الاثنين، 26 أغسطس 2013

qui se sont trompés!

C'est étrange pour le président du sud Soudan, Salva Kiir à croire qu'il pouvait changer ou contrôler le Soudan par la force moyennant la guerre proxy lancée par ce qu'on appelle le secteur du nord du mouvement populaire

Le Président Kiir n'a jamais cru à au-delà de la théorie des frontières. Il n'a jamais adopté la nouvelle vision du Soudan du défunt Dr John Garang. Après la signature de l'accord de paix global en 2005, les deux hommes étaient à la tête à la vision en termes d'applicabilité

Il croit que la théorie est inapplicable et impossible. Le nouvel Etat  émergé quand la crise financière mondiale a affectée les principales économies de même des superpuissances, y compris les Etats-Unis, l'Etat économiquement et politiquement puissant

En interne, le sud Soudan a connu une crise humanitaire résultant de la violence tribale, l'arrêt des exportations de pétrole et de l'absence de structures infra base en plus d'autres questions liées à l'armée de guérilla

Kiir doit être ravi dans ces complications avant la course présidentielle à venir avec ses rivaux

Par ailleurs, les leaders du sud Soudan ont réalisé que le contrôle et l'annexion de Khartoum est impossible et juste un rêve. S'ils pouvaient, ils n'auraient pas signé l'accord de paix global

Mais les leaders du secteur du nord font. Ils croient qu'ils peuvent se battre pour mettre en œuvre leur nouvelle vision soulevée par le défunt Dr John Granag, le leader du SPLA

Après sa mort dans un accident d'hélicoptère au-dessus des montagnes Amatonj, la théorie a été relancée par Yassir, Abdel Aziz Al Hilo et Malik Aggar de secteur du nord à Khartoum d'une tentative désespérée et implémenté leur projet tant attendu

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