Le Ministre Soudanais des Affaires Etrangères Ali Ahmed Karti a dit,
après son retour de la participation aux travaux des 68 sessions de
l'Assemblée Générale des Nations Unies récemment, que la diplomatie
soudanaise a réussi à éviter de présenter la question et dispute d'Abyei
devant le Conseil international de sécurité
Le Ministre Karti a déclaré que la dispute était à quelques pas de la
table du Conseil de sécurité de l'ONU avant que la diplomatie
soudanaise puisse présenter la frustration là-bas
Certes, ceux qui ont essayé de déposer le dossier de la dispute
devant la table du Conseil ont été complètement désespérés de la
possibilité de l'organisation du référendum d'Abyei en Octobre courant
Il était toujours étrange du fait que le référendum d'Abyei sera dans
le temps fixé en Octobre et que ce pas n'a pas précédé par de toutes
procédures au sujet d'inscription des électeurs et la préparation du
registre, les appels et autres procédures administratives connues
De même, la chose la plus surprenante que M. Alor et ses compagnons
sont restés affirmer l'organisation du referendum, même si ils sont loin
de la réalité de la région et même si ils vivent et la réalité
politique lamentablement à Juba en raison d'un désaccord dangereux entre
les dirigeants de la première ligne dans le mouvement populaire qui a
conduit à la sortie d'un grand nombre d'entre eux de pouvoir et d'autres
sont sous enquête sur des accusations de corruption
Si nous voulons étudier la manière dont le dossier a été présenté
devant le Conseil de sécurité, il est possible de lire plus d'un
scénario à cet égard
D'un côté, Mme Susan Rice qui est chargée du dossier du sud, est
susceptible d'avoir présenté le dossier - sous la table - profitant de
la tenue de l'Assemblée générale des Nations Unies et sa dynamique
d'accompagnement
D'autre part, Dr Luka Biong, l'un des fils d'Abyei, s'est efforcé, en
tirant parti des groupes de pression et le lobby Noir à New York de
pousser le dossier devant le Conseil de sécurité, peut-être il manque
de confiance dans le gouvernement du sud, et peut-être craint la
gravité croissante du rapprochement entre Juba et Khartoum qui est
devenu l'un des plus importants éléments de stabilité entre les deux
pays
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