Toutes les situations et les cas sous l'enquête ou de poursuites par la cour pénale internationale sont en Afrique
Depuis son établissement en 2002, le Bureau du Procureur de la CPI a enquêté sur huit situations impliquant des violations présumées du droit pénal international
Les critiques notent que le Bureau du Procureur doit encore ouvrir une enquête sur les crimes qui auraient été commis dans un territoire ou par des ressortissants des États qui sont riches et puissants et affirment que l'échec de le faire a affaibli le soutien pour la CPI dans les pays africains et ayant donné l'impression que la CPI est partisane
L'Union africaine a accusé les parties de la CPI de partialité en 2001 qu'elles ont accusé le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo de "rendre la justice avec deux poids, deux mesures", mais il n'a pas été si vaste dans sa condamnation
L'ex-procureur de la CPI a recueilli des témoignages versés à l'appui de ses prétendues accusations contre le Soudan. Le tribunal est politique et elle effectue la volonté des superpuissances.
Le Chef de groupe de crise internationale (GCI), Louise Arbour, ancienne Haut-commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme a reconnu que le renvoi de l'affaire de Darfour à la CPI en 2005 et le mandat d'arrêt contre le Président Soudanais Omer Al Bashir était grand erreur.
Arbor a déclaré que le Soudan est État non signataire; donc l'accusation contre les responsables Soudanais a eu un effet sur la CPI et va la saper
L'ancien juge canadien a poursuivi en disant que le tribunal va bientôt perdre beaucoup d'observateurs ayant été pris par surprise suite à la remarque d'Arbor
Elle n'est pas seulement activiste mais elle a aussi été l'ancienne Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme et juge dans son natal Canada et l'une des personnalités éminentes qui ont soutenu la résolution du Conseil de sécurité de renvoyer l'affaire à la CPI
Selon la longue remarque attendue, la CPI n'est plus le corps de confiance pour réaliser la justice, il est donc injuste de succomber un Etat non signataire de la CPI et que la CPI a été créée principalement pour viser les leaders Africains
Le Monde français a qualifié la CPI de raciste dans l'administration de la justice et a également accusé les services de renseignements de l'implication dans l'achat des témoins à donner de faux témoignages. L'article a dit la CPI n'agit que lorsque les Africains sont impliqués
Le journal français a publié un article intitulé " la CPI, justice de blanc», qui a critiqué la performance du Procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo, qui s'était appuyé sur les rapports publiés par les ONG et l'ONU
L'article a indiqué que la mise en accusation du Président Soudanais Omer Al-Bashir a confirmé que le tribunal est politique et elle effectue la volonté des superpuissances
Depuis son établissement en 2002, le Bureau du Procureur de la CPI a enquêté sur huit situations impliquant des violations présumées du droit pénal international
Les critiques notent que le Bureau du Procureur doit encore ouvrir une enquête sur les crimes qui auraient été commis dans un territoire ou par des ressortissants des États qui sont riches et puissants et affirment que l'échec de le faire a affaibli le soutien pour la CPI dans les pays africains et ayant donné l'impression que la CPI est partisane
L'Union africaine a accusé les parties de la CPI de partialité en 2001 qu'elles ont accusé le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo de "rendre la justice avec deux poids, deux mesures", mais il n'a pas été si vaste dans sa condamnation
L'ex-procureur de la CPI a recueilli des témoignages versés à l'appui de ses prétendues accusations contre le Soudan. Le tribunal est politique et elle effectue la volonté des superpuissances.
Le Chef de groupe de crise internationale (GCI), Louise Arbour, ancienne Haut-commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme a reconnu que le renvoi de l'affaire de Darfour à la CPI en 2005 et le mandat d'arrêt contre le Président Soudanais Omer Al Bashir était grand erreur.
Arbor a déclaré que le Soudan est État non signataire; donc l'accusation contre les responsables Soudanais a eu un effet sur la CPI et va la saper
L'ancien juge canadien a poursuivi en disant que le tribunal va bientôt perdre beaucoup d'observateurs ayant été pris par surprise suite à la remarque d'Arbor
Elle n'est pas seulement activiste mais elle a aussi été l'ancienne Haut Commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme et juge dans son natal Canada et l'une des personnalités éminentes qui ont soutenu la résolution du Conseil de sécurité de renvoyer l'affaire à la CPI
Selon la longue remarque attendue, la CPI n'est plus le corps de confiance pour réaliser la justice, il est donc injuste de succomber un Etat non signataire de la CPI et que la CPI a été créée principalement pour viser les leaders Africains
Le Monde français a qualifié la CPI de raciste dans l'administration de la justice et a également accusé les services de renseignements de l'implication dans l'achat des témoins à donner de faux témoignages. L'article a dit la CPI n'agit que lorsque les Africains sont impliqués
Le journal français a publié un article intitulé " la CPI, justice de blanc», qui a critiqué la performance du Procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo, qui s'était appuyé sur les rapports publiés par les ONG et l'ONU
L'article a indiqué que la mise en accusation du Président Soudanais Omer Al-Bashir a confirmé que le tribunal est politique et elle effectue la volonté des superpuissances
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