الثلاثاء، 20 ديسمبر 2011

Analyse: Ocampo Souffre une isolation internationale





Jeudi dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a conclu les discussions sur le rapport numéro 14 du Procureur général de la CPI sur les crimes présumés au Darfour sans se solder par toute décision ou de sanction.
 Selon le Journal SudanSafari, le rapport n'a pas ajouté de nouvelle chose, ni d'ouvrir un nouvel horizon pour la justice internationale.
Le rêve de 119 pays de la justice internationale n e s'est pas réalisé du fait que la nomination d'Ocampo comme procureur de la CPI a été l'une des choses qui avortée l'idée de la justice internationale.
Depuis sa nomination, Ocampo a mis en doute la crédibilité de la cour et impliqué en politique dans cette institution judiciaire.
La première évidence de la politisation de la cour était le fait que la plupart des accusations étaient dirigées contre les leaders Africains, malgré les centaines de crimes commis par les non-Africains soit en Irak ou en Afghanistan.
Le tribunal a ignoré les crimes commis pendant la guerre israélienne sur Gaza il ya trois ans. Personne ne sait où le rapport  de Goldstone sur les crimes de Gaza est-il allé?
La concentration sur les dirigeants africains est la grosse évidence que cette cour a été politisée.
Ainsi, l'Union africaine a rendu en Juillet 2009 une décision interdisant aux États membres de coopérer avec la CPI.
Dans le même temps, le Président Djiboutien Ismail Omar Gaili a dit, dans une interview avec un magazine français à Paris récemment, que malgré l'adhésion de son pays à la CPI, son pays ne suivra pas les décisions des tribunaux, louant le courage du président soudanais, en particulier en donnant au Sud-Soudan le droit à l'autodétermination.
Le Tchad, le Malawi, le Kenya et d'autres pays africains ont également rejeté à coopérer avec la CPI.
L'accusation d'agression sexuelle qui a soulevé contre Ocampo au temps antérieur est une autre preuve qu'Ocampo n'est pas la bonne personne à la CPI.
Les mouvements d'Ocampo sont de nature politique du fait qu'ils sont normalement associés avec les désirs de certaines puissances internationales.
Nous avons remarqué cela suite au référendum au Sud-Soudan en Janvier 2011 et les élections générales au Soudan en 2010 et l'accord de paix de Doha en Juillet 2011.
La troisième indication a été des pas unilatéraux par Ocampo spécialement après la décision de ses adjoints, qui sont connus pour l'expertise juridique unique, pour arrêter l'aide à cause de ce qu'ils considèrent comme la voie destructrice du fait qu'il dirige la CPI.

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