Vendredi dernier, la mise en place du dossier de sécurité à la tête
des agendas des pourparlers d'Addis-Abeba a été le principal résultat
des entretiens en cours entre le Soudan et le Sud-Soudan.
Le côté Sud-Soudan a insisté sur la discussion des autres sujets, y compris le pétrole, et ne voulait pas le dossier de sécurité à être vivement présenter devant les pourparlers.
Bien sûr, les raisons derrières cela sont connues et comprises, car le dossier de sécurité inquiète Juba et l'empêche de porter atteinte à la sécurité au Soudan.
Sans doute, la mauvaise administration du gouvernement du Sud-Soudan à la dispute avec le Soudan était la principale raison pour les dossiers de sécurité pour être à la tête des pourparlers.
Le Sud-Soudan a été demeuré soutenir les rebelles anti-Soudan au Sud-Kordofan, au Nil Bleu et au Darfour du fait que de nombreux observateurs ayant remarqué que le gouvernement du Sud-Soudan n'a pas arrêté soutenir les rebelles au Soudan depuis la première journée de la sécession lors que Salva Kiir a promis de ne pas oublier les rebelles anti- Soudan.
Cette phrase était un signe clair que le gouvernement du Sud-Soudan a l'intention de soutenir les rebelles anti-Soudan.
Le gouvernement Soudanais a transmis les plaintes au Conseil de sécurité contre le soutien évident aux groupes armés Soudanais par l'Etat du Sud-Soudan.
Il était clair que la communauté internationale était parfaitement consciente à propos des violations du Sud-Soudan aux protocoles de sécurité signés avec le Soudan.
Toutefois, le Conseil de sécurité est resté silencieuse. Lorsque Juba a réitéré sa violation et ayant occupé la zone de Heglig, le Soudan a transmis une autre plainte soutenue par des évidences.
Et tout le monde se souvient le conseil par le Président Américain au Président Sud-Soudan à cesser de soutenir les rebelles Soudanais. Tous ces actes hostiles indiquent que Juba a créé des problèmes sécuritaires qui ont besoin d'une solution premièrement.
Il était évident que l'envoyé Américain, qui était présent à Addis-Abeba, ayant déployé des efforts considérables pour rapprocher les points de vue des deux côtés.
Les médiateurs sont maintenant convaincus que le dossier de sécurité devrait être une priorité indépendamment de toutes autres considérations que la continuité des problèmes de sécurité sur les frontières entravera les pourparlers.
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