السبت، 8 نوفمبر 2014

Le groupe rebelle de Darfour à la recherche de guerre par procuration en Libye

Le conflit au Sud-Soudan, tôt ou tard viendra à sa fin moyennant un règlement pacifique entre les parties au conflit à la dispute en cours.
Les rebelles de Darfour qui sont impliqués dans le conflit comme mercenaires n'auront alors aucune place dans les nouveaux territoires de l'Etat, afin qu'ils soient à la recherche d'une  nouvelle place à la recherche de ressources
La relation entre le Soudan et la Libye est important pour les deux gouvernements après la chute du régime de Kadhafi qui constituait une menace pour les pays voisins comme le Soudan en fournissant un soutien logistique au Mouvement pour la justice et l'égalité (MJE) et d'autres mouvements rebelles de Darfour.
Les groupes rebelles de Darfour, cependant, sont devenus une cible de certains groupes armés libyens qui cherchent des mercenaires étrangers pour les aider à resserrer leur emprise dans certaines régions.
Selon le bouleversement interne, les leaders rebelles de Darfour croient en guerre par procuration pour la survie parce que le soutien qu'ils reçoivent n'est plus que d'argent de poche
Par exemple, le mouvement de la justice et d'égalité conduit par  Gabriel Ibrahim a fait des contacts avec Ahmed Ghazaf Aldem, l'un des leaders du régime de Kadhafi dans la capitale égyptienne dans un plan de lutte le groupe des Frères musulmans, accusant le gouvernement soudanais de soutenir le groupe.
Selon de nouveaux rapports, le Mouvement de libération du Soudan, dirigé par Abdel Wahid Al-Nur (MLS- AW) a également contacté Khalifa Haftar, un ancien officier de l'armée de Kadhafi et l'ennemi principal du groupe islamique en Libye pour combattre le groupe islamique à établir un système laïque en Afrique.
Des contacts ont été également noués par le Mouvement de libération du Soudan (MLS-MM) dirigé par Minni Minawi Octobre dernier à la recherche de fournitures pour ses troupes.
Les groupes rebelles de Darfour ont lancé de guerres par procuration, en ignorant le droit international et les résolutions du Conseil de sécurité et quitter leur principale question pour la dictée internationale en menace flagrante pour la paix régionale et internationale.
Au lieu de jeter la responsabilité sur le dos des rebelles de leur implication dans les guerres régionales, la communauté internationale a exhorté le gouvernement soudanais à négocier avec les rebelles qui l'ont éloigné de leur question, laissant les dictées politiques internationales.
Fermer les yeux devant ces pratiques, la communauté internationale ne pourra pas contenir ces phénomènes un jou

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