Personne sage peut oublier la relation entre le récent rapport du
procureur général sortant Luis Moreno-Ocampo devant le conseil de
sécurité et la position de certains membres du Conseil de sécurité
concernant les négociations en cours entre le Soudan et le Sud-Soudan
dans le siège de l'Union africaine dans la capitale éthiopienne
Addis-Abeba.
Evidemment, le rapport n'est pas qu'un point de pression par
certaines des forces du fait qu'elles ont cru contribuer à la pression
sur le Soudan pour adoucir sa position en faveur de côté sudiste.
Il est vrai que le rapport est routinier et périodique, dont la date a été précisée en avance.
En dépit de tout cela, les Etats-Unis ayant été particulièrement
utilisé le papier de la CPI à chaque fois dans le cas où les options
ayant rétréci pour agir avec le Soudan.
Sans doute, les pourparlers devraient coïncider avec la date du
rapport, du fait que tout le monde sait bien que la représentante de
Washington au Conseil de sécurité Susan Rice était celle qui a entrepris
la rédaction de la résolution 2046 en Avril dernier.
C'est pourquoi les dispositions de la résolution étaient restreintes
et marquées par une date limite telle que la nécessité et la reprise
des négociations dans deux semaines entre les deux pays, le Soudan et
le Sud-Soudan, chose qui s'est réellement passé.
Sans doute, Rice a supposé ce pas et qu'elle a cru la date fixé dans
la résolution peut durer pour trois semaine, chose qui coïncide avec le
rapport du procureur général.
A ce propos, cette hypothèse était vivement soutenu du fait qu'
Ocampo a demandé le Conseil de la nécessité de rendre une décision qui
oblige les organisations internationales et régionales et les pays du
monde à œuvrer pour l'implémentation des mandats d'arrêt contre les
responsables soudanais.
Il est certain que cette proposition était la seule nouvelle chose
ayant inclus dans le rapport d'Ocampo, a trouvé une compréhension entre
Washington et La Haye dans le cadre de la consultation continue entre
eux afin que Washington peut exercer plus de pression sur Khartoum.
Mais le processus a-t-il réussi ? En effet, le processus n'a pas été
destiné à être réussi au début parce que le papier ayant perdu sa valeur
et n'est plus valable pour toute utilisation du fait qui les normes de
la diplomatie demeurera porter atteinte aux relations internationales
en œuvrant pour l'arrestation du président de la République.
Sans doute, le Soudan, qui n'a pas été affectée jamais les mouvements
de son président et ses responsables indifférents au mandat d'arrêt.
Rice et Ocampo ont joué le jeu, mais le but n'a pas réalisé comme prévu.
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