الثلاثاء، 3 سبتمبر 2013

Pourquoi Salva Kiir se rendra-t-il à Khartoum?

Depuis la séparation du Sud -Soudan a été en désaccord constant avec le Soudan, la mère-patrie. Certains groupes de pression ayant embarqué pour le renversement du gouvernement soudanais en soutenant et en hébergeant les mouvements rebelles anti- soudan

Cette tactique s'est révélée être inefficace et de perdre du temps alors que le Soudan a pleinement rempli ses engagements

Il a dissous le cabinet et son adjoint et ainsi que le secrétaire général du mouvement au pouvoir (SPLM), le chef des groupes de pression

Ces groupes ont entravé la quasi-totalité des décisions constructives faites par le président Kiir en faveur des deux Soudan. Ces décisions n'ont pas vu la lumière en raison de la procrastination de ces groupes

Le Président Kiir n'a pas d'assistants pour consulter ou demander de suivre l'implementation de ses décisions et les politiques internes et externes

Il croit que d'avoir de meilleures relations avec le Soudan est le meilleur moyen pour la réforme locale et la relance économique

Il s'est rendu compte que le peuple du Sud-Soudan n'est pas satisfait des services rendus par l'Etat et qu'il rencontrera une rude concurrence dans les élections à venir

Kiir a conclu que la construction des liens solides avec le peuple et le gouvernement soudanais va ouvrir la voie devant  l'établissement de liens internationaux et aider à gagner le respect international

Le Président Kiir n'est plus chef de faction armée et le fanatisme tribal, il est il est homme d'Etat et le seul président à la nation tout entière

Le Président Kiir fera également une visite à Khartoum plus tard ce mois-ci pour des entretiens avec le Président Soudanais Omer Al Bashir sur les relations bilatérales, selon des diplomates de haut niveau

La deuxième visite de M. Kiir au Soudan depuis l'indépendance de son pays est considérée comme un autre signe d'un dégel des relations entre Khartoum et Juba

Les deux chefs d'Etat discuteront l'implémentation de l'accord de coopération de 11 mois entre les deux nations, qui implique la sécurité des frontières et les revendications sur le soutien à des groupes rebelles, les exportations de pétrole, la citoyenneté et d'autres questions

Il est prévu que les deux leaders discuteront également la façon de résoudre l'impasse sur le statut contesté de la région d'Abyei, le renforcement des mécanismes pour résoudre d'autres zones frontalières contestées et revendiquées

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