الاثنين، 16 يناير 2012

Analyse: Le Soudan appelle l'Interpol à rendre un mandat d'arrêt contre Agar et Arman

Le Procureur Général du Soudan Omer Ahmed a demandé à Interpol d'arrêter 18 personnes accusées d'implication dans l'attaque militaire dans l'Etat du Nil Bleu.
La liste incluait l'ancien gouverneur de l'Etat et chef du SPLM -secteur du Nord-Soudan Malik Agar et le Secrétaire Général du SPLM-Nord Yassir Arman.
Les noms des personnes demandées ont été annoncés sur deux journaux publiés à Khartoum la semaine dernière.
Le comité d'enquête sur les incidents du Nil Bleu a commencé à prendre les mesures d'arrêter les accusés qui sont accusés de crimes de porter atteinte au système constitutionnel, faire guerre à l'Etat et violer la paix publique et la tranquillité par l'implication dans un acte criminel.
La distribution de ces notices rouges est un pas très grave car ils sont concernés par les criminels fugitifs qui ont commis des crimes.
Certains pourraient dire que le mandat est politiquement motivé, mais l'évidence et les informations recueillies des incidents de l'Etat du Nil Bleu ayant prouvé le contraire.
Certains pourraient dire que la présentation du mémo est venu après le meurtre de Khail Ibrahim, ou à soutenir les actions militaires de ce mouvement légal surtout après les victoires par les Forces Armées Soudanaises dans les différents fronts.
Ce memo n'a pas été le premier dans l'histoire moderne du Soudan. L'ancien leader des forces de l'Alliance de l'opposition Abdul-Aziz Khalid, qui a participé à la lutte contre le Gouvernement Soudanais dans le front de l'Est, a été arrêté par Interpol à l'aéroport d'Abu Dahabi après la diffusion de la notice rouge contre lui en Septembre 2004.

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