الأحد، 6 يناير 2013

Le Soudan et le Sud-Soudan consentent l'implémentation de l'Accord sur les arrangements administratifs pour Abyei

 Le Soudan et l'Etat du Sud-Soudan se sont mis d'accord sur le communiqué final qui a été formulé par le comité de haut niveau de l'Union Africaine pour le Soudan, dirigé par Thabo Mbeki, et le Premier Ministre Ethiopien, Haile-Mariam Desalegn.

Les deux parties ont consenti l'implémentation du protocole de l'administration provisoire sur Abyei, à condition que le mécanisme doive accorder la consultation directe au comité conjoint de surveillance pour Abyei.

Les présidents du Soudan et du Sud Soudan ont convenu d'une réunion de la surveillance dès à établir l'administration, le conseil législatif et la police d'Abyei.

Le communiqué ayant publié à la fin du sommet a déclaré que les deux présidents doivent se réunir pour déterminer le statut final d'Abyei après la complétion de la procédure pertinente à l'établissement de l'administration et les mécanismes pour la région d'Abyei.

Le communiqué comportait une directive pertinente à la complétion du document et l'application des accords relatifs aux arrangements sécuritaires au cours d'une réunion du comité politique conjoint de deux pays le 13 Janvier à Addis-Abeba.

Le communiqué a stipule que la zone désarmée doit être déterminée avec un délai et de manière qui a été convenu.

Le communiqué de la médiation a indiqué que le président sud-Soudan, Salva Kiir, a répété les mêmes directives qu'il a données avant l'indépendance du Sud-Soudan sur la fin du lien entre le Secteur Nord du Mouvement populaire, soulignant que Salva Kiir doit fournir une déclaration officielle au comité de l'Union Africaine de haut niveau pour le Soudan à cet égard.

Quant à la question des frontières, les deux présidents doivent adopter des procédures nécessaires convenues sans délai concernant la démarcation des secteurs frontaliers qu'on a mis d'accord.

Le communiqué a souligné que les Présidents Al-Bachir et Salva Kiir se réuniront après la complétion de leurs gouvernements à leurs pourparlers sur les zones frontalières contestées.

ليست هناك تعليقات:

إرسال تعليق