-même, contre lui-même. Mort à l'Amérique est aussi un logo mis en œuvre par l'Iran (rhétorique, mais pas d'action) Alors que l'Amérique fait œuvre le logo Mort aux islamistes (action, mais pas de la rhétorique)

Le Soudan accueille l'acceptation de Salva Kiir à l'initiative de l'IGAD

Le Soudan a accueilli l'acceptation du président de l'Etat du sud Soudan , Salva Kiir, à la médiation de l'IGAD, son accord pour s'engager dans un dialogue inconditionnel avec l'autre partie dans la crise au sud Soudan , en plus de sa disposition et la tendance positive pour une solution pacifique à l'Etat du Sud-Soudan

 

Cela a été déclaré par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, l'ambassadeur Abou-Bakr Al-Siddiq, dans une déclaration à la SUNA

L'Ambassadeur Al-Siddiq a dit qu'il n'y a pas d'alternative au dialogue et les moyens pacifiques et politiques pour résoudre tout différend entre les parties concernées dans le Sud-Soudan

Il a indiqué que le Soudan a un intérêt stratégique national dans la réalisation de la stabilité et de la paix au Sud-Soudan, indiquant que la sécurité et la stabilité dans le Sud-Soudan est étroitement liée à la sécurité et la stabilité au Soudan

Il a fait allusion aux liens familiaux, sociaux et culturels et les intérêts communs entre les deux peuples frères

Le Soudan espère voir IGAD être en mesure de rassembler les parties au conflit au sud Soudan pour le dialogue

Le Soudan a exprimé son espoir que l'IGAD sera en mesure de réunifier les parties au conflit au Sud-Soudan très proche en vue d'éviter de gâcher les ressources à l'Etat naissant dans une guerre inutile
Dans une déclaration à la presse à l'aéroport de Khartoum lundi soir, le ministre des Affaires étrangères, Ali Karti, a déclaré que les ministres des affaires étrangères de l'IGAD se sont assurés au cours de leur première visite à l'Etat du sud Soudan que le gouvernement de l'?tat du sud Soudan est prêt à la négociation comme moyen unique pour résoudre la dispute au Sud-Soudan.
Il a dit que Juba est une étape avancée concernant l'acceptation de la négociation, en indiquant que Juba a accepté le principe d'un dialogue inconditionnel et l'autre partie est tenu de répondre positivement à cette ouverture, chose qui permettra aux ministres des Affaires étrangères de l'IGAD de se déplacer pour mettre fin à la dispute entre les deux partiesKarti a nié l'intention du Soudan de présenter une initiative pour résoudre le conflit au Sud-Soudan, ajoutant que le Soudan œuvre dans le cadre de l'IGAD à cet égard
Il a indiqué que la présence de Riek Machar dans les zones de production de pétrole sera bien sûr affecté la production de pétrole, ajoutant qu'il espère que Machar empêcher son mouvement d'affecter la production et le passage de pétrole, surtout que le pétrole est une richesse nationale pour ceux qui sont au pouvoir et à l'extérieur du gouvernement au Sud-Soudan.

Machar avoue son perturbation la relation entre Khartoum et Juba

Dans une déclaration à la presse, l'ancien vice président sud-soudanais, Riek Machar a dit que le remaniement ministériel a été faite pour apaiser le Congrès National au pouvoir au Soudan et aider à améliorer les relations bilatérales.

Les officiels accusent l'ancien vice-président, Riek Machar, d'être responsable de la mauvaise performance et entrave les liens entre Khartoum-Juba.

Machar a été limogé le 23 Juillet de la position de vice-présidence, terminant son mandat de huit ans comme le deuxième homme le plus puissant du pays.

Au cours de son mandat, il n'a pas fait preuve de respect institutionnel pour Kiir qui a repris la présidence du parti en 2005.

Il n'aime pas être sous la direction de quelqu'un d'autre parce qu'il a des intérêts et des ambitions.

La tension a refait surface depuis que l'ancien vice-président Riek Machar, a annoncé son intention de défier le président Salva Kiir, un Dinka, comme chef du parti. Ceci est important car selon l'individu à la tête du parti serait le candidat présidentiel du SPLM présumé dans les élections 2015.

Après avoir Kiir limogé son cabinet, incluant le vice-président Machar en Juillet, Machar a continué à rechercher le pouvoir par des moyens politiques. Il a également entrepris la mise en œuvre d'entraver les accords de coopération signés par le Soudan et le sud Soudan sous les auspices de l'Union Africaine.

Ironiquement, quelques semaines avant son limogeage, Machar est devenu de plus en plus critique de la performance du gouvernement.

Selon les observateurs, la critique publique n'était pas seulement une tactique pour se distancer de contre-critique de faible performance et la prévention de la bonne marche des relations entre le Soudan et le Sud Soudanais.

Quel est le problème si Juba est de garder un œil attentif sur l'amélioration des relations bilatérales avec Khartoum pour sauver son économie et atteindre la prospérité.

Machar et son groupe de responsables licenciés ont été entravé les relations avec le Nord et le président et oppose au président Kiir qui cherche à obtenir un des liens de coopération équilibrées et rationnelles avec le Soudan voisin.

Pour mettre les choses sur la bonne voie, le président Kiir s'est débarrassé de lobby  pour paver la voie à de meilleures relations et de meilleures conditions économiques pour la population du Sud-Soudan.

L'Etat de Nil Bleu voit la stabilité et prêt au Tournoi Scolaire

Le Wali (gouverneur) de l'Etat du Nil Bleu, Hussein Yassin Hammad a affirmé que son Etat a pris les mesures précurseurs maximales pour protéger ses frontières sudistes contre toutes infiltrations.

Interviewé par la Radio Nationale d'Omdurman, Hussein a indiqué que son Etat doit accueillir le 32ème tournoi scolaire qui doit organiser le 29 Déc. et assister par le Premier Vice-Président, Général Bakri Hassan Saleh.

Le Wali a expliqué que toutes les préparations sont complétées pour le coup d'envoi du tournoi.

La Journée Nationale est une source de fierté pour l'histoire de Qatar

Le 18 Décembre, la Journée nationale du pays, est célébrée avec ferveur patriotique, commémorant l'occasion historique lorsque le fondateur de l'État moderne du Qatar, Cheikh Jassim bin Mohamed bin Thani, a assumé le pouvoir en 1878 et a posé les piliers de la patrie, et a lancé le rêve national d'un Etat indépendant.

La Journée Nationale est une source de fierté pour l'histoire de Qatar du fait que le pays a pu réaliser des étapes importantes de l'époque de son fondateur jusqu'au règne de l'Emir Cheikh Tamim bin Hamad Al-Thani.

Qatar, qui est devenu un modèle de développement global et durable, a été en mesure de réaliser le progrès et la prospérité de ses citoyens et d'atteindre à un statut international éminent qui a permis de mener à bien un rôle humanitaire important pour la réalisation de la paix mondiale et la promotion des valeurs humaines et principes.

La Sage direction du pays a fourni tout le soutien nécessaire pour la réalisation du développement global. Il s'est concentré sur le développement de peuples Qataris comme la principale cible et l'objectif plus élevé dans le processus de développement.

Par conséquent, l'État a fourni les peuples Qataris avec tout ce qu'il faut pour développer leurs capacités en vue de s'acquitter de leurs responsabilités envers la patrie et de participer à la construction du pays.

L'excitation qui a été mise en place au cours des dernières semaines au cours des festivités de la fête nationale atteindra à son climax aujourd'hui  avec les célébrations publiques et privées à travers le pays. Les Qataris et les expatriés rejoignent les festivités en l'honneur du fondateur du pays.

L'Emir Cheikh Tamim bin Hamad Al-Thani et le Père Emir Cheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani ont assisté hier aux célébrations de la fête nationale. Ils ont visité un certain nombre de fonctions de célébration organisées par les tribus qataries dans les différentes régions du pays.

Comme on peut le voir dans l'ambiance festive tout au long de la Journée nationale du Qatar est importante non seulement pour ses citoyens, mais aussi pour la grande population d'expatriés il accueille. La Fierté sur les réalisations du pays traverse à toute personne qui a fait le Qatar leur maison.

Au fil des années, le Qatar a acquis une réputation pour faire le travail, que ce soit dans la résolution des conflits, ou l'organisation d'événements sur une grande échelle. Sa candidature pour accueillir la Coupe du Monde de la FIFA en 2022 a fait le point de mire du Qatar de la communauté sportive du monde.

Les politiques du pays ont été établies avec la tradition et de la culture à l'esprit. Au cours des dernières années, il ya eu un plus grand effort pour assurer le bien-être expatrié.

La Journée nationale est une articulation de l'affection et le respect que le peuple du Qatar se sent pour le pays. C'est aussi une façon d'encourager la jeune génération de prendre un intérêt dans les pays de retour histoire, le tissu riche de ce qui est souvent a voilé par le mois de mars de la modernité.

Comme vieilles puissances et des empires disparaissent, et un nouvel ordre mondial prend forme, le Qatar a besoin plus que jamais, une Journée nationale pour valider son avenir avec des souvenirs d'un passé historique.

Une recette américaine pour le dialogue sudiste sous les recommandations de Kinana

C’est très facile de savoir que le dialogue des parties sudistes avec le SPLM est une recette américaine, puisque les américains cherchent un leader diplomate, connu comme un homme d’état , et un autre militaire pour leurs bases militaires, et ils ne sont que Lam Acol et salva kiir

car les Etats unis ne veulent pas un état fragile , le SPLM ne peut pas tout fait sans les autres parties
D .Lam Acol  profite le rencontre avec Sava kiir en disant qu’ils se sont d’accord de se respecter et de ne pas empêcher son mouvement de travailler au sud, et qu’il faut réformer les situations politiques

L’acceptation du SPLM de discuter la situation du sud et le référendum avec les autres parties  veut dire que le mouvement accepte ce que la conférence de Kinana  avait adopté en octobre 2009. Il faut noter aussi que le mouvement a refusé  de participer à cette conférence qui avait discuté quatre axes : le CPI, les élections, le référendum, et la situation politique et sécuritaire au sud.
Le SPLM avait invité aussi les parties nordistes à Juba pour créer une alliance contre le gouvernement  soudanais au moment où il n’a aucune coordination avec les sudistes et c’est pour ça qu’il y a 6 parties qui ont boycotté la conférence de novembre 2009 organisé à Khartoum

Reste à noter que l’alliance de Juba a été crée avant les élections et que le mouvement a utilisé les parties nordistes dans sa bataille politique et c’est normal qu’il collapse après la victoire de NCP aux élections. On a le sentiment que la conférence de Juba cette fois ci est bonne chance pour les autres parties sudistes qui avaient unifié ses politiques pour que le SPLM ne soit pas la seule force qui décide la future du sud

Le Front révolutionnaire sous le siège!

L'armée soudanaise a assiégé de nombreux endroits sous le contrôle des rebelles de ce qu'on appelle le Front révolutionnaire au Sud Kordofan.

Selon le journal électronique SoudanSafari, l'armée impose un contrôle sur les axes majeurs des champs de bataille. En conséquence, les rebelles soit se rendre en raison du manque de fournitures ou fuir au Sud-Soudan..

La campagne militaire est venue suite à un plan mis en place par l'armée soudanaise la semaine dernière pour mettre fin à la rébellion armée dans la région soudanaise de Darfour et les Etats du Nil Bleu et du Sud Kordofan à la fin de 2014.

Commentant les raids , le parlement du Soudan a déclaré que l'armée soudanaise assiège la coalition rebelle de ce qu'on appelle le Front Révolutionnaire et les positions du secteur du nord du SPLM dans plusieurs zones dans l'État du sud Kordofan , y compris celles à l'ouest de Deling et à l'Est du Jabal .

Le chef du sous-comité parlementaire sur les relations étrangères, de la sécurité, et de la Défense, Mohamed Al- Hassan Al- Amin, a déclaré dimanche que front révolutionnaire réalisé des victoires dans l'Est des zones de Jabal et ayant déménagé vers les positions du front révolutionnaire et du secteur du nord au cours de dernières quelques jours.

Il a qualifié l'attaque rebelle sur Kadogli de rien d'autre qu'une tentative de prouver l'existence.

Les Forces armées soudanaises ont exhorté les rebelles à se rendre, révélant qu'ils ont des options étroites en raison du manque de fournitures.

Suite à la confrontation à Abu Karshola, l'armée soudanaise a adopté une tactique basée sur des informations précises sur les bases et l'existence des rebelles dans la région.

Quand les rebelles du front révolutionnaire ont réalisé la campagne massive imminente par l'armée soudanaise, ils ont quitté pour l'Europe à la recherche d'un soutien logistique. Mais ils ne parviennent pas à atteindre les objectifs de leur tournée européenne, parce que les pays de l'Union européenne ne sont pas convaincus de leurs motivations.

Les leaders rebelles ont sollicité l'appui d'un règlement pacifique. Le front révolutionnaire, les médias fait, a des orientations ethniques et tribales, c'est pourquoi il manque de soutien interne entre les Soudanais et les partis politiques

Donald Booth et le malheur

L'envoyé américain pour le Soudan, Donald Booth est enfin arrivé à Khartoum de Juba au milieu de refus par les autorités ici pour les rencontrer, sauf qu'il a une nouvelle idée sur l'amélioration des relations Soudano-Américaines.

Le Ministère Soudanais des Affaires Etrangères a exprimé qu'il n'était pas placé d'espoir sur la visite du nouvel ambassadeur à moins qu'il ait un plan clair à œuvrer pour la levée des sanctions économiques contre le Soudan et la normalisation des relations bilatérales.

Le Ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Karti a dit que Booth, qui a été nommé l'Août dernier, devrait venir avec une "feuille de route" pour résoudre les questions entre les deux pays.

"Si le nouveau représentant américain a une feuille de route claire pour les relations entre Khartoum et Washington, notamment en aidant à résoudre les dossiers restants, nous nous félicitons de ce rôle, mais si il va à d'autres questions, nous allons certainement s'éloigner de lui", a déclaré Karti.

Les autorités soudanaises n'ont donné la confirmation sur la visite en raison de l'imprudence de l'administration des États-Unis avec le dossier des liens bilatéraux et le remaniement complet commençant par la présidence de la République et le conseil des ministres au Soudan.

Les États-Unis n'ayant pas réussi à honorer sa promesse de lever les sanctions économiques sur le Soudan si ils ont contribué à faciliter le référendum du Sud-Soudan et formellement ayant reconnu ses résultats.

Malgré les efforts incessants de Khartoum pour normaliser les liens, Washington a continué à renouveler les sanctions.

M. Booth est venu à Khartoum avec seulement Abyei, zone litigieuse riche de pétrole entre le Soudan et le sud Soudan. Washington cherche seulement à avoir une garantie de Khartoum à résoudre la zone contestée d'Abyei selon les souhaits américains et du Sud-Soudan.

Malheureusement, Juba ne dispensera pas avec le Soudan pour les facteurs économiques. Cela a été traduit par le remaniement ministériel à la fin de laquelle le président Kiir s'est débarrassé de figures de la ligne dure entravant le progrès des relations de coopération avec le Soudan voisin.

Al-Bachir fait un appel téléphonique avec Salva Kiir

Le Président soudanais, Maréchal Omar Al-Bachir, a fait lundi un appel téléphonique avec le président de la République du Sud-Soudan, Salva Kiir, à travers lequel il a assuré la stabilité de la situation sécuritaire à Juba suite aux incidents qui ont eu lieu dimanche soir et lundi matin

Le Président Al-Bachir a souligné l'importance de la sécurité et de la stabilité dans l'Etate du Sud-Soudan pour l'intérêt des deux peuples frères

 

Le Président Salva Kiir a remercié le Président Al-Bachir pour son appel et son souci de la situation à Juba, affirmant que la situation est maintenant sous contrôle

Des rapports de presse indiquent que Juba ville a vu dimanche soir et lundi matin des affrontements entre deux groupes rivaux de gardes républicains de l'armée du Sud-Soudan

Rebelles de Darfour soient à se joindre à la paix ou être écrasés

Le représentant spécial de l'Union africaine-Nations Unies / médiateur en chef conjoint Muhamed Ibn Chambas ainsi que le Président Tchadien, Idris Deby ont entrepris de grands efforts pour engager les autres mouvements non signataires dans le processus de paix de Doha.

La semaine dernière a vu des efforts intensifs pour ouvrir la voie et convaincre les mouvements rebelles de Darfour à rejoindre le processus de paix en cours à Doha. Les groupes rebelles hésitent à négocier avec le Gouvernement Soudanais.

Mais cette position est considérée comme pas positif parce qu'ils (les rebelles) ont fait marche arrière sur la position précédente rejetant toute négociation avec Khartoum.

Ibn Chambas a organisé un forum à Addis-Abeba avec des groupes non signataires représentant l'Armée de libération du Soudan Mini Minawi et le Mouvement de la justice et d'égalité (MJE). Les trois- réunion d'une journée est le deuxième atelier de travail après celle première organisée à Arusha, en Tanzanie Août dernier.

La MINUAD est actuellement responsable de la paix au Darfour, insiste sur la fin de la crise avant la fin de l'affectation. Il cherche à amener les rebelles du Darfour à la négociation.

Les mouvements de Darfour n'ont pas d'autre choix que de négocier avec le gouvernement soudanais contraire la communauté internationale dont la patience a manqué fera pression et arrêter de soutenir les rebelles.

Les groupes rebelles ont à se désengager de Front révolutionnaire soudanais. Le sud Soudan a fait et regroupe parrainé sera bientôt dissoute à la suite de la compréhension commun et les accords de sécurité entre Juba et Khartoum.

Le FRS qui représente le secteur du nord a subi de lourdes défaites par l'armée soudanaise dans toutes les lignes de front. Les rebelles de Darfour doivent attraper le train et apprendre la leçon parce que l'armée soudanaise est déterminée à lutter contre les mouvements rebelles cet été.

Lors de sa rencontre avec Ibn Chmbas la semaine dernière, le président Tchadien Idriss Deby a dit que si les groupes rebelles de Darfour ne s'asseyent pas aux négociations, la sécurité régionale sera à risque.

Le Tchad cherche à résoudre la crise au Darfour à cristalliser la coopération de sécurité conjointe atteint il ya quatre ans avec le Soudan. Selon l'accord, les deux pays ont formé une patrouille conjointe pour éliminer toute manifestation d'activités armées à travers les frontières.

Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine a appelé les rebelles non-signataires à s'engager dans les pourparlers sans condition avec le gouvernement de Khartoum et a menacé de prendre des mesures non spécifiées contre eux.

Le FRS ou on dit le secteur du nord du SPLM utilise les rebelles Daruri pour donner la communauté internationale l'impression que la crise existe toujours et garde les rebelles combattant pour arriver au règlement holistique.

Le plus grand défi dans le conflit de Darfour est aujourd'hui les divisions. Ces divisions ont créé des malentendus et la méfiance au sein des groupes armés de Darfour.

En outre, ils continuent jouer un rôle négatif dans la région, en faisant la paix difficile à réaliser.

L'envoyé du Soudan à l'ONU accuse la CPI de jouer le rôle d'ennemi politique contre le Soudan

L'envoyé permanent du Soudan auprès les Nations Unies , l'Ambassadeur Dafa'alla Al -Haj Ali , a accusé la Cour Pénale Internationale ( CPI), de jouer un rôle de l'ennemi politique contre le Soudan .
Cela a est arrivé lors qu'il a adressé la séance du Conseil de sécurité mercredi attribué pour l'examen du rapport final de la ( CPI)sur la région du Darfour .

L'ambassadeur Dafa'alla a réitéré le refuse du Soudan de reconnaître la Cour pénale internationale et de traiter avec elle en considération que le Soudan n'est pas signataire de la Charte de Rome soulignant la décision du sommet africain d'urgence qui s'est tenue à Addis-Abeba en Octobre dernier, qui a affirmé que l'Afrique a perdu la confiance de la Cour Pénale Internationale .
L'envoyé permanent du Soudan a souligné le rôle du procureur général pour les crimes commis au Darfour dans les enquêtes et les procès dans la région du Darfour une chose qui affirme l'efficacité et la capacité du système judiciaire soudanais pour réaliser la justice.

Le vice-président réitère l'appel aux porteurs d'armes à joindre le processus de la paix

Le vice-président de la République, Hassabo Mohammad Abdul Rahman a renouvelé l'appel aux porteurs d'armes à recourir à la voix de la raison et joindre le processus de la paix.
Lorsqu'il s'adressait vendredi à la rencontre des fils du Darfour dans le quartier de Kafouri à Khartoum, le vice-président a salué l'initiative de la population du Darfour lancées par le haut mécanisme de décision du Forum d'Omjaras à rassembler les dirigeants du Darfour pour discuter les moyens de la restauration de la paix et de la sécurité à la région.
Il a souligné que les gens du Darfour sont capables de faire plus d'efforts pour arrêter la guerre et apporter la paix et la stabilité dans la région.
Il a souligné que le changement annoncé par le gouvernement se continue pour comprendre tous les établissements de l'Etat, et a rendu hommage à M. Ali Osman Mohamed Taha et Dr Al Haj Adam et M. Ahmed Ibrahim al-Tahir et Dr Nafie Ali Nafie qui ont laissé leurs postes volontairement pour faire place à de nouvelles réformes.
Pour sa part, M. Mohammed Bouchara Dossa, ministre de la Justice a exprimé l'espoir sur l'unification du rang de la population du Darfour en vue d'y réaliser la paix et la stabilité.

Les rebelles Soudanais restent recruter des enfants

Le Front révolutionnaire Soudanais enlève et force des enfants au Sud-Kordofan et au Nil Bleu pour les envoyer aux lignes de front. Les rebelles soudanais recrutent également des enfants en raison de la lacune de troupes suffisantes pour lutter contre le gouvernement. Ils les poussent aux champs de bataille.

Les mouvements rebelles recrutent des enfants en raison de leur immaturité émotionnelle et physique, les enfants sont faciles à manipuler et peuvent être entraînés dans une violence du fait qu'ils sont trop jeunes pour résister ou comprendre.

Les enfants sont tués ou blessés à des taux beaucoup plus élevés que leurs camarades adultes. Ceux qui survivent souffrent souvent des traumatismes, des blessures, abus, et cicatrices psychologiques de la violence et de la brutalité qu'ils éprouvent.

Certains sont rejetés par leurs familles et communautés. La plupart perdent l'opportunité d'acquérir une éducation, des compétences professionnelles, ou tout espoir pour l'avenir.

Les enfants sont engagés dans l'attaque contre Abu Karshola, Um Rawaba et Abu Zabad. Ils ont également été utilisés dans l'attaque sur Omdurman en 2008 réalisée par le mouvement de la Justice et d'égalité.

Un membre éminent dans la pro paix au secteur du nord, Maj. Gén. Daniel Kodi, a appelé les organisations internationales à arrêter ce phénomène.

Il a révélé que le recrutement et les opérations d'entraînement militaire pour les enfants dans le camp de Yida dans l'État d'Unité, ajoutant que cela viole les chartes internationales des droits de l'homme.

Il a révélé que le FRS a perdu toutes ses forces dans les récentes batailles à Abu Karshola et Abu-Zabad et est maintenant pratiqué tromper les enfants et de les recruter en tant qu'enfants soldats.

En sa qualité de son ancien leader rebelle et native de Sud Kordofan, Gen Kodi connaît la mentalité des leaders rebelles et leur plan de recrutement de plus d'enfants.

Le recrutement des enfants est un autre type de guerre lancée par les rebelles du FRS contre leur peuple et de la patrie comme ils ont l'intention de garder la guerre déclenche dans la région.

La pratique de l'enfant soldat est largement condamnée par les  Etats-Unis. Ce dernier a exhorté les rebelles soudanais à cesser de recruter des soldats parmi les enfants dans le Sud-Kordofan et le Nil Bleu.

Source gouvernementale qualifie d'intervention dans les affaires intérieures du Soudan la déclaration de l'ancien envoyé Américain

Une source gouvernementale a critiqué les déclarations de l'ex-envoyé Américain pour le Soudan, Princeton Lyman, qui ayant suggéré le report des élections au Soudan pour deux ans, la conduite des réformes et la formation d'un gouvernement à base élargie pour la réalisation des réconciliations entre les partis soudanais 
La source a considéré comme intervention dans les affaires intérieures du Soudan les déclarations de Princeton Lyman, ajoutant que Lyman est une personne normale qui n'assume pas de statut officiel

Dans une déclaration à la press, il a indiqué que de telles questions doivent décider par les Soudanais eux-mêmes, mais pas les étrangers
Il a dit que, durant son mandat au Soudan, M. Lyman n'a pas de contribution significative à conseiller son gouvernement d'adopter une position objective et constructive à l'égard du Soudan et de mettre fin à ses positions injustes contre le Soudan

L’Envoyé Américains au Soudan : la mission futile

Le Soudan n'a pas le droit de bloquer la nomination des envoyés américains, parce que c'est une affaire intérieure, mais il a le droit de se renseigner sur la signification des émissaires à venir et sortantes.

Selon les lois internationales, les envoyés sont nommés pour résoudre les questions urgentes et pas compliquer les situations, mais les envoyés américains n'ont jamais réglé les questions cruciales entre Washington et Khartoum ou les questions fondamentales entre le Soudan et le sud Soudan.

Par exemple, la durée de l'envoyé spécial américain pour le Soudan, M. Andrew S. Natsios était pleine de problèmes et de complications. L'envoyé a clairement tenté de déclencher une nouvelle guerre entre les deux Soudan et a exhorté son pays à fournir Juba avec les armes pour atteindre la victoire sur Khartoum. Ses appels ont exposé ses volontés malhonnêtes.

Contrairement Natsios , l'ambassadeur Scott Gartion a exhorté l'administration américaine d'abandonner les sanctions économiques . M. Gration , un général de l'armée à la retraite , a déclaré que le maintien de la désignation pour le Soudan serait une "décision politique " qui a été " soutenue par pas d’évidence  " et a été entravé les objectifs de développement des États-Unis .

Il a admis déclaré que Khartoum coopère dans la lutte mondiale contre le terrorisme et que ce qui s'est passé au Darfour n'était plus le génocide .

En ce qui concerne le nouvel envoyé, Donald E Booth, les ministres soudanais des Affaires étrangères a déclaré que le Soudan met moins l'accent sur les envoyés américains, sauf qu'il se lance dans l’amélioration des relations soudano- américaines. Depuis la nomination du premier ambassadeur, les relations soudano- américaines n'ont pas vu d’amélioration ou de changement.

Le nouvel envoyé des États-Unis devrait venir seulement avec une feuille de route claire pour résoudre les problèmes entre les deux pays (le Soudan et les États-Unis ) , a déclaré le ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Karti .

Bien que le Soudan a facilité le référendum du Sud-Soudan et formellement reconnu ses résultats et a exercé de grands efforts pour normaliser les relations avec Washington , États-Unis n'ayant pas tenu sa promesse de lever ou alléger les sanctions économiques .

Le gouvernement soudanais a besoin de réviser ses politiques avec les envoyés des États-Unis . L'expérience a mal infligé le  Soudan , il est temps pour le gouvernement soudanais de reconsidérer son point de vue à l'égard des envoyés successifs qui n'ont pas mener à bien leur mission , sauf pour Scott Gration , qui était juste avec le Soudan au cours de son mandat .

Les Journaux israéliens révèlent le soutien israélien aux rebelles du FRS

Dernière Novembre , les journaux officiels israéliens ont divulgué le chiffre élaboré sur le soutien logistique fourni par Israël au Front révolutionnaire du Soudan en 2012 et 2013 dans un plan pour lutter contre le gouvernement soudanais

Selon les documents officiels , le gouvernement israélien a rendu chars, véhicules blindés , des munitions et des missiles anti-avions estimés à 100mln de dollars américains pour permettre aux rebelles soudanais de faire progresser et d'occuper plus de villes en suivant les tactiques israéliennes

Ces supports logistiques ont été offerts aux rebelles dans le sud Kordofan et le Nil Bleu. Selon le rapport que le budget de la gestion pour les rebelles dans les deux Etats ayant également été offert par Israël ayant estimé de  9m dollars américains, y compris les rémunérations personnelles aux dirigeants rebelles à savoir Malik Agar , Abdel Aziz Al Hilo , Yasir Arman , Mubarak Al Fadil , Abdel Wahid Muhamed Nur et Nasreldeen Al Hadi Al Mahdi .

Le parti Likoud a apprécié la coopération existante entre les deux côtés, en particulier parmi les développements actuels dans la région . L’Israélien planifie de rendre le Soudan hors de l'équation de se sentir libre pour d'autres défis et de renforcer sa sécurité nationale

Les deux FRS et Israël ont des vues typiques de restructuration le Soudan soutenu par la plupart des soi-disant les Forces de consensus national. Certains des partis politiques soudanais ont rejoint le programme de rebelle basé sur la lutte armée contre Khartoum afin de partager le gâteau quand ils arrivent au pouvoir

 

L'intrigue d’Israël contre le Soudan a été exprimée par Avi Dichter , un ancien chef de Shin Bet et ancien ministre de la sécurité intérieure israélien

«Nous avons dû affaiblir le Soudan et le priver de l'initiative de construire un Etat fort et uni. Cela est nécessaire pour augmenter et à renforcer la sécurité nationale d’Israël. Nous avons produit et a intensifié la crise de Darfour d’éviter le Soudan de développer ses capacités “

Dichter a déclaré que son ami , l'ancien Premier ministre israélien Ariel Sharon a été celui qui a le premier pensé à perturber Darfour , et son idée a fonctionné efficacement , tout comme Israël a voulu

Pour entraver le rôle du Soudan sur la scène arabe Israël envisage de porter atteinte au Soudan en créant de multiples crises et la diffusion de ses efforts et de gaspiller ses ressources pour former le Soudan purement africain et laïque

Sudan participe à la a réunion ministerielle africaine à Addis-abeba la semaine prochaine

Le Soudan a participé à la réunion de la conférence ministerielle africaine qui aura lieu les16-17 decembre à Addis-Abeba.
Le consiel ministeriel africain entendra un rapport de sa délégation qu'il a envoyée au Conseil de securite de l'ONU en vue de reporter le proces du president kenyan et que le Conseil de Sécurité a rejete la demande de l'Union africaine.
Une source diplomatique a déclaré à la Press , que le rejet du conseil de sécurite de l'ONU à la demande de l'Afrique est une preuve que la CPI utilise certains membres du conseil de securite et de puissances internationales pour punir les dirigeants africains dont les orientations politiques ne répondent pas à la volonté de ces pouvoirs.
La source diplomatique s'interroge: pourquoi le Conseil de securite des Nation unies ne donne aucune consideration au consensuus africain et à la population qu'elle a choisis le président, ajoutant que cela était la deuxième fois que le conseil de sécurite de l'ONU a rejeté une demande de l'Union Africaine à cet égard.

La France importe plus de la moitié de la gomme arabique au Soudan

http://news.sudanvisiondaily.com/details.html?rsnpid=229916

Les Journaux israéliens révèlent le soutien israélien aux rebelles du FRS

Dernière Novembre , les journaux officiels israéliens ont divulgué le chiffre élaboré sur le soutien logistique fourni par Israël au Front révolutionnaire du Soudan en 2012 et 2013 dans un plan pour lutter contre le gouvernement soudanais .

Selon les documents officiels , le gouvernement israélien a rendu chars, véhicules blindés , des munitions et des missiles anti-avions estimés à 100mln de dollars américains pour permettre aux rebelles soudanais de faire progresser et d'occuper plus de villes en suivant les tactiques israéliennes .

Ces supports logistiques ont été offerts aux rebelles dans le sud Kordofan et le Nil Bleu. Selon le rapport que le budget de la gestion pour les rebelles dans les deux Etats ayant également été offert par Israël ayant estimé de  9m dollars américains, y compris les rémunérations personnelles aux dirigeants rebelles à savoir Malik Agar , Abdel Aziz Al Hilo , Yasir Arman , Mubarak Al Fadil , Abdel Wahid Muhamed Nur et Nasreldeen Al Hadi Al Mahdi .

Le parti Likoud a apprécié la coopération existante entre les deux côtés, en particulier parmi les développements actuels dans la région . L’Israélien planifie de rendre le Soudan hors de l'équation de se sentir libre pour d'autres défis et de renforcer sa sécurité nationale.

Les deux FRS et Israël ont des vues typiques de restructuration le Soudan soutenu par la plupart des soi-disant les Forces de consensus national. Certains des partis politiques soudanais ont rejoint le programme de rebelle basé sur la lutte armée contre Khartoum afin de partager le gâteau quand ils arrivent au pouvoir.

L'intrigue d’Israël contre le Soudan a été exprimée par Avi Dichter , un ancien chef de Shin Bet et ancien ministre de la sécurité intérieure israélien .

«Nous avons dû affaiblir le Soudan et le priver de l'initiative de construire un Etat fort et uni. Cela est nécessaire pour augmenter et à renforcer la sécurité nationale d’Israël. Nous avons produit et a intensifié la crise de Darfour d’éviter le Soudan de développer ses capacités “.

Dichter a déclaré que son ami , l'ancien Premier ministre israélien Ariel Sharon a été celui qui a le premier pensé à perturber Darfour , et son idée a fonctionné efficacement , tout comme Israël a voulu .

Pour entraver le rôle du Soudan sur la scène arabe Israël envisage de porter atteinte au Soudan en créant de multiples crises et la diffusion de ses efforts et de gaspiller ses ressources pour former le Soudan purement africain et laïque.

Examen des relations entre le Soudan et le Koweït

Le gouverneur de la Banque Centrale du Soudan (BCS) Dr. Mohamed Khair Al- Zubair a examiné avec le nouvel ambassadeur du Koweït M. Talal Mansour Al Hajri les relations entre le Soudan et le Koweït et les moyens de la coopération économique et d' investissement entre les deux pays ainsi que le rôle du secteur privé koweïtien à investir au Soudan .
Le gouverneur de BCS a fait l'éloge le rôle de l'Etat du Koweït et de l'aide estimé fourni au Soudan en plus des prêts dans le domaine de l'industrie et de l'agriculture ainsi que les investissements dans le secteur des télécommunications , de l'immobilier en souhaitant le succès de l'ambassadeur dans son travail au Soudan.

L'expert indépendant pour les droits de l'homme se rendre au Soudan

L'expert indépendant pour les droits de l'homme Massoud, Padren prévu au Soudan le 16 de Décembre courant pour participer aux célébrations de la Journée mondiale du Soudan pour les droits de l'homme, qui commencera le dixième de Décembre
Selon la press  que l'expert indépendant présentera , au cours de la visite, des conférences sur les droits de l'homme un certain nombre d'universités.
Il est à noter que l'expert indépendant a visité le Soudan avant dans le cadre de sa mission et qu'il a également présenté un rapport sur la situation des droits de l'homme au Soudan au cours des réunions du Conseil des droits de l'homme à Genève le Septembre dernier

Le Président Soudanais inaugure la ligne transporteur d'électricité entre le Soudan et l'Ethiopie

Le Président Soudanais, Maréchal Omar Al-Bachir, a inauguré mercredi avec la participation du Premier ministre éthiopien, la Ligne de transporteur d'électricité entre le Soudan et l'Ethiopie en présence d'un certain nombre de ministres fédéraux et un grand nombre de citoyens.

Pendant ce temps, le Président Al-Bachir a annoncé l'accord du Soudan et de l'Ethiopie à établir une zone de libre-échange pour stimuler le commerce entre les deux pays.

Le Premier ministre éthiopien a également adressé la cérémonie d'inauguration pour remercier les citoyens de Gedarif qui ont soutenu le peuple éthiopien pendant la période du colonialisme.

Il a dit que la mise en œuvre du projet de liaison électrique entre le Soudan et l'Ethiopie sera suivie par d'autres projets pour consolider davantage les relations bilatérales entre les deux peuples, en se référant aux accords qu'il a discutés avec le Président Al-Bachir mardi à Khartoum.

Le Wali de l'Etat de Gedaref, Al-Daw Mohamed Al-Mahi, a apprécié les liens de bon voisinage entre les peuples soudanais et éthiopiens, affirmant le souci du Soudan de maintenir ces relations.

Le ministre de l'Electricité et des Barrages, Oussama Abdalla, a affirmé la continuité des efforts déployés pour mettre en place davantage de projets conjoints pour l'intérêt des peuples soudanais et éthiopiens.

les prochaines négociations avec les rebelles du secteur du nord perte de temps

La semaine dernière, le Gouvernement Soudanais a annoncé sa disposition à reprendre les négociations durant les prochains jours avec les rebelles du secteur du nord sur le Nil Bleu et le sud Kordofan sous les auspices du haut comité de l'Union africaine.

Le Soudan a indiqué que le gouvernement se tient au côté des  principes et les fondements de la communauté internationale, représentée par le Conseil de sécurité de l'ONU et le comité de haut niveau de l'UA.

Au cours des derniers jours, l'équipe de négociation du Soudan a eu des entretiens directs avec les médiateurs sur la possibilité de reprendre les négociations sur les deux régions.

La décision du gouvernement de reprendre les négociations avec le secteur du nord n'est pas les résultats d'une pression extérieure, a déclaré le membre de l'équipe de négociation.

Le Soudan a notifié le président du comité de l'UA, Thabo Mbeki de leur disposition et le timing du nouveau ronde et que les discussions porteront sur les deux zones seulement.

Le gouvernement a souligné l'implication des parties prenantes dans les négociations, car il est injuste de les exclure. Le secteur du nord a trompé la communauté internationale quand il a affirmé qu'il représente la volonté de la majorité des Soudanais.

Khartoum rejette cependant la demande pour l'approche holistique proposant l'engagement des groupes rebelles Darfouriens, affirmant que le forum de Doha a été créé principalement pour faire face à la crise de Darfour.

Le secteur du nord est responsable de l'échec de précédente ronde de pourparlers de paix, car il n'a pas de volonté et de désir de dialogue et de solution pacifique.

Les rebelles ne veulent pas prendre la cape étrangère. Leurs récentes déclarations soulignent que la volonté du secteur du nord  est contrôlée par des parties étrangères.

Le prochain ronde de négociations, donc, est une perte de temps puisque les leaders rebelles sont peu sérieux à régler pacifiquement le conflit.

Ils soulèvent seulement les barres devant tout effort sérieux pour mettre fin au conflit. Ils se penchent dans le renversement du gouvernement légitime au Soudan.

La Mission de la MINUAD coûteuse malgré la faible performance

La résolution 2063 du Conseil de Sécurité pour 2012 de réduire le nombre des forces de maintien de la paix de la MINUAD au Darfour de 26, 000 personnes (en plus de 5,900 troupes et police) a souligné l'inefficacité de la mission.

Depuis la force hybride de maintien de la paix a assumé sa mission en 2007, la mission est devenue un fardeau financier et a vu l'échec après l'échec d'assumer son devoir ou même de se défendre contre les attaques des rebelles.

Jusqu'à présent, la communauté internationale a dépensé environ de 15 milliards de dollars qui sont tout à fait suffisante pour résoudre les problèmes de développement d'infrastructure dans la région.

La MINUAD a ni arrêté la violence ni la souffrance au Darfour, ni la confiance en capacité de l'ONU pour restaurer la paix et la sécurité dans la région.

L'augmentation du nombre et de la fréquence des incidents d'agression contre les soldats et le personnel de la MINUAD indique que la force de maintien de la paix est faible pour protéger même elle -même.

Leur incapacité à défendre et se protéger contre cette attaque, et à assumer d'autres tâches, a conduit à de nombreuses questions.

Pour combien de temps, l'Opération hybride restera–t-elle dans la zone? Pendant combien de temps faut-il compter sur l'armée Soudanaise à protéger son personnel contre les attaques de rebelles?

Les incidents fréquents effectués par les groupes rebelles au milieu de la présence de la force hybride donnera une indication que le Soudan est un pays contrôlable.

Dans les deux cas, la présence de la force fragile dans la région a été au détriment de la souveraineté du Soudan. Le Soudan a payé un prix élevé pour la médecine inefficace.

Vraiment, si elles ne sont pas capables de se protéger, elles ne peuvent pas protéger les civils.

Les relations soudano- l'Ethiopienn

 Le Ministre des Affaires Etrangères,   a qualifié les relations du Soudan avec l'Ethiopie de grande et progresse dans le domaine de la coopération politique.
Il a dit dans une déclaration à la presse à l'aéroport de Khartoum après l'arrivée du Premier ministre éthiopien, Haile-Mariam Desalegn mardi que les relations économiques entre les deux pays sont en dessous de l'aspiration des deux peuples frères, notant que les accords qui sont attendus d'être signés sont destinés pour élever le niveau de coopération entre les deux pays dans ce domaine.

le ministre a fait allusion aux réunions importantes entre le Soudan et l'Ethiopie sur le niveau du comité technique (experts) qui se sont soldées par des notes d'entente et des accords qui seront signés par les leaders du Soudan et de l'Ethiopie.

Il a indiqué que le Premier ministre éthiopien se rendra mercredi à l'Etat de Gedarif pour participer au lancement de la ligne de transporteur d'électricité et de visiter le barrage de Merowe, ajoutant que mercredi soir verra une cérémonie pour la signature des accords et des programmes exécutifs entre le Soudan et l'Ethiopie.

Le deuxième forum économique réussie malgré la proposition de l'opposition

Le Congrès National au pouvoir a comme toujours laissé la porte ouverte devant une large participation dans les questions nationales, mais l'opposition est toujours s'abstenir et boycotter tous les mouvements initiés par le gouvernement en faveur du peuple.

L'opposition estime que servir les questions nationales et la relance de l'économie ne va renforcer le gouvernement et rester au pouvoir pour longtemps, oubliant les souffrances des citoyens.

Historiquement, l'opposition n'a pas de vision intégrée pour résoudre la crise soudanaise et gouverner le pays. Les deux partis de la coalition qui composaient le gouvernement en 1986 n'ont pas réussi à atteindre les objectifs nationaux. Ils ont seulement réussi à échanger les blâmes et les insultes.

L'opposition soudanaise, cependant, est complètement dans l'erreur quand il a cependant estimé que le deuxième forum économique qui a eu lieu les 23 et 24 Novembre afin de discuter l'implémentation de la réforme économique est prématurée et ne parviendra pas à résoudre la crise économique dans le pays.

Aucunes recommandations ou de résolution seront considéré et que le gouvernement va enfin faire ce qu'il veut mettre en œuvre, a précisé les dirigeants de l'opposition.

Le forum s'est terminé avec succès contre les vœux de l'opposition. Environ de 70 experts économiques ont librement débattu des questions et présenté des solutions scientifiques.

Environ de deux tiers des participants sont venus de l'étranger représentant les organisations internationales et régionales, y compris des Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque islamique de développement basée à Jeddah.

S'adressant à la séance de clôture du Forum économique, le premier vice-président soudanais, Ali Osman Taha, a annoncé la formation d'un mécanisme de suivi l'implémentation des recommandations et des décisions du forum, affirmant la présidence donnera le souci de résultats du Forum économique et le suivi de sa mise en œuvre sur le terrain.

Il a dit qu'une partie de la recommandation nécessite l'adoption immédiate par les cercles et les secteurs concernés, une partie des recommandations concerne court et long terme des politiques générales, une partie des recommandations seront absorbés dans le budget général et une partie d'entre eux se rapporte à un réexamen des politiques et les arrangements des priorités de l'État.

Taha a annoncé la formation d'un mécanisme spécialisé de dialogue sur les résultats du forum vers la formulation d'un document pour les cinq prochaines années.

Le Premier Vice - Président a souligné que la mise en œuvre des recommandations du forum nécessite une forte volonté, offrant une atmosphère politique appropriée et la participation de la société dans le processus de développement.

Il a souligné le rôle important du citoyen en tant que producteur et partenaire majeur dans la mise en œuvre des politiques. Il a appelé les autorités concernées à la hauteur de leur rôle d'informer et d'orienter les citoyens pour augmenter la production.

La recommandation reçue par le premier vice-président sera soit tangible et efficace dans la période à venir à court. Ces résultats vont gérer la balance des paiements et des taux de change.

Le Deuxième Forum économique a coïncidé avec les plans du gouvernement pour les réformes économiques dans le pays, a déclaré la tête du forum, notant que le gouvernement a l'intention d'équilibrer efficacement entre l'économie nationale et ses politiques d'implémentation.

Le deuxième forum économique réussie malgré la proposition de l'opposition

Le Congrès National au pouvoir a comme toujours laissé la porte ouverte devant une large participation dans les questions nationales, mais l'opposition est toujours s'abstenir et boycotter tous les mouvements initiés par le gouvernement en faveur du peuple.

L'opposition estime que servir les questions nationales et la relance de l'économie ne va renforcer le gouvernement et rester au pouvoir pour longtemps, oubliant les souffrances des citoyens.

Historiquement, l'opposition n'a pas de vision intégrée pour résoudre la crise soudanaise et gouverner le pays. Les deux partis de la coalition qui composaient le gouvernement en 1986 n'ont pas réussi à atteindre les objectifs nationaux. Ils ont seulement réussi à échanger les blâmes et les insultes.

L'opposition soudanaise, cependant, est complètement dans l'erreur quand il a cependant estimé que le deuxième forum économique qui a eu lieu les 23 et 24 Novembre afin de discuter l'implémentation de la réforme économique est prématurée et ne parviendra pas à résoudre la crise économique dans le pays.

Aucunes recommandations ou de résolution seront considéré et que le gouvernement va enfin faire ce qu'il veut mettre en œuvre, a précisé les dirigeants de l'opposition.

Le forum s'est terminé avec succès contre les vœux de l'opposition. Environ de 70 experts économiques ont librement débattu des questions et présenté des solutions scientifiques.

Environ de deux tiers des participants sont venus de l'étranger représentant les organisations internationales et régionales, y compris des Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque islamique de développement basée à Jeddah.

S'adressant à la séance de clôture du Forum économique, le premier vice-président soudanais, Ali Osman Taha, a annoncé la formation d'un mécanisme de suivi l'implémentation des recommandations et des décisions du forum, affirmant la présidence donnera le souci de résultats du Forum économique et le suivi de sa mise en œuvre sur le terrain.

Il a dit qu'une partie de la recommandation nécessite l'adoption immédiate par les cercles et les secteurs concernés, une partie des recommandations concerne court et long terme des politiques générales, une partie des recommandations seront absorbés dans le budget général et une partie d'entre eux se rapporte à un réexamen des politiques et les arrangements des priorités de l'État.

Taha a annoncé la formation d'un mécanisme spécialisé de dialogue sur les résultats du forum vers la formulation d'un document pour les cinq prochaines années.

Le Premier Vice - Président a souligné que la mise en œuvre des recommandations du forum nécessite une forte volonté, offrant une atmosphère politique appropriée et la participation de la société dans le processus de développement.

Il a souligné le rôle important du citoyen en tant que producteur et partenaire majeur dans la mise en œuvre des politiques. Il a appelé les autorités concernées à la hauteur de leur rôle d'informer et d'orienter les citoyens pour augmenter la production.

La recommandation reçue par le premier vice-président sera soit tangible et efficace dans la période à venir à court. Ces résultats vont gérer la balance des paiements et des taux de change.

Le Deuxième Forum économique a coïncidé avec les plans du gouvernement pour les réformes économiques dans le pays, a déclaré la tête du forum, notant que le gouvernement a l'intention d'équilibrer efficacement entre l'économie nationale et ses politiques d'implémentation.

Le deuxième forum économique réussie malgré la proposition de l'opposition

Le Congrès National au pouvoir a comme toujours laissé la porte ouverte devant une large participation dans les questions nationales, mais l'opposition est toujours s'abstenir et boycotter tous les mouvements initiés par le gouvernement en faveur du peuple.

L'opposition estime que servir les questions nationales et la relance de l'économie ne va renforcer le gouvernement et rester au pouvoir pour longtemps, oubliant les souffrances des citoyens.

Historiquement, l'opposition n'a pas de vision intégrée pour résoudre la crise soudanaise et gouverner le pays. Les deux partis de la coalition qui composaient le gouvernement en 1986 n'ont pas réussi à atteindre les objectifs nationaux. Ils ont seulement réussi à échanger les blâmes et les insultes.

L'opposition soudanaise, cependant, est complètement dans l'erreur quand il a cependant estimé que le deuxième forum économique qui a eu lieu les 23 et 24 Novembre afin de discuter l'implémentation de la réforme économique est prématurée et ne parviendra pas à résoudre la crise économique dans le pays.

Aucunes recommandations ou de résolution seront considéré et que le gouvernement va enfin faire ce qu'il veut mettre en œuvre, a précisé les dirigeants de l'opposition.

Le forum s'est terminé avec succès contre les vœux de l'opposition. Environ de 70 experts économiques ont librement débattu des questions et présenté des solutions scientifiques.

Environ de deux tiers des participants sont venus de l'étranger représentant les organisations internationales et régionales, y compris des Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque islamique de développement basée à Jeddah.

S'adressant à la séance de clôture du Forum économique, le premier vice-président soudanais, Ali Osman Taha, a annoncé la formation d'un mécanisme de suivi l'implémentation des recommandations et des décisions du forum, affirmant la présidence donnera le souci de résultats du Forum économique et le suivi de sa mise en œuvre sur le terrain.

Il a dit qu'une partie de la recommandation nécessite l'adoption immédiate par les cercles et les secteurs concernés, une partie des recommandations concerne court et long terme des politiques générales, une partie des recommandations seront absorbés dans le budget général et une partie d'entre eux se rapporte à un réexamen des politiques et les arrangements des priorités de l'État.

Taha a annoncé la formation d'un mécanisme spécialisé de dialogue sur les résultats du forum vers la formulation d'un document pour les cinq prochaines années.

Le Premier Vice - Président a souligné que la mise en œuvre des recommandations du forum nécessite une forte volonté, offrant une atmosphère politique appropriée et la participation de la société dans le processus de développement.

Il a souligné le rôle important du citoyen en tant que producteur et partenaire majeur dans la mise en œuvre des politiques. Il a appelé les autorités concernées à la hauteur de leur rôle d'informer et d'orienter les citoyens pour augmenter la production.

La recommandation reçue par le premier vice-président sera soit tangible et efficace dans la période à venir à court. Ces résultats vont gérer la balance des paiements et des taux de change.

Le Deuxième Forum économique a coïncidé avec les plans du gouvernement pour les réformes économiques dans le pays, a déclaré la tête du forum, notant que le gouvernement a l'intention d'équilibrer efficacement entre l'économie nationale et ses politiques d'implémentation.

Le deuxième forum économique réussie malgré la proposition de l'opposition

Le Congrès National au pouvoir a comme toujours laissé la porte ouverte devant une large participation dans les questions nationales, mais l'opposition est toujours s'abstenir et boycotter tous les mouvements initiés par le gouvernement en faveur du peuple.

L'opposition estime que servir les questions nationales et la relance de l'économie ne va renforcer le gouvernement et rester au pouvoir pour longtemps, oubliant les souffrances des citoyens.

Historiquement, l'opposition n'a pas de vision intégrée pour résoudre la crise soudanaise et gouverner le pays. Les deux partis de la coalition qui composaient le gouvernement en 1986 n'ont pas réussi à atteindre les objectifs nationaux. Ils ont seulement réussi à échanger les blâmes et les insultes.

L'opposition soudanaise, cependant, est complètement dans l'erreur quand il a cependant estimé que le deuxième forum économique qui a eu lieu les 23 et 24 Novembre afin de discuter l'implémentation de la réforme économique est prématurée et ne parviendra pas à résoudre la crise économique dans le pays.

Aucunes recommandations ou de résolution seront considéré et que le gouvernement va enfin faire ce qu'il veut mettre en œuvre, a précisé les dirigeants de l'opposition.

Le forum s'est terminé avec succès contre les vœux de l'opposition. Environ de 70 experts économiques ont librement débattu des questions et présenté des solutions scientifiques.

Environ de deux tiers des participants sont venus de l'étranger représentant les organisations internationales et régionales, y compris des Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque islamique de développement basée à Jeddah.

S'adressant à la séance de clôture du Forum économique, le premier vice-président soudanais, Ali Osman Taha, a annoncé la formation d'un mécanisme de suivi l'implémentation des recommandations et des décisions du forum, affirmant la présidence donnera le souci de résultats du Forum économique et le suivi de sa mise en œuvre sur le terrain.

Il a dit qu'une partie de la recommandation nécessite l'adoption immédiate par les cercles et les secteurs concernés, une partie des recommandations concerne court et long terme des politiques générales, une partie des recommandations seront absorbés dans le budget général et une partie d'entre eux se rapporte à un réexamen des politiques et les arrangements des priorités de l'État.

Taha a annoncé la formation d'un mécanisme spécialisé de dialogue sur les résultats du forum vers la formulation d'un document pour les cinq prochaines années.

Le Premier Vice - Président a souligné que la mise en œuvre des recommandations du forum nécessite une forte volonté, offrant une atmosphère politique appropriée et la participation de la société dans le processus de développement.

Il a souligné le rôle important du citoyen en tant que producteur et partenaire majeur dans la mise en œuvre des politiques. Il a appelé les autorités concernées à la hauteur de leur rôle d'informer et d'orienter les citoyens pour augmenter la production.

La recommandation reçue par le premier vice-président sera soit tangible et efficace dans la période à venir à court. Ces résultats vont gérer la balance des paiements et des taux de change.

Le Deuxième Forum économique a coïncidé avec les plans du gouvernement pour les réformes économiques dans le pays, a déclaré la tête du forum, notant que le gouvernement a l'intention d'équilibrer efficacement entre l'économie nationale et ses politiques d'implémentation.

Le deuxième forum économique réussie malgré la proposition de l'opposition

Le Congrès National au pouvoir a comme toujours laissé la porte ouverte devant une large participation dans les questions nationales, mais l'opposition est toujours s'abstenir et boycotter tous les mouvements initiés par le gouvernement en faveur du peuple.

L'opposition estime que servir les questions nationales et la relance de l'économie ne va renforcer le gouvernement et rester au pouvoir pour longtemps, oubliant les souffrances des citoyens.

Historiquement, l'opposition n'a pas de vision intégrée pour résoudre la crise soudanaise et gouverner le pays. Les deux partis de la coalition qui composaient le gouvernement en 1986 n'ont pas réussi à atteindre les objectifs nationaux. Ils ont seulement réussi à échanger les blâmes et les insultes.

L'opposition soudanaise, cependant, est complètement dans l'erreur quand il a cependant estimé que le deuxième forum économique qui a eu lieu les 23 et 24 Novembre afin de discuter l'implémentation de la réforme économique est prématurée et ne parviendra pas à résoudre la crise économique dans le pays.

Aucunes recommandations ou de résolution seront considéré et que le gouvernement va enfin faire ce qu'il veut mettre en œuvre, a précisé les dirigeants de l'opposition.

Le forum s'est terminé avec succès contre les vœux de l'opposition. Environ de 70 experts économiques ont librement débattu des questions et présenté des solutions scientifiques.

Environ de deux tiers des participants sont venus de l'étranger représentant les organisations internationales et régionales, y compris des Nations Unies, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale et la Banque islamique de développement basée à Jeddah.

S'adressant à la séance de clôture du Forum économique, le premier vice-président soudanais, Ali Osman Taha, a annoncé la formation d'un mécanisme de suivi l'implémentation des recommandations et des décisions du forum, affirmant la présidence donnera le souci de résultats du Forum économique et le suivi de sa mise en œuvre sur le terrain.

Il a dit qu'une partie de la recommandation nécessite l'adoption immédiate par les cercles et les secteurs concernés, une partie des recommandations concerne court et long terme des politiques générales, une partie des recommandations seront absorbés dans le budget général et une partie d'entre eux se rapporte à un réexamen des politiques et les arrangements des priorités de l'État.

Taha a annoncé la formation d'un mécanisme spécialisé de dialogue sur les résultats du forum vers la formulation d'un document pour les cinq prochaines années.

Le Premier Vice - Président a souligné que la mise en œuvre des recommandations du forum nécessite une forte volonté, offrant une atmosphère politique appropriée et la participation de la société dans le processus de développement.

Il a souligné le rôle important du citoyen en tant que producteur et partenaire majeur dans la mise en œuvre des politiques. Il a appelé les autorités concernées à la hauteur de leur rôle d'informer et d'orienter les citoyens pour augmenter la production.

La recommandation reçue par le premier vice-président sera soit tangible et efficace dans la période à venir à court. Ces résultats vont gérer la balance des paiements et des taux de change.

Le Deuxième Forum économique a coïncidé avec les plans du gouvernement pour les réformes économiques dans le pays, a déclaré la tête du forum, notant que le gouvernement a l'intention d'équilibrer efficacement entre l'économie nationale et ses politiques d'implémentation.

MINUAD et les forces de police soudanaise discutent les moyens de renforcer la coopération

La mission conjointe ONU-UA au Darfour (UNMAID) et la police soudanaise ont organisé un atelier de travail stratégique à Khartoum sur la note d'entente signé entre eux en Août 2013, vers le renforcement des liens de coopération entre les deux parties , en présence du ministre de l'Intérieur, ingénieur Ibrahim Mahmoud Hamid, l'inspecteur général des forces de police soudanaise, le chef de la MINUAD, le coordonnateur résident des Nations Unies, le coordonnateur des affaires humanitaires au Soudan avec 100 agents de police des deux côtés, y compris les directeurs de police de cinq Etats de DarfourLe ministre de l'Intérieur a souligné que l'objectif de l'atelier est de parvenir à la paix et la stabilité au Darfour moyennant à la contribution de la MINUAD, en ajoutant que la paix ne serait pas atteindre à travers l'augmentation du nombre de soldats et de policiers, mais rendre la paix comme culture.
De son côté, le Représentant spécial adjoint de la MINUAD, Joseph Mota Boya, a déclaré dans son discours d'ouverture que la police de la MINUAD soutient les capacités de la police soudanaise au Darfour via l'amélioration des valeurs démocratiques, la suprématie de la loi et le respect des droits de l'homme, ajoutant qu'il est nécessaire de respecter et de faire respecter la loi et la disciplineLes participants ont également discuté l'amélioration des capacités des Forces de police soudanaise, la protection des communautés au Darfour, l'efficacité de la coopération et de la coordination en ce qui concerne les initiatives de la société ainsi que la discussion des différents défis

Le gouvernement de l'Etat de l'Ouest-Darfour et la délégation des donateurs convenus de fournir le soutien aux projets de services

Le gouvernement de l'Etat de l'Ouest-Darfour et la délégation des donateurs, en visite actuellement à la ville de Jineina, ont convenu de fournir le soutien à un certain nombre de projets de services dans les domaines de l'eau, de la santé et de la réhabilitation de l'hôpital de la ville Jineina ainsi que le soutien à l'université de la ville

Le Wali de l'Etat de l'Ouest-Darfour, Haider Galacoma a déclaré à la SUNA que son gouvernement a rencontré la délégation et a examiner avec elle les questions relatives aux aspects des services et des questions des personnes déplacées dans les camps, soulignant la nécessité de créer des opportunités de formation et d'échange des expériences entre la nouvelle université de Jineina et les universités européennes ainsi que le sujet de l'énergie solaire et renouvelable