الأحد، 25 نوفمبر 2012

Le Conseil de Sécurité n'a jamais réglé la dispute d'Abyei

Les forces Ethiopiennes chargées de maintien de la paix de la zone pétrolière contestée d'Abyei ont dit qu'elles ont recouru à la force en vertu de la Charte VII des Nations Unies pour arrêter les attaques sur les Misseriya.
Les affrontements ont été invoqués par la ligne dure du Sud-Soudan dans le but de transférer le dossier d'Abyei au Conseil de Sécurité de l'ONU de décider la façon de résoudre la dispute en conformité avec les souhaits de l'envoyé spécial Américain aux Nations Unies, Suzan Rice.
Ils ont été intrigants d'internationaliser le dossier parce qu'ils ne sont pas satisfaits des résolutions existantes, y compris le référendum qui a été fourni par le protocole d'Abyei, 2004.
Mais, la question urgente du Conseil de sécurité est habilitée à publier  une résolution contraignante dans ce cas?
Le Conseil de sécurité ne devrait pas publier une résolution en faveur du Sud-Soudan ou violer le Protocole d'Abyei. Si c'est le cas, le Soudan peut transférer l'affaire devant la Cour internationale de Justice.
Toute résolution viole le protocole sera inapplicable. Le Soudan participera ou surveillera le référendum, de sorte que les résultats du référendum seront invalides.
Selon le journal du SudanSafari, il y en a de la ligne dure du Sud-Soudan qui ayant été invoqué la dispute à annexer la région par tous les moyens.
Edward Lino, un commandant du Sud-Soudan a dit que la proposition de l'Union africaine sur Abyei qui devrait adoptée par le Conseil de sécurité pourra régler la dispute en faveur de Juba.
Avant la sécession du Sud-Soudan, Lino a dirigé une force d'annexer la région par la force en violation du Protocole d'Abyei et l'Accord de paix global, 2005.
Un autre hardliner est Deng Alor, d'Abyei, une région frontalière producteur de pétrole.
Alor était en colère lorsque le sommet entre le Président Al Bashir et du Sud-Soudan Salva Kiir ayant reporté la négociation sur Abyei, il a donc quitté la capitale éthiopienne sans assister à la signature de l'accord de coopération conjointe signé par le dernier Septembre.
Luka Biong Deng, co-président du comité de surveillance d'Abyei est toujours vu dans la région avec les Dinka Ngok. Peut-être, il prépare ses hommes à la bataille finale.
La force de sécurité par intérim de l'ONU pour Abyei (UNISFA) a donc eu recours à lui pour pacifier la situation à la suite des combats entre les tribus avant de recourir à la force conformément au mandat de l'ONU.
Si vous tracez la structure ethnique dans la région au cours des dernières décennies, vous trouverez comment les deux ethnies ont largement vécu ensemble en paix.

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