السبت، 9 نوفمبر 2013

Le FRS en véritable dilemme politique

Le consentement du Gouvernement Soudanais à l'initiative de Juba à la médiation pour le règlement pacifique entre le dernier et le front révolutionnaire et le front révolutionnaire soudanais est un  dilemme politique.
Il semble que Juba a voulu suivre le gouvernement érythréen, qui a parrainé avec succès le dossier de l'Est Soudan a abouti à un accord de paix.
Quand nous disons que c'est un dilemme que nous voulons dire qu'il la dernière balle dans le canon du gouvernement du Sud Soudan.
Nous devons nous rappeler que le Soudan n'a laissé aucune pierre non retournée. Le gouvernement soudanais a lancé la diplomatie présidentielle mené par le Président Al Bashir à remuer la mare stagnante.
Pour le gouvernement sud soudanais, la médiation n'est pas une tâche facile d'arriver à un terrain d'entente avec les dirigeants de  FRS. Parvenir à une concordance acceptable nécessite de grands efforts pour rendre les négociations avec succès.
Le Sud-Soudan doit donner au vieux jeu. Il doit cesser de fournir un soutien logistique au mouvement rebelle. Le Médiateur devrait impartiale et digne de confiance.
Le succès de la médiation aboutira à la sécurité des frontières et de renforcer les liens soudano -sud-soudanais d'assurer les intérêts communs.   Les deux économies vont évidemment faire mieux grâce au commerce aux frontières et la libre circulation des personnes et des biens.
Le FRS doit involontairement succomber complètement à Juba, car il ira à des opérations militaires. Le mouvement rebelle du groupe n'aura pas plus que ce que le secteur du nord, donc il n'y a pas d'autre question que de négociations ni plus ni moins. En ce qui concerne les mouvements rebelles de Darfour, ils n'auront jamais l'accès à la paix que par le forum de paix de Doha.
Plus précisément, la médiation permettra de tester la volonté politique de Juba. L'échec de l'offre va encourager le gouvernement soudanais pour réprimer et écraser le mouvement rebelle.
Juba, par conséquent, devrait faire pression sur les leaders du FRS à accepter ce qui est possible et de faire leur demande pratique. C'est le point tournant dans le conflit.

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