الثلاثاء، 25 فبراير 2014

Les États-Unis ont le droit d'agir au nom de l'ONU

Bien sûr, la réponse est non, malgré l'influence visible de Washington sur l'ONU, et ses démarches pour dominer le monde, adopter l'idée de la ligue des Nations et d'accueillir le siège permanent de l'ONU à New York depuis 1945.
La réponse est aussi non, malgré le fait que les Etats-Unis est le principal contributeur financier. Et parce que le capitalisme est enraciné dans la mentalité américaine, les États-Unis semble que si il a acheté l'ONU et, par conséquent, quel qu'il dit sera le droit absolu.
En dépit de tous ces faits, les droits juridiques des représentants des pays membres de l'ONU pour assister aux activités de l'ONU sont quelque chose différente.
Selon la Charte des Nations Unies, l'une des droits les plus importants des Etats membres est le droit des représentants de ces pays à participer aux réunions de l'Assemblée générale des Nations Unies qui ont lieu un rassemblement important de consolider les liens entre les pays membres.
L'importance de la réunion de l'Assemblée Générale des Nations Unies émane du fait que c'est la plus haute autorité de l'ONU qui pose l'atmosphère vitale pour les pays afin de discuter leurs questions qui incluent la réforme de l'ONU elle-même.
Pour sûr, les développements qui se sont produites au cours des 60 dernières années, depuis l'établissement de l'ONU exigent la réalisation d'une réforme dans les organes et mécanismes des Nations Unies.
Cela était nécessaire quand on voit les Etats-Unis agit comme si il est l'ONU. C'était aussi une surprise la position du Département d'Etat américain laissant entendre que le visa d'entrée pour le Président Soudanais Omar Al-Béchir pour assister aux réunions de l'assemblée générale de l'ONU pourrait être nié.
La position américaine est étrange parce que le Président Al- Bashir est invité par le Secrétaire général des Nations Unies pour assister aux réunions de l'Assemblée Générale des Nations Unies au siège de l'ONU à New York, qui, selon les lois internationales dans ce cas particulier, n'est pas un territoire américain.
Et même si nous avons supposé que Washington essaie de jouer un rôle dans la question de la CPI contre le Soudan, cette hypothèse ne sera pas approprié du  fait que les États-Unis n'est ni un Etat membre de la CPI, ni légalement obligé de poursuivre ceux qui ont été inculpés par la CPI.

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