L'investiture du Président Soudanais Omer Al Bashir pour nouveau mandat allant jusqu'en 2020 a été largement
assistée par les chefs d'Etat et des représentants des organisations régionales et internationales.
Les Présidents Egyptien Abdel Fattah Al-Sisi, du Zimbabwe Robert Mugabe, Tchadien Idris Deby, Kenyan Uhuru Kenyatta et le Premier Ministre Ethiopien Hailemariam Desalegn ont assisté à la cérémonie.
Le Sud Soudan était représentée par son Vice-Président James Wani, tandis que le Qatar et l'Arabie Saoudite ont été représentés respectivement par le Vice-Premier Ministre Ahmed bin Abdullah Al-Mahmoud, et le Ministre d'Etat Mansour Bin Mutaib.
L’Union africaine et la Ligue Arabe ont participé avec enthousiasme à la cérémonie. Les deux organisations ont depuis longtemps clairement fait savoir qu'ils se tiennent au côté de Khartoum sur toutes les questions.
Certains leaders ont toutefois été notablement absents de la cérémonie de prestation de serment d’Al Bashir la semaine dernière, malgré la confirmation par des responsables soudanais qu'ils seraient présents.
Mais cela ne signifie pas que de mauvaises relations ou mauvaise intention parce que le Soudan n'a pas de mauvaises relations avec tout pays.
L'absence de certains pays a été mal interprétée par certains observateurs. Ils l'ont attribué à de mauvaises relations, mais l'absence n'a rien à voir avec les relations parce que le Soudan n'a pas de mauvaises relations avec tous les pays arabes et africains voisins.
Le Président Al Bashir a lui-même manqué un peu de cérémonies de la prestation de serment des leaders africains et arabes en raison des engagements. Son absence n'a pas affecté les relations du Soudan avec ces pays.
Si le président lui-même absent, il peut déléguer ses adjoints ou responsables de haut profil pour le représenter. Ceci est la politique et la courtoisie diplomatique
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