Avant la signature de l'accord de coopération conjointe, Juba a
affirmé qu'il avait préservé certains papiers pour faire pression sur
Khartoum
Les papiers comprennent héberger et soutenir les rebelles du Front
révolutionnaire, ayant rapport avec les deux divisions au Sud Kordofan
et au Nil Bleu et les zones contestées
A à ce moment-là, les leaders sud-soudanais ont osé occuper des zones
riches en pétrole et d'arrêter les exportations de pétrole, bien que
Khartoum a imposé des droits nominaux sur les exportations de pétrole
sud-soudanais
Il est vrai que Juba a soutenu l'attaque rebelle du FR sur le
Nord-Kordofan sans se tenir à l'accord de coopération conjointe parrainé
par l'Union Africaine ou de donner des justifications convaincantes
pour son acte
Mais, bientôt Juba a renoncé à cette erreur de calcul et a opté pour
des options logiques. Ce changement radical a fait le président
sud-soudanais d'être en contact avec son homologue Soudanais de garder
les choses sur la bonne voie et à maintenir de meilleures relations avec
l'ancienne métropole
En ce qui concerne la région d'Abyei, l'assassinat du chef des Dinka
Ngok a signalé que la zone peut être entraînée dans une confrontation
militaire dans laquelle les Dinka Ngok et le gouvernement du Sud-Soudan
seront les principaux perdants d'annexer la région par la force
La région riche en pétrole peut être résolue moyennant la négociation
et le consentement de spécialité des deux parties les Misserya et les
Dinka Ngok
Le soutien de Juba aux rebelles que les frontières seront finalement
pris fin suite à la mobilisation générale annoncée par le gouvernement
soudanais pour déraciner l'insurrection. Malgré les questions
compliquées, le soutien du Sud-Soudan est indigne d'atteindre à sa fin
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