الثلاثاء، 8 أكتوبر 2013

Une tentative échouée!

Le Ministre Soudanais des Affaires Etrangères Ali Ahmed Karti a dit, après son retour de la participation aux travaux des 68 sessions de l'Assemblée Générale des Nations Unies récemment, que la diplomatie soudanaise a réussi à éviter de présenter la question et dispute d'Abyei devant le Conseil international de sécurité
Le Ministre Karti a déclaré que la dispute était à quelques pas de la table du Conseil de sécurité de l'ONU avant que la diplomatie soudanaise puisse présenter la frustration là-bas
Certes, ceux qui ont essayé de déposer le dossier de la dispute devant la table du Conseil ont été complètement désespérés de la possibilité de l'organisation du référendum d'Abyei en Octobre courant
Il était toujours étrange du fait que le référendum d'Abyei sera dans le temps fixé en Octobre et que ce pas n'a pas précédé par de toutes procédures au sujet d'inscription des électeurs et la préparation du registre, les appels et autres procédures administratives connues
De même, la chose la plus surprenante que M. Alor et ses compagnons sont restés affirmer l'organisation du referendum, même si ils sont loin de la réalité de la région et même si ils vivent et la réalité politique lamentablement à Juba en raison d'un désaccord dangereux entre les dirigeants de la première ligne dans le mouvement populaire qui a conduit à la sortie d'un grand nombre d'entre eux de pouvoir et d'autres sont sous enquête sur des accusations de corruption
Si nous voulons étudier la manière dont le dossier a été présenté devant le Conseil de sécurité, il est possible de lire plus d'un scénario à cet égard
D'un côté, Mme Susan Rice  qui est chargée du dossier du sud, est susceptible d'avoir présenté le dossier - sous la table - profitant de la tenue de l'Assemblée générale des Nations Unies et sa dynamique d'accompagnement
D'autre part, Dr Luka Biong, l'un des fils d'Abyei, s'est efforcé, en tirant parti des groupes de pression et le lobby Noir à New York de pousser le dossier devant le  Conseil de sécurité, peut-être il manque de confiance dans le gouvernement du sud,  et peut-être craint la gravité croissante du rapprochement entre Juba et Khartoum qui est devenu l'un des plus importants éléments de stabilité entre les deux pays

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