الاثنين، 9 يناير 2012

Analyse: Le Kenya va-t-il réussir aux actes comme il a réussi dans les déclarations




Le Gouvernement Soudanais n'a rien envers les excuses du Kenya et  l'envoi d'un émissaire spécial à cet égard étant arrivé à Khartoum et a rencontré le Président Soudanais Al-Bashir jeudi dernier et il lui a remis un message écrit de son homologue kenyan (Kibaki) dans lequel le gouvernement kenyan a promis pour contester la décision du tribunal  kenyan sur l'arrestation du Président Al-Bashir lors de son arrivée au Kenya.
Le gouvernement du Soudan n'attend pas du Kenya ce comportement qui viole les normes diplomatiques, car la question a besoin des actes autant que du mouvement diplomatique et des excuses et de déclarations douces!
Les observateurs craignent la longue attente par le gouvernement du Soudan pour plusieurs raisons; à la tête desquelles la décision a révélé l'existence de différentes tendances au sein du leadership Kenya, chose qui indique que des milieux sont derrières la décision, car il est tout à fait impossible – quelque soit le degré d'indépendance de la magistrature du Kenya de rendre une telle décision à l'insu des milieux gouvernementaux  spécifiques au sein du gouvernement kenyan ou de soutien et d'encouragement, c'est pourquoi la voie qui doit mener à l'annulation de la décision ne sera pas facile.
La seconde raison est que le Procureur de la Cour pénale internationale va œuvrer sérieusement pour empêcher l'annulation de la résolution et que la pression va accroitre inhabituellement sur le gouvernement kenyan pour empêcher l'abolition de la décision judiciaire ou politique, de sorte qu'Ocampo doit quitter son poste à la mi-prochaine année, 2012.
Il est sûr que Ocampo, qui a réalisé rien dans ce poste prestigieux international va œuvrer sérieusement pour maintenir ce niveau qu'il a réalisé  pour encourager ou inciter  les Etats africains à poursuivre ses dirigeants.
A ce propos, Ocampo ferra tout son possible pour empêcher le déclin au Kenya de sa décision, chose qui va rendre Kenya adopter une situation difficile.
La troisième considération est du fait que le Kenya doit prendre, pratiquement, une position plus forte pour aller en avant pour soutenir ses obligations africaines stipulant à ne pas coopérer avec la Cour pénale internationale.
Evidemment, il est possible d'annuler la résolution - légalement ou politiquement – pour rendre une résolution similaire d'une autre manière tout en partant des différences ou d'intersection des intérêts dans le système du pouvoir au Kenya.
Par conséquent, le pas rapide par le Kenya pour contenir la crise mérite d'être apprécié, mais cela dépend des résultats souhaités de façon urgente pour mettre les choses en perspective.
Il s'est avéré que la délivrance d'une décision judiciaire par un État pour l'arrestation d'un chef d'État est considérée comme acte agressif et une déclaration explicite de guerre!

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