الخميس، 22 ديسمبر 2011






Le lobby de l'ONU voit jeudi un combat légal entre le Soudan et l'ONU qui s'est soldé par des excuses de l'ONU concernant un rapport sur la situation à l'Est Soudan par un fonctionnaire de l'UNDP.
Le rapport, qui a été publié sur un site Web, appartient à l'ONU, a prédit L'escalade de la situation dans l'Est Soudan en raison des réclamations de l'absence des projets de développement et la présence d'une faction armée qui prépare à lancer des attaques dans l'Est Soudan  de ses bases en Erythrée.
Quelques heures après la publication du rapport, l'ONU se précipita à le nier en utilisant tous les moyens souples pour contenir l'affaire. Bien que l'incident ne soit pas si étrange du fait que nous avons remarqué les responsables de l'ONU écrit des rapports inexacts et falsifiés sur la situation au Soudan. La région de Darfour est devenue un point focal dû au pourcentage élevé du rapport inexact sur elle au cours des 9 dernières années.
La confusion entre les responsables de l'ONU a attiré l'attention à celle parmi les observateurs. Les officiels de l'ONU ne nient pas normalement leurs rapports avant qu'ils ne soient convoqués par le Ministère des Affaires Etrangères et ayant remis une protestation officielle.
Durant l'ère de Pronk, il a fallu jusqu'à ce jour pour l'ONU de faire des excuses. Assurément, cette question pose un scandale à l'ONU du fait que toute l'affaire ressemble à une tentative d'utiliser les responsables de l'ONU au service des questions liées aux agendas des puissances étrangères.
À cet égard, il est important de se référer aux déclarations faite par  l'ancien envoyé américain au Soudan qu'après la sécession du Sud-Soudan, l'Est Soudan et Darfour pourraient aussi demander des référendums d'autodétermination.
Cet incident pose la question, pourquoi devons-nous écarter l'existence de figures dans l'administration Obama qui œuvrent à aggraver la situation dans l'Est Soudan?
Le rapport, qui pourrait être considéré comme coup d'envoi de la campagne, a gêné l'ONU elle-même car elle aggrave la situation au lieu d'en pacifier. Probablement, les responsables de l'ONU à New York ont été en particulier, ont submergé par ce point.
Cet incident pave la voie à l'examen des positions de l'ONU envers le Soudan. Le conseiller présidentiel, Dr. Mustafa Osman Ismail, a déclaré auparavant que le Soudan pourrait expulser les organisations étrangères qui travaillent à déstabiliser le pays.

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