Hervé Ladsous qui est chargé du département de maintien de la paix de
l'ONU doit être juste et renoncer à prendre parti pour une partie
contre l'autre comme diplomate international.
Interviewé par l'Agence Reuters, M. Ladsous a dit la semaine dernière
que le Soudan a les demandé de former une stratégie de sortie, mais que
cela " ne arrivera pas demain".
N'ayant pas les ABC de l'étiquette diplomatique, il a dit que la mission ne céderait pas à la demande du Soudan, a-t-il dit.
Selon les analystes et les observateurs internationaux, la fin de la
mission de la MINUAD au Darfour est décidée par le pays hôte et non par
le Conseil de sécurité ou Ladsous qui fait preuve de partialité
flagrante dans l'interview.
Lorsque le Soudan a demandé la terminaison du mandat de la mission,
il a simplement exercé son droit légitime d'après les provisions de la
mission qui a clairement donné le Soudan le droit d'expulser la mission.
Comme diplomate international, M. Ladsous doit être logique et de
réaliser que la mission de maintien de la paix dans la région est
devenue un fardeau sécuritaire sur le Soudan à travers sa présence au
Darfour.
La mission qui a été confiée à protéger les civils contre les
attaques des rebelles n'a même pas se protéger contre les agressions
rebelles visant son personnel.
Des dizaines de rapports ont été soumis au Conseil de sécurité
affirmant la fin de la violence dans la région et l'amélioration de la
situation de sécurité en raison des efforts du gouvernement et non pas
en raison de la présence de la MINUAD.
Le pas de Ladsous essaie juste de priver le Soudan de son droit
légitime de mettre fin à l'opération de maintien de la paix sans
consulter les pays africains qui composent ces forces.
Khartoum a dit ses mots et prêt à aller en avant avec sa décision
ordonnant la mission de maintien de la paix de quitter le pays parce que
les défenseurs de la présence de la MINUAD n'ont pas le droit de le
faire.
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