Le Président Soudanais Omar Al-Bashir est parti pour le Sud-Soudan lundi
pour discuter la crise qui se déroule là-bas avec le président Salva
Kiir après le début des pourparlers de paix en Éthiopie a échoué de
mettre un terme au combat.
La visite du Président Al Bashir à Juba, capitale du Sud, était aussi
une évidence de la façon dont les leaders régionaux souhaitent voir
vivement le retour de la stabilité au Sud-Soudan.
Le Président Uhuru Kenyatta du Kenya et le Premier ministre
Hailemariam Desalegn de l'Ethiopie se sont rendus à Juba à la fin de
Décembre, comme l'a fait le Président Yoweri Museveni de l'Ouganda pour
une visite séparée.
Mais selon les observateurs, la visite du Président Al Bashir est fructueuse.
Les Médiateurs régionaux ont essayé d'obtenir des négociations de
paix qui vont dans la capitale éthiopienne d'Addis-Abeba entre le
gouvernement du Sud-Soudan et les représentants des forces rebelles.
Les parties au conflit du Sud-Soudan restent profondément divisées
sur la libération de hauts responsables politiques arrêtés après ce que
M. Kiir a qualifié d'une tentative de coup d'Etat par l'ancien
vice-président Riek Machar.
"Nous sommes venus pour voir ce que nous pouvons faire pour arrêter
cette guerre sachant trop bien que les conflits armés ne serait jamais
résoudre un problème et sachant aussi que tout problème peu importe
compliqué peut être résolu à la table de négociation", Al-Bashir a
déclaré à la capitale du Sud Soudan, Juba.
Le Sud-Soudan s'est séparée pacifiquement du Soudan en 2011, mais les deux pays restent liés par leur intérêt.
Le Soudan est certain que les troubles au Sud-Soudan sont dangereux
au nouveau-né Etat qui cherche à renforcer ses infrastructures.
Le Président Soudanais veut dire à son homologue sud-soudanais que la
guerre va conduire à des complications graves et seront principalement
paralyser l'économie et d'affecter les citoyens.
"Nous nous sommes battus les uns des autres pendant 20 ans et à la
fin nous nous sommes assis et avons parlé de la paix. Tout autre combat
est juste une perpétuation de la souffrance des civils innocents et la
perte en vies humaines et de plus de destruction ", a déclaré le
Président Al Bashir.
La continuation de la crise du Sud-Soudan pourrait servir de prétexte
pour les super pouvoirs à reprendre le contrôle sur le sud.
Les dirigeants politiques du Sud-Soudan devraient opter pour la négociation pour mettre fin pacifiquement la dispute.
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