الخميس، 19 ديسمبر 2013

Donald Booth et le malheur

L'envoyé américain pour le Soudan, Donald Booth est enfin arrivé à Khartoum de Juba au milieu de refus par les autorités ici pour les rencontrer, sauf qu'il a une nouvelle idée sur l'amélioration des relations Soudano-Américaines.
Le Ministère Soudanais des Affaires Etrangères a exprimé qu'il n'était pas placé d'espoir sur la visite du nouvel ambassadeur à moins qu'il ait un plan clair à œuvrer pour la levée des sanctions économiques contre le Soudan et la normalisation des relations bilatérales.
Le Ministre soudanais des Affaires étrangères, Ali Karti a dit que Booth, qui a été nommé l'Août dernier, devrait venir avec une "feuille de route" pour résoudre les questions entre les deux pays.
"Si le nouveau représentant américain a une feuille de route claire pour les relations entre Khartoum et Washington, notamment en aidant à résoudre les dossiers restants, nous nous félicitons de ce rôle, mais si il va à d'autres questions, nous allons certainement s'éloigner de lui", a déclaré Karti.
Les autorités soudanaises n'ont donné la confirmation sur la visite en raison de l'imprudence de l'administration des États-Unis avec le dossier des liens bilatéraux et le remaniement complet commençant par la présidence de la République et le conseil des ministres au Soudan.
Les États-Unis n'ayant pas réussi à honorer sa promesse de lever les sanctions économiques sur le Soudan si ils ont contribué à faciliter le référendum du Sud-Soudan et formellement ayant reconnu ses résultats.
Malgré les efforts incessants de Khartoum pour normaliser les liens, Washington a continué à renouveler les sanctions.
M. Booth est venu à Khartoum avec seulement Abyei, zone litigieuse riche de pétrole entre le Soudan et le sud Soudan. Washington cherche seulement à avoir une garantie de Khartoum à résoudre la zone contestée d'Abyei selon les souhaits américains et du Sud-Soudan.
Malheureusement, Juba ne dispensera pas avec le Soudan pour les facteurs économiques. Cela a été traduit par le remaniement ministériel à la fin de laquelle le président Kiir s'est débarrassé de figures de la ligne dure entravant le progrès des relations de coopération avec le Soudan voisin.

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