الأربعاء، 4 يناير 2012

Analyse: Les droits du Soudan au sein des Nations unies

 
 
 
Lors d'une réunion avec le Haut Commissaire des Droits de l'Homme à Genève, le Ministre Soudanais de la Justice, Mohamed Bushara Dosa a affirmé la disposition de son gouvernement à coopérer avec le mécanisme de l'ONU opérant dans le domaine des droits de l'homme malgré l'évidence que certains employés de l'ONU des droits de l'homme au Soudan ne sont pas digne de confiance.
Le Ministre Soudanais a donné quelques exemples à cet égard, comme les efforts déployés par certains membres du personnel de l'ONU au Soudan pour soutenir la sécession du Sud Soudan violant leur mandat  de soutenir les parties à l'accord et l'appel pour le maintien de l'unité.
Le Ministre se demandait pourquoi l'ONU n'a pas encore dénoncé l'agression du SPLM sur les Forces Armées Soudanaises et les troupes de l'ONU au Sud Kordofan il ya cinq mois.
L'ONU n'a pas honoré son mot de mener des enquêtes indépendantes sur l'incident. Au lieu de cela, l'ONU a fait un rapport biaisé sur la question du Sud Kordofan dans lequel le blâme a été mis sur le gouvernement Soudanais.
D'autre part, le conseiller juridique du SPLM leader important Talafon Kuku, qui est sous l'arrestation du SPLM pendant plus de trois ans, a accusé le Conseil des droits de l'homme de l'ONU de la conspiration à l'égard de l'arrestation de Kukuk qui appartient à l'ethnie des Nuba au Sud Kordofan.
Le conseiller juridique Mohamed Al-Hassan Nasir a dit qu'il a présenté 7 initiative au chef de l'ONU Ban Ki-moon pour libérer Kuku, en disant que l'ONU n'a pas bougé d'un pouce envers cette grave question juridique, en particulier Kuku est devenu un citoyen d'un autre Etat.
Sans doute, cette politique de ' deux mesures, deux poids '  vers la question des droits de l'homme n'a pas seulement mis en doute la crédibilité de l'ONU, mais elle sera, aussi, soulevé des questions si les questions des droits de l'homme sont devenus un outil à utiliser pour servir des agendas spéciaux.
Le Soudan a de nombreux dossiers sur les violations confirmées par le personnel de l'ONU au Soudan du fait que l'évidence que certain personnel de l'ONU soit à la MINUS ou la MINUAD de connivence avec certains groupes armés au Darfour et au Sud-Kordofan.
A part de silence de l'ONU vers l'attaque sur l'armée soudanaise et ses troupes au Sud Kordofan, l'ONU aurait gagné le respect si elle a mené des enquêtes indépendantes sur l'incident afin de déterminer la responsabilité de chaque partie.
Le personnel de l'ONU met tout le blâme sur le gouvernement Soudanais comme s'il est la seule partie au conflit. Évidemment, le monde va attendre aux décennies pour avoir une organisation internationale équilibrée et objective

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