A part du succès ou de l'échec du sommet Al Bashir-Kiir sur les questions en suspens, il nous faut connaître les raisons derrière le souci profond par les Etat Unis avec le sommet et pourquoi les Etats-Unis ont –ils donné le Premier Ministre Ethiopien, Hailemariam Desalegn le feu vert pour accueillir le sommet.
Dans sa déclaration au Journal Asharq Al Awast basé à Londres, l'ancien envoyé spécial américain pour le Soudan et le Sud, Princeton Lyman a conseillé Juba pour normaliser ses relations avec Khartoum qui représente la seule la facture pour le traitement des maux politiques et économiques.
Les États-Unis jouent un rôle important et décisif dans les relations soudano-sud soudanais due aux relations étroites entre Juba et Washington. Juba ne prend aucun pas sans consulter Washington, contrairement à Khartoum, qui cherche des relations libres des dictées.
L'administration Obama a réalisé les grands risques du fait que le Sud Soudan confronte due aux questions non résolues avec le Soudan, l'Ambassadeur Lyman donc a été confiée à mener à bien la mission. Mais dans son second mandat, l'administration Obama n'a pas engagé de prévenir le nouvel Etat de commettre un "suicide économique et politique".
Interviewé par le quotidien Al Sharq Al Awasat, Lyman a dit que Juba doit assumer ses responsabilités de retirer ses forces des frontières conjointes à ouvrir la voie devant l'établissement de la zone démilitarisée et de se désengager de 9e et 10e divisions au Sud Kordofan et au Nil Bleu pour être autorisé à pomper ses exportations de pétrole via le Soudan.
Qualifiant le comportement du Sud-Soudan d'un "suicide politique et économique" indique la colère de Washington sur l'insouciance de Juba aux questions controversées. Lyman, par conséquent, a qualifié le gouvernement du Sud-Soudan d'armée de libération qui attend la guerre dans la jungle.
Il est vrai que Washington se préoccupe actuellement de changer la mentalité des figures extrémistes au sein du mouvement au pouvoir, qui met en danger tout l'Etat pour Abyei, leur patrie.
La patience de Washington commence à s'estomper, il prévoit d'ici quelques mois pour se débarrasser des leaders extrémistes sud-soudanais pour mettre toutes les questions sur la bonne voie.
Washington est biaisé contre Khartoum et ne supporte pas la normalisation des relations bilatérales avec le Soudan et en même temps, il a pris des mesures strictes contre les leaders sud-soudanais pour l'absence de réflexion stratégique
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