Des sources diplomatiques bien informées dans la capitale Ougandaise,
Kampala ont dit au Journal Electronique Sudansafari que le leader
rebelle du Front révolutionnaire soudanais, Abdel Aziz Al Hilu
s'inquiète sur les mouvements suspects qui sont destinés à lui.
Il a réalisé le complot en vertu de son background de renseignement
et comme commandant en chef de l'Armée populaire de libération du
Soudan.
Al Hilu a dit que sa récente rencontre avec le président ougandais, M. Yoweri Museveni était courte et tendue.
Lors de la réunion, le Président Museveni a nécessité plus de mise à
niveau les commandants du front révolutionnaire soudanais suite à
l'échec successif dans le terrain.
Les réunions sont évidentes que les leaders du front révolutionnaire
sont parties du réseau de renseignement dirigées par le président
Museveni personnellement et depuis qu'ils sont financièrement corrompus,
ils seront remplacés par de nouveaux commandants.
Al Hilu a également indiqué que la campagne a visé les leaders
rebelles Malik Agar et Minni Menawe pour la corruption financière. Il a
exprimé sa surprise à la déclaration rapide médiatique de l'affaire
alors que le front révolutionnaire fait de grands sacrifices dans le
champ de bataille comme il le prétendait.
Si les leaders du front révolutionnaire ont tenté de s'échapper ou de
se rebeller, ce que le président Museveni et les agents du
renseignement ougandais longues pour, il sera légitime pour les
autorités ougandaises à se débarrasser d'eux physiquement.
Ses soucis multipliés vendredi dernier lors un haut officier
sud-soudanais ayant reçu des hauts commandants sur le terrain du front
révolutionnaire.
Des rapports ont également indiqué qu'un haut officier du Sud-Soudan a
été vu en compagnie du cortège transportant des invités de haut niveau
sur le chemin de l'hôtel.
Certains observateurs interprété la réunion dans le cadre des
préparatifs en cours d'exécution pour qualifier les nouveaux leaders
pour mener à bien les plans de Juba et de resserrer leur emprise sur les
leaders du front révolutionnaire Al Hilu, Yasser Arman, Malik Agar,
Minni Minawe et Abdel Wahid Nur.
Le plan a été préparé il ya deux mois dans la capitale kényane,
Nairobi en présence du responsable américain dont la nature de sa
mission est inconnu mais probablement qu'il est censé être agent de la
CIA.
Les différences apparues au cours de la réunion et devaient dégénérer en liquidation physique.
Washington et Juba ont été préoccupés par les développements du fait
que les anciennes places d'espoir sur le front révolutionnaire comme le
seul mouvement armé unifié qui pourrait aller à l'encontre du
gouvernement Soudanais.
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