Le Président Américain Barack Obama a regretté la situation
détériorée dans le sud Soudan en raison de l'éclatement du conflit en
Décembre 2013 par un affrontement entre les forces loyales à l'ancien
vice-président Riek Machar, des Nuers, et le président Salva Kiir, des
Dinka.
Le combat a suscité une crise humanitaire qui menace la survie du
pays seulement quatre ans après sa création, et ayant résulté à tant de
morts, est chose qui nécessite une attention urgente.
Au cours de sa visite en Ethiopie, le Président Obama a essayé de presser les leaders Africains à sauver le Sud Soudan de sa catastrophe.
Au cours de sa visite en Ethiopie, le Président Obama a essayé de presser les leaders Africains à sauver le Sud Soudan de sa catastrophe.
Certains observateurs sont pessimistes sur les perspectives pour un
accord, affirmant que les deux côtés sont indifférents au sort du peuple
sud-Soudanais.
Le souci d'Obama a soulevé de nombreuses questions sur la stratégie à venir de Washington envers l'avenir du nouveau-né Etat.
Avant d'arriver à Khartoum, l’envoyé américain a averti les deux
parties belligérantes au Sud Soudan que la patience d’USA est estompée
et qu'il était la dernière chance d'arrêter le combat.
Plus tard, il a été révélé que les États-Unis prévoient d'impliquer
le Soudan dans le règlement de la dispute après avoir acquis la
certitude que le Soudan tient à distance des deux parties belligérantes.
En outre, les États-Unis sont convaincus que ni le Parti au pouvoir
du SPLM ni les rebelles sont capables d'honorer les accords de paix
parrainés par l'IGAD.
Tout simplement, le Soudan est neutre et ne se tient au côté de l’une
des parties belligérantes comme les revendications de Juba.
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