الأربعاء، 24 أبريل 2013

Les différences Kiir-Machar: avantages et risques

Les gouvernements dans les pays du tiers monde sont exposés à des différences internes et la lutte pour le pouvoir, d'une manière ou d'une autre. De telle lutte est devenue normale sur la scène politique en Afrique depuis des décennies
Lundi dernier, le président sud-soudanais, Salva Kiir a promulgué un décret retirant les pouvoirs exécutifs qui ont été délégués à son président Riek Machar. La décision n'a pas précisé ou donner des raisons derrière le pas.
Bien que les différences entre le président sud-soudanais et son adjoint,  Dr Diek Machar est absolument des affaires internes, elles ont un impact négatif sur les voisins spécialement le Soudan.
Ce n'est pas la prédiction au sujet de la situation au Sud-Soudan, mais c'est la réalité de la nature africaine que la lutte entre les hauts leaders  est toujours incitée par des facteurs tribaux.
Dans ce contexte, l'un des deux rivaux va se débarrasser de l'autre par l'usage de la force et du soutien externe ou de nouvelle réalité sera imposée par ceux qui invoquent les différences de gérer les situations.
La lutte, en raison de motifs personnels et des facteurs tribaux, devrait aggraver les situations à court ou à long terme. Cela se traduira par l'obstruction d'un intérêt vital et stratégique du Soudan.
Les puits de pétrole et les pipelines ainsi que la matrice de coopération sont trop sensibles pour être bloqué parce que par conséquent, affectera l'autre partie qui est le Soudan.
Si la dispute se transforme en lutte armée, un grand nombre de réfugiés sera forcé de quitter le Soudan. Ce pas va multiplier le fardeau sur le gouvernement soudanais.
Il est clair que la tribu des Dinka tente de renforcer les pouvoirs du Président Kiir alors que les Neur soutiennent le vice-président, Dr Riek Machar. D'autres tribus attendent leur tour.
Trimbalement soutenue, un autre groupe dans le Sud-Soudan peut appeler à la séparation du Sud-Soudan. Le facteur tribal restera présent.
Mais si la lutte est pacifiquement réglé, le groupe parie sur le soutien de Juba pour lutter contre Khartoum ne sera jamais autorisé à le faire.
Par conséquent, c'est une chance pour le secteur du nord du mouvement populaire à indigéniser sa question et sait que la politique est toujours en évolution.

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