Les gouvernements dans les pays du tiers monde sont exposés à des
différences internes et la lutte pour le pouvoir, d'une manière ou d'une
autre. De telle lutte est devenue normale sur la scène politique en
Afrique depuis des décennies
Lundi dernier, le président sud-soudanais, Salva Kiir a promulgué un
décret retirant les pouvoirs exécutifs qui ont été délégués à son
président Riek Machar. La décision n'a pas précisé ou donner des raisons
derrière le pas.
Bien que les différences entre le président sud-soudanais et son
adjoint, Dr Diek Machar est absolument des affaires internes, elles ont
un impact négatif sur les voisins spécialement le Soudan.
Ce n'est
pas la prédiction au sujet de la situation au Sud-Soudan, mais c'est la
réalité de la nature africaine que la lutte entre les hauts leaders est
toujours incitée par des facteurs tribaux.
Dans ce contexte, l'un des deux rivaux va se débarrasser de l'autre
par l'usage de la force et du soutien externe ou de nouvelle réalité
sera imposée par ceux qui invoquent les différences de gérer les
situations.
La lutte, en raison de motifs personnels et des facteurs tribaux,
devrait aggraver les situations à court ou à long terme. Cela se
traduira par l'obstruction d'un intérêt vital et stratégique du Soudan.
Les puits de pétrole et les pipelines ainsi que la matrice de
coopération sont trop sensibles pour être bloqué parce que par
conséquent, affectera l'autre partie qui est le Soudan.
Si la dispute se transforme en lutte armée, un grand nombre de
réfugiés sera forcé de quitter le Soudan. Ce pas va multiplier le
fardeau sur le gouvernement soudanais.
Il est clair que la tribu des Dinka tente de renforcer les pouvoirs
du Président Kiir alors que les Neur soutiennent le vice-président, Dr
Riek Machar. D'autres tribus attendent leur tour.
Trimbalement soutenue, un autre groupe dans le Sud-Soudan peut
appeler à la séparation du Sud-Soudan. Le facteur tribal restera
présent.
Mais si la lutte est pacifiquement réglé, le groupe parie sur le
soutien de Juba pour lutter contre Khartoum ne sera jamais autorisé à le
faire.
Par conséquent, c'est une chance pour le secteur du nord du mouvement
populaire à indigéniser sa question et sait que la politique est
toujours en évolution.