الأحد، 23 أكتوبر 2016

SSRN: Les cartes et les Images d’Amnesty International sont fabriqués

Le service de sécurité et du  renseignement national soudanais (SSRN) a fortement réfuté les accusations énoncées par  Amnesty international sur l’utilisation présumée d’armes chimiques par les forces armées soudanaises (FAS) dans les zones de Jebel Mara au Darfour.
Lors d’une conférence de presse, le général Ibrahim Mansour a déclaré que le rapport était fondé sur l’audition des témoignages de témoins prétendument dépourvus des normes minimales de procédures juridiques liées aux principes de témoignage.
Dans l’un des paragraphes du rapport, il fait référence à des témoignages de deux experts en armes chimiques. Toutefois, le rapport n’a pas montré les experts confirmant l’utilisation d’armes chimiques, a déclaré le général Mansour.
Il se demande comment  les témoignages d’experts des armes chimiques pouvaient être acceptés comme preuves sans présence sur les lieux soupçonnés.
Le rapport dépend aussi de témoignages oraux par appel téléphonique pour obtenir la preuve qu’un témoin a été blessé par une arme chimique.
 » Bien sûr, cela ne pouvait pas être accepté,  » a noté le général Mansour. En outre, il révèle que l’enquête sur la santé a été menée récemment sur rapport ciblé les domaines de l’organisation.
Pendant ce temps, l’enquête a montré qu’il n’y avait pas d’empoisonnement ou des anomalies congénitales qui ont été signalés aux hôpitaux et aux centres de santé. (SSRN) affirme qu’il n’y avait pas d’indications d’armes chimiques utilisées dans les domaines mentionnés dans le rapport.
Cela fait partie de la campagne de propagande habituelle contre le Soudan qui se fait depuis de nombreuses années et que l’Amnesty international  tente de créer des allégations non fondées en utilisant le satellite pour  fabriquer des images et des cartes,  » SSRN a dit.

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